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3.27/5 (sur 46 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Charité-sur-Loire , 1945
Biographie :

Agrégé de grammaire, Jean-Luc Hennig enseigne à l’université Gizeh du Caire de 1970 à 1972.

Il entre comme journaliste à Libération dès 1974 et y collabore activement pendant sept ans. Il dirige la collection « Illustrations » chez Albin Michel de 1979 à 1981, avant d’être rédacteur en chef à Rolling Stone et chroniqueur à Europe 1 puis à la Radio suisse romande dans les années 80.

Romancier, essayiste et biographe, il a publié une trentaine d’ouvrages chez Albin Michel, Zulma et Gallimard, dont Les juges kaki (préface de Michel Foucault, 1977), Les garçons de passe : enquête sur la prostitution masculine (1978), Grisélidis courtisane (1981), Lettre ouverte aux Suisses (1991), Brève histoire des fesses (1995), Bi : de la bisexualité masculine (1996), Apologie du plagiat (1997), Beauté de la poussière (2001), Martial (2003) et Sperme noir (2006).
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Source : www.editions-verticales.com
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Les éditions Recherches ont promu la pédophilie (Jean-Luc Hennig, Luc Rosenzweig, Gabriel Matzneff...)


Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
Certains esprits farceurs ont même cru, de bonne foi, pouvoir en tirer quelques conclusions sur les fesses des actrices de cinéma, lesquelles obéiraient à trois formules : le carré, le rectangle horizontal et le rectangle vertical. Le carré où s’inscrit le cercle parfait étant le privilège de la beauté classique (Louise Brooks, Marilyn Monroe), le rectangle vertical, cadrant les fesses dites en courge ou en cornue, fesses superbes quoique trop vite alourdies (Mae West, Jane Mansfield, Jeanne Moreau, Béatrice Dalle), enfin le rectangle horizontal signalant plutôt la fesse de la très jeune fille ou le genre éphèbe de certaines sportives (Brigitte Bardot, Juliette Binoche), qui serait du reste la moins répandue des trois.
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Restaient ses yeux, de beaux yeux gris, presque trop pâles, un peu méchants, une fossette bien sculptée et une voix de speaker à la radio, à croire qu’il baratinait une poule !
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Boire jusqu'aux limites de l'ivresse et tenir dans l'ivresse,tel est l'unique objet des compétitions de mâles.
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"Au fond du vin se cache une âme" dit joliment Théodore de Banville.
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Les filles portaient de multiples noms selon leur spécialité, la façon dont elles opéraient, l'heure ou le lieu de leur activité, mais on les connaissait surtout sous le nom de "louves" (lupae). Lupa, dans le sens de courtisane, fut attesté avant même celui de "femelle du loup" (lequel se disait lupus femina). La louve, cette bête sans cesse affamée, cette "coureuse de nuit" (Oppien), prit ainsi le nom d'une femme publique.
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Sade n’aimait pas les guillemets, qu’il jugeait, dit-il dans une note de l’Histoire de Juliette, une "bigarrure désagréable"
[…]
Il arrive même à Sade d’illustrer son larcin par une apologie du vol : le vol s’effectuant sous nos yeux au moment même où on le célèbre. Relisez son discours (qu’il dit avoir acheté le matin au palais de l’Égalité) « Français, encore un effort si vous voulez être républicains », inséré dans La philosophie dans le boudoir. « Il est certain que [le vol] entretient le courage, la force, l’adresse, toutes les vertus, en un mot, utiles à un gouvernement républicain, et par conséquent au nôtre. » « Il y avait un peuple qui punissait non le voleur, mais celui qui s’était laissé voler, afin de lui apprendre à soigner ses propriétés. » « Imitez la loi sage du peuple dont je viens de parler ; punissez l’homme assez négligent pour se laisser voler, mais ne prononcez aucune espèce de peine contre celui qui vole. » Sade a raison de demander l’acquittement du voleur, car il a volé ce paradoxe à 1’« Apologie de Raimond Sebond » de Montaigne (Essais, II, 12). »
[Jean-Luc Hennig, Apologie du plagiat, p. 138]
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Les ivrognes sont comme les marécages,tout ce qui y pousse est stérile,disait Césaire,évêque d'Arles au VI° siècle.
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Dans l’ordre des signes particuliers, Victor avait aussi, tatoué sur l’avant-bras, un grand jaguar bleu, dont la tête, paraissait aplatie sur la peau. Quand il gonflait les veines, les yeux jaunes du jaguar se soulevaient et on aurait cru qu’il hurlait.
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L'honneur d'un homme se situant à peu près à même hauteur que la vertu des femmes.Il faut donc boire pour ne pas perdre la face et ne pas être ivre à tordre pour la même raison.
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Lorsqu'on est las de Catin,
L'on embrasse Nicole,
Qu'on abandonne le matin,
Pour Suzon qu'on bricole;
Ou pour Jeanneton,
Ou pour Margoton,
Ou pour Mamz'elle Tonton.
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