Jean Guion

Je remercie Babelio et les éditions Hatier pour l'envoi de ce livre. Ratus, ce sacré Ratus qui m'a renvoyé vingt ans en arrière, lorsque ma puce apprenait à lire. Aujourd'hui, elle est enseignante ! Ratus y serait-il pour quelque chose ? Allez savoir. Il est tellement malin ce Ratus. Elle a adoré apprendre à lire avec lui. Elle voulait toujours aller plus loin, aller plus vite dans l'histoire. Il faut reconnaître que c'est très ludique. Et ces couleurs si vivifiantes.

A Villeratus, chaque année, les lapins fêtent le printemps et dans la nuit du samedi au dimanche de Pâques, ils passent dans les jardins et cachent des oeufs pour les enfants sages. Comme à son habitude, Ratus fait sa mauvaise tête et se moque des lapins en les traitant d'ânes

Janot le prévient que son grand-père est magicien et qu'il le privera d'oeufs. La nuit suivante, il fait un cauchemar. Le vieux lapin le transforme en âne vert. Ratus se réveille en criant et tombe de son lit. Le vieux lapin a disparu mais par contre, ses amis le préviennent qu'il y a une chose bizarre dans son jardin. Il aperçoit un oeuf énorme. Un curieux nuage blanc s' en échappe et monte vers le ciel. Un sifflement retentit et l'oeuf s' ouvre en deux. Un oeuf magique. Il en sort un lapin qui porte un chapeau de magicien, celui de son cauchemar. Que va-t'il se passer pour Ratus ?

Soyez sans crainte, c'est un filou ce Ratus.

J’ai eu l’occasion de lire Ratus et l’œuf magique grâce à Masse Critique et les éditions Hatier et je les en remercie. Cette lecture m’a permis de faire resurgir de nombreux souvenirs d’enfants. En effet, j’ai dans un premier temps choisi ce livre car la collection Ratus ne m’est pas inconnu. Pour la confidence, j’ai appris à lire avec Ratus. Mon livre de classe faisait partie de cette collection et la bibliothèque de l’école regorgeait des petits romans de la même collection. C’est tout naturellement que j’ai eu envie de lire un de ses petits livres et de le proposer aussi à ma fille de 8 ans afin de savoir si elle aussi allait les apprécier comme moi petite.



Ma lecture m’a ravie car j’ai pu retrouver Ratus et ses copains dont je me souvenais encore très bien. Ratus est fidèle à lui-même toujours un vrai coquin à faire pleins de blagues à ces amis. Comme toujours, ces agissements ne sont pas sans conséquence et une ou plusieurs morales sont mises en avant à chaque fois. Les livres Ratus sont bien les livres par excellence qui apprennent des choses du quotidien, l’amitié, des valeurs aux enfants.



Aujourd’hui, j’ai apprécié de voir que la collection n’a pas changé sur ce point et a su garder son identité et sa marque de fabrique. La parution du livre au moment de Pâques est tombée à pique au vu du titre. J’ai aimé l’originalité de l’histoire qui a su introduire le fantastique sous forme de magie de manière ludique.



Heureuse surprise aussi, j’ai retrouvé les illustrations avec les questions de compréhension que je trouve très ingénieuses surtout quand l’enfant débute à lire. Les petits jeux à la fin sont aussi un petit plus réussi.



Cependant, je reste un peu plus sceptique sur la manière dont le livre cherche à enrichir le vocabulaire du jeune lecteur. L’effort est visible d’introduire de nouvelles expressions, de nouveaux mots mais j’observe une limite à la manière dont les renvois sont faits en fin de livre. Dès qu’un mot mérite une explication, un petit numéro est indiqué sur la droite en face de la ligne. Le problème c’est que le mot nouveau n’est pas identifié par un caractère en gras, en italique ou autre. J’ai trouvé que c’était une perte de temps finalement d’aller voir en fin de livre à chaque fois sans savoir de quel mot nous allions trouver l’explication. Quant à ma fille, elle a lu le roman sans comprendre pourquoi des numéros étaient indiqués dans la marge. Elle a fini par me demander en fin de livre l’utilité des numéros.



Objectivement, c’est le seul bémol que j’ai à soulever. Cette collection a su garder ses points forts qu’ils soient identitaires ou bien dans l’aide à la compréhension et à la lecture tout en évoluant avec des couvertures plus actuelles et un contexte dans l’air du temps (j’ai souri quand j’ai vu Internet évoqué).



Ma fille et moi sommes totalement comblées d’avoir pu lire Ratus et l’œuf magique. Le petit frère quant à lui a surtout participé dans la résolution des jeux à la fin de l’ouvrage, il a adoré et bien rigolé avec les devinettes. Nous avons vécu un vrai moment de partage dans notre lecture, dans l’évocation de mes souvenirs d’enfant. Nos prochains achats feront probablement partis de cette collection car j’ai déjà deux intéressés : ma fille et son petit frère qui débute tout juste dans l’apprentissage de la lecture. Avec 4 niveaux de lectures, il va être plutôt facile de contenter chacun.
Lien : https://inspireretpartager.w..

Ce manuel me replonge dans une lointaine scolarité (en primaire) faite de répétitions, de longs exercices à trous, et de corrections. Ces dernières n’étaient pas physiques mais rouges. Beaucoup de rouge, et des lignes à copier. Un peu trop parfois. L’enseignement du français depuis est tout autre. Loin de moi cette idée qu’il se serait dégradé. Je n’adhère pas au déclinisme éducatif des Brighelli, Zemmour et autres passéistes de l’école d’antan. Pour ma part, je me contenterai de noter un changement dans l’approche, une adaptation à une société en continuelle transformation. Toutefois, je ne peux m’empêcher de comparer les manuels à partir desquels mon fils a appris l’orthographe (il y a moins de 10 ans) et les outils qui m’ont servi à l’apprendre: chaque époque a ses raisons que ma raison ignore. Il ne faut pas s’en plaindre juste s’adapter à un environnement différent et à s'efforcer de transmettre sans jugement.

Ma toute première incursion dans le monde de Ratus, une méthode de lecture que je ne connais que de très loin. Ici, en l'occurrence, pas de Ratus mais son entourage je pense.



Côté style, j'ai été conquise : le retour à la ligne se fait à la fin des phrases ou au moins des propositions, il y a les mots difficiles expliqués et leur prononciation, des jeux sympa à la fin et à presque chaque page des questions de compréhension mais avec des illustrations. Cela en fait un livre attractif pour les enfants en même temps qu'il y a quand même pas mal de texte et c'est valorisant.



Côté histoire, en revanche, je n'ai pas adhéré du tout. C'est un peu lourdaud : le premier fait tomber les oeufs, puis le deuxième la farine. Ensuite, crêpe qui atterrit sur la tête d'un personnage, puis rebelote. Ils auraient pu varier les situations tout-de-même ! Et puis, que penser de la suprématie des humains puisque c'est le seul personnage humain du livre qui arrive et qui, par sa sagesse, "sauve" le repas... Pas fan du tout... Dommage ! Les autres histoires sont peut-être mieux et cumulent peut-être du coup le style et l'histoire ?!...



~ Challenge ABC 2020-2021 : G

Ralette a disparu.



Toute une collection de petites histoires pour enfants de 6 à 8 ans, commençant à lire. La présentation des personnages, illustrée de façon ludique avec mise en scène des petits héros, permet à nos petits lecteurs de reconnaître les divers intervenants.



Dès la première page, l'énigme apparaît. Ici, Ralette a disparu depuis une semaine et une semaine, c'est long. Que lui est-il arrivé?

C'est le boucher qui est accusé de l'avoir kidnappée, et transformée, en... bifsteck, saucisse... La gendarmerie enquête.... sans résultat. La chambre froide ne contient aucune trace de Ralette. Où peut bien être Ralette ? Mystère !

Le car arrive et qui descend : notre petite Ralette vêtue d'un kimono blanc.... Enfin le mystère est résolu, et la vie peut continuer.



Ce petit livre de 25 pages est bien adapté aux enfants débutant dans le déchiffrage de texte écrit. L'histoire est courte, bien illustrée, tonique. Il y a du suspense. Elle met en valeur l'amitié entre les êtres. Je vais le faire lire à mon petits-fils qui est au CP et qui lit couramment. Je suis sûre que cette histoire de petite souris va lui plaire. Je vous ferais part de sa réaction à la fin des congés d'automne.



De plus, à la fin du petit récit, il y a des illustrations pour la compréhension, et des images pour bien identifier les divers objets. Certains mots sont écrits normalement puis écrit phonétiquement, afin de les initier , d'une part, à l'orthographe, et d'autre part à la prononciation. La diction est différente de l'écriture. C'est une sorte de fil rouge afin d'écrire correctement les mots.


Lien : https://lucette.dutour@orang..

un classique, toujours utile. des exercices simples et bien rangés. On trouce ce dont on a besoin, un petit plus non négligeable à l'entrée du collège

Ce livre est un peu trop facile à lire et est assez amusant . Je ne savais pas que Ratus avait peur des araignées ! Le chien qui aboie tout le temps ça doit faire mal aux oreilles ! #Méline

J'ai bien aimé le livre prce qu'il est facile à lire et à comprendre en plus de cela c'est très drôle ! La mamie de Ratus qui aime Belo et Ratus qui aime Mina je ne savais pas ! #Méline

Si ce livre fait bien partie de la collection Ratus Poche, point de muridé vert ici mais une mamie magicienne (mais surtout rusée!) qui détourne l'attention d'un vilain nabot tyrannique grâce à son miroir enchanté et un peu de bagoût...



En Baboulie règne un méchant petit tyran, le Grand Baboul, qui met au cachot tous ceux qui ne lui offrent pas un cadeau à son goût ; c'est ce qui arrive à la pauvre Lisette, fille du premier ministre, qui ne lui a pas fait assez de crêpes à la confiture.

Heureusement que Super Mamie est là avec toute son astuce pour la faire délivrer, elle, son père le premier minstre, l'inventeur Crazibert et tous les autres malheureux enfermés par caprice du Grand Baboul...



Pas inoubliable, mais ça ne se prend pas pour de la grande littérature : le principe de ce livre, destiné à aider la lecture des 6-7 ans, est d'avoir à chaque double page, à droite le récit et à gauche une illustration pleine page avec un petit jeu ou une question pour être sûr que l'enfant a bien compris le texte. Sympathique car plus ludique qu'un QCM écrit! Plutôt rigolo.

Que de souvenirs..

Souvenez-vous de Ratus, moi oui en CP, CE1..environ 1991, 1992..C'était au programme scolaire, est-ce encore le cas ?

Je me souviens d'un rat déjanté. L'époque où je tentais d'apprendre à lire.

Nostalgie pour quelques générations..

Voici un récit hilarant que j'ai trouvé dans une brocante et qui n'est, je crois, malheureusement plus édité (il est sûrement possible de se le procurer d'occasion).



Le roi de Baboulie a très mal aux dents. Le dentiste décide donc de lui arracher toutes les dents (dans le doute) pour lui en mettre d'autres (quand même, ça peut servir).

Le Grand Baboul a fait son choix : il veut des dents de crocodile... ou de monstre... bien pointues les dents.

En voilà une idée farfelue qui va attirer bien des ennuis au dentiste.

Heureusement Super-Mamie est là !



Un roman pour bons lecteurs qui amusera terriblement les enfants.

Le texte est relativement long, la police de caractère n'est pas agrandie et les illustrations, uniquement en fin de chapitre, sont là pour poser des questions de compréhension de texte.

On s'adresse donc aux lecteurs de fin CE1 - CE2.



Cette aventure fait partie de la collection Ratus poche, Super-Mamie et la forêt interdite dont certains titres s'adressent aux lecteurs débutants.

Tout le monde peut donc rire avec Super-Mamie et le Grand Baboul.

Un régal !!!

Un chouette conte de Pâques pour jeunes lecteurs confirmés (ou presque). Ratus, on l'aime malgré ses défauts, et il y en a un paquet !



Cela dit, quand Papy Lapin lui donne une leçon, sur la paresse, les mensonges, la gourmandise... de Ratus, on rit de bon coeur. Surtout quand il devient rose à force de mentir...

N'est adapté que si la méthode Ratus est étudiée. Il y a 3 ans c'était la méthode étudiée par mon aîné à son entrée en CP, collection lue sans souci. Pour ma fille c'est une autre histoire. Dès la première phrase, problème. Le son "ou" n'a pas été appris donc elle bloque, ajouter à ça les "gn", "on" et autres an, c'est pas gagné.

Comme elle est demandeuse, on décortique mais je me rends vraiment compte de la différence entre deux apprentissages, pourtant trois ans c'est pas énorme, les méthodes n'ont pas du tant évolué!

L'essentiel est le temps passé ensemble et le goût de la lecture, je l'espère!, transmis.

Ratus! Tout mon enfance est avec ce personnage et ses amis (Ratus, mina, marou, belo et victor). Bref

dans ce petit bouquin, ratus raconte ses vacances imaginaire a marou et mina, ses meilleures amis (et les plus naives ). Celui ci, raconte comment il etait enlever par des pirates et comment il a reussi a s'enfuir...

Mais malheuresement le pauvre ratus n'a pu continuer avec son air pompeux, Victor, le gros chien a tout chambouler...

Un jolie livre pour les enfants, J'espere que ma petite soeur "Farah" le lira avec tant d'admiration un jour.

Ratus est un rat vert bourré d'imagination, espiègle, jamais à court d'idées, facétieux... bref, l'ami des enfants.



Dans ce tome, avec plusieurs amis, ils vont participer à un concours de déguisement. Mais en plus, il faut jouer une petite saynète pour illustrer son déguisement. C'est donc l'histoir d'un ogre qui veut manger une princesse... Et Ratus joue le prince charmant qui va délivrer la princesse... sauf qu'il se fait un peu attendre lors de la représentation... Encore une de ses idées farfelues...



A lire seul à partir de 6-7 ans, ces petits livres (collection "Jaune") alternent le texte et un dessin où une question est posée au lecteur... Rien de compliqué dans la collection "Jaune". De quoi agrémenter la lecture pour éviter trop de passivité. C'est gai, positif, dynamique... Bref, c'est la perspective d'un chouette moment au coucher.

Mamie Ratus veut un passeport. Hélas, elle s'attire l'inimitié de Raoul, le préposé aux documents officiels...



Alors quand elle revient avec le formulaire 7035 rose dûment complété, voilà Raoul qui cherche la petite bête et se moque de Mamie Ratus...



Quel est son prénom? Son âge? Elle n'a pas 30 ans comme elle l'indique. Ni les cheveux blonds et les yeux bleus... Et Mamie Ratus s'énerve et frappe tout le monde.



Elle se retrouve au tribunal et elle se rend compte qu'elle a même frappé le juge... Aïe aïe aïe...



Le secret de Mamie Ratus, ce sont tous ses prénoms plus bizarres et ridicules les uns que les autres. Mais tout finira bien... presque par un mariage.



Que penser ? C'est un peu lourd, vu que tout se passe dans une administration et au tribunal... avec le cérémonial et le sérieux qui va de pair avec ces endroits. Donc, c'est nettement moins envolé que les autres tomes de la série. Mais on aime Mamie Ratus quand même.

Quel enfant n'a rêvé de se dire que sa mamie était un peu sorcière sur les bords... et en tout cas, une mamie ne peut être qu'une super-mamie...



Les aventures de super-mamie sont toujours empreintes de respect, de facétie, et de sagesse.



Dans ce tome, elle est confrontée au roi de Baboulie, le Grand Baboul, un homme très laid, méchant et aux muscles tout mous. Non content d'être affligé de toutes ces tares, ce vil personnage se met fréquemment des idées incongrues en tête et use de sa puissance pour les faire respecter.



Ici, il s'imagine que tous ses sujets doivent lui apporter un cadeau pour son anniversaire. le premier qui oublie cela sera jeté aux oubliettes... Quelle catastrophe...



Mais le Grand Baboul outrepasse même ses consignes, et met en prison Lisette dont le crime est ... de ne pas lui avoir apporté suffisamment de confiture ni de petites crêpes. Et même si c'est la fille du premier ministre, elle finit aux oubliettes. Et son père aussi...



Puis le Grand Baboul ordonne que super-mamie soit jetée aux oubliettes, mais elle arrive à s'échapper, et c'est le tour de Crazibert l'inventeur fantasque.



Puis super-mamie revient et prétend changer l'apparence du roi et le rendre beau, musclé, athlétique et grand. Au début la magie n'opère pas... super-mamie argumente: il y a trop de gens en prison, cela bloque le fluide magique... Alors le Grand Baboul libère tout le monde. Et la magie opère... Mais c'est le miroir magique qui renvoie cette image du roi, lui n'a pas changé. L'histoire se termine en farandole, pendant que le roi s'admire dans le miroir et s'endort.



Conte très moral, humoristique, envolé et finement écrit, mélangeant amitié et magie cette histoire est une belle réussite. La présentation des protagonistes et les dessins sont toujours très chouette, sous le pinceau de Jean-Christophe Raufflet), mais les questions sont fort simples pour les enfants.



Je pointerai comme bémol certaines saillies du roi, dont il n'est pas toujours évident de savoir qui les prononce, le sujet n'apparaissant qu'au paragraphe suivant. Perturbant pour un enfant apprenant à lire et lisant lentement (vu que ce livre est publié dans la collection "Jaune", destinée aux 6-7 ans).

Ralette aime faire tourner son monde à sa mode.



Sur une brocante, elle repère une chaise à bascule, elle l'achète. Elle se balance, et elle est bien vite imitée par Raldo et Ratounet. Cela donne des idées à Ralette... Et elle se balance plus fort, et Raldo tome dans l'eau de la fontaine...



Voilà de quoi titiller le penchant "chipie" de Ralette. Elle retourne à la brocante et jette son dévolu sur une paire de ski et des roues de landau. Voilà sa chaise à bascule transformée en charrette à bras... Les bars de qui? De Raldo évidemment... qui est derechef transformé en mule.



Mais tout ne se passe pas comme prévu pour Ralette. Elle avait oublié que les mules ont aussi un sacré tempérament !



Qu'en penser? C'est un livre de la collection "Jaune", jeunes lecteurs entre 6 et 8 ans. Ralette est bien rendue, c'est une chipie de premier ordre. Des idées tordues, elle en a à la pelle. Comme d'habitude, l'action est ponctuée de pages de dessins, avec des questions se rapportant à l'histoire. Ces questions sont très très simples. C'est un peu dommage.



Le lexique à la fin explique quelques termes et expressions supposées nouvelles pour l'enfant. C'est toujours intéressant.



L'histoire est sympa aussi. On aime, on déteste Ralette. On est finalement bien content qu'elle subisse à la fin les conséquences de son manque de respect pour Raldo (tout en se disant que Raldo ne mérite pas mieux). Bref, un conte moral tout à fait indiqué pour les enfants, afin de mesurer la portée de leurs actes.

Ratus est un personnage avec lequel j'ai grandi et appris à lire en maternelle. Je conseille ces livres à toutes les jeunes mamans qui veulent que leur progéniture apprenne à lire. Je me souviens particulièrement de celui là car je l'avais lu plusieurs fois en classe de CE1 parce que je l'aimais beaucoup et ça me rend parfois nolstalgique de revoir la couverture de ce livre. grosse dédicasse à clem ponsson aie



Amour et compassion cependant.

J'ai appris à lire avec Ratus et ses amis. J'ai relu cette histoire dans le cadre d'un challenge lecture et j'avoue que j'ai de nouveau pris beaucoup de plaisir.

J'aime Ratus, Belo, Mina et Marou. Ces personnages ont bercé mon enfance et m'ont aidé à mieux appréhender la lecture.

Je recommande cette collection aux jeunes lecteurs.