Anne n’aurait aucun remords à piéger ce tas de graisse. Elle n’avait d’ailleurs jamais eu de remords, estimant que les riches devaient être saignés de leur or de temps en temps comme on saignait les malades souffrant d’excès de bombance. Elle était vêtue d’une robe brune délavée au corsage à lacets. D’un geste rapide et discret, elle aéra un peu sa poitrine en délaçant les cordons, dévoilant la chair blanche du renflement de ses seins. Elle bouscula le bourgeois.