Pour l’adepte, le pouvoir du sexe est avant tout cérébral, et dans le coït magique la partenaire reçoit le « désir » de l’autre, les pulsions cachées, le flot d’images qu’il visualise dans sa jouissance, comme un fluide subtil qui coule en même temps que le sperme qui n’en est que le véhicule physique.