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3.64/5 (sur 18 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Passionné de rugby, Jean-Paul Froustey s'est laissé prendre au jeu d'imaginer une intrigue palpitante et poignante articulée autour du rugby de village qui perdure dans certaines régions, malgré l'attrait du professionnalisme. Depuis qu'il ne joue plus au rugby, Jean-Paul Froustey écrit. Et lorsqu'il n'écrit pas, il entretient, le long d'une rivière, un domaine de trois hectares sur lequel il a planté plus de 200 arbres ! Un hommage à ses ancêtres qui ont laborieusement donné vie à une terre désertique et insalubre.
Il vit aujourd'hui à Bias, à côté de Mimizan. Précédents romans parus aux éditions Lucien Souny : La Ferme de Jeanne (2008 et en Souny Poche 2011), La Vallée des bergers (2009), L'Odeur des pins (2010 et en Souny Poche 2013), Le Gardien des abeilles (2011).

Son blog : http://jean.paul.froustey.over-blog.com/
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Source : Decitre
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Bernard Farinelli, Terre -Dieu: Jean revient à Terre-Dieu pour enterrer son père. La ferme, en ruine, promise à une vente à la sauvette, abritera une casse automobile. Alors qu'il est bouleversé par les terribles changements, les souvenirs affluent de plus belle : sa grand-mère, ses parents, son maître d'école, et aussi Marie, son unique amour… Jean appartient à cette génération qui a rompu les liens avec son histoire familiale, avec son patrimoine, avec tout ce qui constitue l'essentiel de l'existence. Il a quitté le monde paisible pour relever, à l'étranger, des défis professionnels stimulants. Il a délaissé Marie. Elle, n'a jamais quitté leur campagne. Elle l'a attendu. Peu à peu, il prend sa décision. S'il a été le chaînon manquant durant des décennies, désormais il doit passer le témoin. Il ne peut plus se dérober. Terre-Dieu est un hymne à la nature, à la vie simple, à l'équilibre. Il démontre que la voie du bonheur est possible, et que la résilience n'est pas un vain mot. • Jean-Paul Froustey, Un Héritage scellé sous la pierre: En une nuit, les projets de Julien sont réduits en cendres : le garage dont il devait reprendre la direction, l'appartement dans lequel il venait d'emménager, ses affaires personnelles… Tout, tout a brûlé. Seul le coffre-fort a résisté au feu. Il abrite une enveloppe qui se transmet dans la famille depuis son arrière-grand-père. Un soir de grand désarroi, Julien décide d'y jeter un coup d'oeil. Deux lettres, des coupures de journaux et quelques photos lui apprendront ce que sa mère n'a jamais pris le soin de lui raconter. Il découvre notamment l'existence d'une bergerie, proche d'Espelette, qu'a priori personne n'a jamais revendiquée. Et si cela constituait le début d'une nouvelle histoire ? Pour le savoir, il faut s'y rendre… Et le lendemain, le jeune homme part au Pays basque… de surprises en révélations, de succès en déconvenues, de rencontres en retrouvailles, la vie de Julien se reconstruira à la vitesse de l'éclair, entre mer et montagne. L'auteur affectionne les personnages en déroute. Il compose ici une mélodie douce-amère aux accents de rébellion. Un étonnant voyage qui bouleversera le destin de Julien et qui lui donnera l'envie de s'ouvrir aux autres. • Jean-Marie Mignon, Les Amis égarés: Deux amis d'enfance, fils de parents aisés, unis pour faire les quatre cents coups et prêts à s'empoigner pour la conquête d'un jupon, voient leur avenir professionnel tranquillement se dessiner. Damien a intégré un cabinet d'avocats d'affaires et Jean-Joseph a endossé la responsabilité commerciale de la scierie familiale. Si le premier, entreprenant et délesté de bonnes manières, se jette dans la vie avec bonheur, le second, encore très attaché au regard de ses parents, navigue à vue dans les décisions à prendre. Quand Ariane et Sophie apparaissent, les deux garçons s'efforcent, chacun puisant dans son arsenal de séduction, d'avoir le dernier mot. Entre les chevauchées amoureuses dans la forêt, son accession à la direction de l'entreprise et l'accident d'une jeune Manouche dans lequel il se sent profondément impliqué, Jean-Joseph plonge doucement dans une tragédie qui n'en a pas l'air. Mais il ne sait pas encore qu'il y a toujours, dans cette folie pleine d'éclats, un apaisement après la tempête. • Pierre Rétier, L'Adieu aux loups: Après des années passées à Paris, Jean Clermontel, ébéniste de talent, rentre au pays pour s'installer à son compte. Mais par-dessus tout, il est mû par le désir de retrouver, dans sa maison à l'orée des bois, son vieux père, Moïse, menuisier de son état, et aussi, à l'occasion, meneur de loups sur ce sublime plateau de Millevaches. Son retour est salué par tous… Même par la petite meute de loups de la forêt de Mirambe. de par sa présence devant l'habitation, elle vient lui signifier qu'il a été accepté par le couple dominant. La question des canidés met tout le village en émoi. Les affrontements entre ceux qui acceptent leur présence et ceux qui sont bien décidés à les exterminer sont parfois virulents. Les battues se multiplient, tuant nombre de bêtes. Les heures sont comptées. Jean Clermontel réussira-t-il à sauver la dernière meute ?

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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Pour la première fois, Camille avait décidé de prendre des vacances seule, loin des gens du show-biz et de la télévision. Elle en avait assez d'aller au bout du monde, de se heurter à son voisin de bureau qui avait eu la même idée ou qui, comme elle, avait cédé à la mode du moment.
La jeune femme avait ouvert une carte, comme l'aurait fait un enfant, elle avait pointé son doigt au hasard : Mimizan. Très bien, Mimizan. Elle ne connaissait pas, donc il était peu probable que ses compagnons habituels choisissent cette destination juste pour les quelques jours qu'elle avait décidé de s'octroyer à Pâques.
Cela allait lui procurer un bien fou de couper un peu avant les élections. Cela devenait lourd, on exigeait trop d'elle. C'était une «tueuse» : on lui demandait à chaque fois de démolir son interlocuteur. Elle y parvenait souvent. A moins d'être un politicien aguerri et peu scrupuleux, on sortait rarement indemne de ces passes d'armes avec Camille Blanc. Il s'agissait de découvrir la faille chez son invité. Auparavant, son équipe avait procédé à une longue enquête. A elle ensuite de discréditer son hôte aux yeux des téléspectateurs. Il fallait être naïf ou masochiste pour penser que l'on allait échapper aux griffes de cette femme diabolique. Si elle en avait fait son fonds de commerce, elle était parfois amenée à réfléchir sur sa propre situation. Sous la pression des téléspectateurs, la production lui demandait toujours plus. Cependant, c'était elle qui jouait avec le feu. Elle avait frôlé quelques procès que jusque-là sa direction était parvenue à lui éviter. Indiscutablement, la jeune femme avait besoin de repos ; une petite semaine lui rendrait sa combativité.
Sa secrétaire s'était étonnée de cette décision et de la difficulté qu'elle avait rencontrée pour lui donner satisfaction. Elle ne s'était pas davantage posé de questions. Sa patronne avait dit Mimizan, elle s'était conformée à son désir. L'hôtel Bellevue venait de rouvrir et la propriétaire n'avait fait aucune difficulté pour recevoir une cliente à six heures du matin. En cette saison, les touristes ne se bousculaient pas
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Son certificat d'études primaires en poche, Georges, plutôt que devenir résinier comme son père, réussit à se faire engager dans une papeterie. Apprécié pour ses qualités d'adaptation, le jeune homme, qui se voit confier la conduite délicate de la nouvelle machine acquise par l'entreprise, semble promis à un bel avenir. D'autant plus que ses prouesses de rugbyman lui confèrent, dimanche après dimanche, une certaine notoriété... Seule ombre au tableau, ce service militaire de dix-huit mois en Allemagne. Croit-il, à peine rendu à la vie civile, pouvoir rattraper le temps perdu, la guerre d'Algérie éclate. Georges est rappelé sous les drapeaux pour faire une guerre qu'il désapprouve. Rebelle, il sera dégradé et incorporé dans une section disciplinaire. Qu'importe ! Georges ne bradera pas son sens des valeurs.
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Non, on choisira une belle colonie pour la transvaser. Rappelle toi l'histoire que je t'ai racontée. Il faut préparer de vieilles ruches avec des vieux cadres, puis vaporiser un peu d'attire essaim. Mais, cela, tu le feras plus tard. Pour ma part, je suis les conseils d'un vieux : j'écrase des feuilles de bourdaine sur le plancher d'envol et je dispose quatre ou cinq pièges à une centaine de mètres des colonies.
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Un garage en feu, avec les véhicules, les huiles, le carburant... Cela ne laisse guère d'illusions sur ce qui va rester.
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