La mélancolie souffre sous le fardeau de son propre pouvoir ; l’ironie assume l’impuissance avec une supériorité joyeuse. […] La mélancolie éprouve comme un poids écrasant le savoir qu’elle possède de la fugacité périssable, laquelle ne peut absolument pas se mesurer aux dimensions illimitées du Tout. L’ironie connaît la puissance du non-savoir, qui éclaire de façon égale le savoir et le non-connaissable.
Wilhelm Szilasi