Dès le milieu du siècle [19e], les apôtres du traitement moral s’étaient tournés vers les possibilités d’une thérapeutique sociale, d’une « sociothérapie ». […] Brierre de Boismont recommande avant tout la « vie de famille ». Non pas le retour du malade dans sa famille, mais l’organisation familiale du milieu thérapeutique et, en l’occurrence, de la clinique privée.