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3.85/5 (sur 10 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Marsac-en-Livradois, Puy de Dôme , le 19/09/1912
Mort(e) à : Ussel, Corèze , le 29/05/2009
Biographie :

L'Abbé Jean-Louis Chantelauze est né dans une famille de petits cultivateurs.

Après des études à Ambert et Courpière, il part pour le Grand séminaire de Clermont-Ferrand.

Ordonné prêtre le 29 juin 1938, il fut nommé vicaire à Montaigut en Combrailles. Fin 1939, ce fut la guerre et la captivité en Bavière.

Libéré en 1945, il exerça son ministère successivement à Saint-Bonnet-le-Chastel, de Veyre-Monton puis de Saint-Sauves d'Auvergne.

Retiré à Ussel depuis 1975, il a rendu des services dans les paroisses environnantes jusqu'en 2008.

Il lui arrivait parfois de s'asseoir devant une feuille blanche afin de lui confier ce qui était resté dans sa mémoire. C'est ainsi qu'il écrivit son premier livre Monsieur le curé dans ses campagnes puis À l'ombre de mon clocher.
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Bibliographie de Jean-Louis Chantelauze   (1)Voir plus

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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Pas question à cette époque de Père-Noel qui est une invention étrangère : c'était le petit Jésus en personne qui se donnait la peine de descendre par la cheminée. Mais qu'ils étaient modestes ses cadeaux , comparés à ceux d'aujourd'hui ! Pas même une balle pour les filles, un jouet ! Des noix, des pommes et parfois, une pipe en sucre : mais un rien faisait plaisir.
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Les estafiers couraient aussi la campagne, tels ceux qui achetaient les cheveux des filles. Par pauvreté, certaines se laissaient couper les cheveux pour une maigre obole : à peine de quoi s'acheter une robe !
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A cette époque, la campagne était sillonnée par toutes sortes de gens : d'abord le coquetier - ainsi nommait-on l'homme qui passait dans les villages pour faire la collecte des oeufs, du fromage, du beurre. En échange, il donnait du café, du sucre, des macaronis, du savon. Comme l'argent était rare, c'était une espèce de troc entre lui et les paysans qui lui apportaient les produits de leur ferme.
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Le facteur, le gros Bijoux, venait de temps en temps apporter un journal ou une lettre, mais c'était rare. S'il passait au moment du repas, il avait son bol de soupe et sa biarne de lard. Le pauvre homme n'était pas à la noce : il parcourait chaque jour une vingtaine de kilomètres pour faire le tour de la commune et cela par tous les temps.
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Les colporteurs, avec une caisse à tiroirs sur le dos, qui vendaient du fil, des aiguilles, des ciseaux, des complaintes, de l'onguent et mille autres pacotilles.
Les mendiants, tel le Jean du Roubis, la besace sur le dos, quêtant de maison en maison un quignon de pain.
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