Jean Nicolas est un historien français, spécialiste de l'histoire moderne.
Agrégé d'histoire, il débute sa carrière au lycée Berthollet d'Annecy en 1952.
C'est à la Savoie qu'il consacre la première partie de sa vie d'historien avec de nombreuses publications et une thèse de référence sur l'évolution des élites, noblesse et bourgeoisie au XVIIIe siècle.
Attaché de recherche au CNRS (1962), il devient assistant, puis maître-assistant à l'université de Montpellier III (1965) puis poursuit sa carrière à l'université Paris VII - Diderot comme maître de conférence (1968) puis professeur des Universités à partir de 1978.
La seconde partie de sa carrière sera occupée par un travail aussi monumental sur les rébellions paysannes et urbaines dans la France du XVIIIe siècle.
Jean Nicolas a reçu la Plume d'or 2010 de la Société des Auteurs Savoyards.
Il fallait donc un drame terrible pour qu'enfin, partout dans le monde, on consacre la place qu'ils méritent dans les médias aux violeurs et autres assassins d'enfants pour raisons sexuelles.
Car l'injonction de se taire, dans l'esprit de n'importe quel être humain de bon sens, signifie que les gamines vont prendre ce message pour elles. Normalement, quand on guette un bruit, quand on écoute et essaie de repérer des voix et que quelqu'un d'autre fait du bruit, on ne parle pas, on fait des signes pour faire taire l'intrus, mais on ne se dévoile pas.
La sûreté de l'État en Belgique n'a rien à envier à une pieuvre et se comporte d'une manière totalitaire, fasciste et dangereuse. Elle est devenue omnipuissante et tellement malsaine qu'elle développe actuellement une énergie criminelle incroyable.