Nationalité : France
Né(e) le : 3/07/1937
Né(e) le : 3/07/1937
Biographie :
Jean Goldzink est un universitaire français
Né le 3 juillet 1937, il est le fils d'un résistant FTP-MOI
Élève de Ecole Normale Supérieure de Saint-Cloud (1957), agrégé de l'Université, il participe à partir de 1965, aux côtés de Pierre Barbéris à des séminaires d’initiation à la recherche et de réflexion sur les problèmes du romantisme au centre d’études romantiques françaises de l’Ecole Normale Supérieure de Saint Cloud.
Il est maître de conférences en littérature française à l'Ecole Normale Supérieure de Saint-Cloud Fontenay puis Lyon de 1967 à 2002. Il devient par la suite conférencier à l'Institut d'études politiques de Paris où il participe à un Master de théorie politique.
Jean Goldzink est un spécialiste de la littérature française du XVIIIeme siècle, éditeur et commentateur des grands auteurs de cette époque notamment Beaumarchais, Diderot, Marivaux, Voltaire
+ Voir plusJean Goldzink est un universitaire français
Né le 3 juillet 1937, il est le fils d'un résistant FTP-MOI
Élève de Ecole Normale Supérieure de Saint-Cloud (1957), agrégé de l'Université, il participe à partir de 1965, aux côtés de Pierre Barbéris à des séminaires d’initiation à la recherche et de réflexion sur les problèmes du romantisme au centre d’études romantiques françaises de l’Ecole Normale Supérieure de Saint Cloud.
Il est maître de conférences en littérature française à l'Ecole Normale Supérieure de Saint-Cloud Fontenay puis Lyon de 1967 à 2002. Il devient par la suite conférencier à l'Institut d'études politiques de Paris où il participe à un Master de théorie politique.
Jean Goldzink est un spécialiste de la littérature française du XVIIIeme siècle, éditeur et commentateur des grands auteurs de cette époque notamment Beaumarchais, Diderot, Marivaux, Voltaire
Source : Wikipédia
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Prière de Voltaire:
Ô Dieu qu'on méconnait; ô Dieu que tout annonce!
Entend les derniers mots que ma bouche prononce.
Si je me suis trompé c'est en cherchant ta Loi,
Mon cœur s'est égaré mais il est plein de toi;
Je vois sans m'alarmer l'éternité paraître
Et je ne peux penser qu'un Dieu qui m'a fait naître
Qu'un Dieu qui sur mes jours versa tant de bienfaits
Quand mes jours sont éteints me tourmente à jamais.
Ô Dieu qu'on méconnait; ô Dieu que tout annonce!
Entend les derniers mots que ma bouche prononce.
Si je me suis trompé c'est en cherchant ta Loi,
Mon cœur s'est égaré mais il est plein de toi;
Je vois sans m'alarmer l'éternité paraître
Et je ne peux penser qu'un Dieu qui m'a fait naître
Qu'un Dieu qui sur mes jours versa tant de bienfaits
Quand mes jours sont éteints me tourmente à jamais.
[Relax67: le sort infâme des comédiens au siècle des Lumières]
La mort brutale d'Adrienne Lecouvreur, son amie et peut-être sa maîtresse, bouleversa Voltaire. Excommuniée par l’Église, comme tous les comédiens, elle expira avant d'avoir pu se repentir et fut jetée à la voirie (dépôt des ordures et des immondices)
La mort brutale d'Adrienne Lecouvreur, son amie et peut-être sa maîtresse, bouleversa Voltaire. Excommuniée par l’Église, comme tous les comédiens, elle expira avant d'avoir pu se repentir et fut jetée à la voirie (dépôt des ordures et des immondices)
Il (Voltaire) avait une mémoire infatigable, monstrueuse, et le désir d'éblouir son siècle. L'orgueil fait les bons élèves et les mauvais chrétiens. C'est une des contradictions de la pédagogie jésuite, si intelligente, et que nos lycées imitèrent longtemps.
[Relax67: commentaire d'une peinture du XVIIIe du Musée historique lorrain, Nancy]
Deux envoyés de l'empereur Joseph II, venus pour contracter un emprunt, dérangent J.-F. Villiez, marchand et banquier, plongé dans son livre de compte. Scène emblématique du monde moderne à la Voltaire, et chère à son cœur, car le commerce, ennemi des passions, ébranle le fanatisme et la guerre, au profit d'intérêts cosmopolites et raisonnables! Les Lumières circulent avec l'argent...
Deux envoyés de l'empereur Joseph II, venus pour contracter un emprunt, dérangent J.-F. Villiez, marchand et banquier, plongé dans son livre de compte. Scène emblématique du monde moderne à la Voltaire, et chère à son cœur, car le commerce, ennemi des passions, ébranle le fanatisme et la guerre, au profit d'intérêts cosmopolites et raisonnables! Les Lumières circulent avec l'argent...
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