Autrement dit, un jour, à Dallas, Texas, dans un magasin spécialisé et par pure fantaisie, j'ai acheté une montre d'occasion à un vendeur hâbleur. Je l'ai payée au prix fort. Vous ne devez donc conclure qu'une chose de tout cela : je suis l'unique propriétaire de cet objet. A un point tel, monsieur Polaris, que même l'heure qu'indiquent les aiguilles de ce boîtier m'appartient.