Il s'agit bien d'un ennemi ! Ce n'est pas unadversaire qui me menace, mais un homme qui m'aime, qui me trouble, qui me crie sa passion ! C'est l'amour, non la haine, que j'ai à combattre.
Dans la mesure où tant de choses, en moi, semblent prêtes à capituler devant Guillaume, ces engagements que je vais avoir à renouveler sans fin contre son désir, contre le mien, seront bien plus durs à livrer que si je n'avais à m'opposer qu'à un antagoniste !