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4.03/5 (sur 607 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Professeur d’histoire et de géographie à la retraite, Jeanne-Marie Sauvage-Avit a vécu ses vingt premières années à Saint-Étienne où elle fit ses études.

Après avoir écrit des nouvelles publiées dans différents magazines, "Le printemps des femmes" (2012), est son premier roman.

"Cueilleuse de thé", qui emmène le lecteur au Sri Lanka et à Londres, a été récompensé par le Prix du livre romantique en 2017.

Elle vit dans les Bouches-du-Rhône.

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Bibliographie de Jeanne-Marie Sauvage-Avit   (9)Voir plus

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À l'occasion des 5 ans des éditions Charleston, Karine Bailly de Robien, directrice générale adjointe, vous explique la création cette maison d'édition en 2013 ? Elle revient également sur la création du Prix du Livre Romantique : vous avez jusqu'au 16 septembre pour participer à l'édition 2019 : http://editionscharleston.fr/prix-livre-romantique/ Karine Bailly de Robien évoque aussi les belles pépites francophones repérées par l'appel à manuscrits et hors le cadre du Prix : Clarisse Sabard, Alia Cardyn, Jeanne-Marie Sauvage-Avit, Béatrice Courtot, Marie Vareille, Sophie Henrionnet ou encore la Team RomCom. Et vous, quel est votre roman préféré des éditions Charleston ? Retrouvez-nous sur Facebook : https://www.facebook.com/Editions.charleston/

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Citations et extraits (82) Voir plus Ajouter une citation
Shemlaheila retira la main accrochée à son bras et, d'une voix qu'elle tenta de rendre aussi ferme que possible, s'excusa et remercia l'homme pour ses services.
Sa tante l'avait prévenue avant son départ.
- Tu sais, petite, la beauté d'une femme est certainement un avantage en Europe. Chez nous, ce serait presque un handicap. Sois prudente !
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Notre société veut qu'on vive le plus longtemps possible. Ceux qui contrecarrent cette volonté sont très mal considérés. La médecine a tous les droits, même celui de nous imposer de vivre.
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L'Angleterre m'a apporté énormément et je continue d'apprendre, grâce à vous, à Twinny, à mes amis. Mais je n'ai pas l'intention de m'établir ici. Un jour, je retournerai en Inde. C'est là que sont mes racines.
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Clémence désigna le journal de la main.
- Que lis-tu de si passionnant
- C’est le journal d’hier. Il y a eu un attentat à Sarajevo. Des terroristes serbes ont jeté une bombe sur l’archiduc François-Ferdinand.
- Il est mort ?
- Oui.
- Et sa femme ?
- Sa femme aussi.
- Les malheureux ! Qui étaient-ils ?
- François-Ferdinand était l’héritier de l’empereur d’Autriche. En fait, la bombe n’a pas atteint l’archiduc. C’est le terroriste qui l’a tué avec une arme à feu.
Antonin qui venait d’entendre la fin de la phrase se rapprocha de sa mère, suivi de Celse.
- Qui est-ce qui a été tué ?
Perline résuma ce qu’elle avait lu.
- C’est loin tout ça ! remarqua Clémence. Je ne sais même pas où est la Bosnie.
- Ce n’est pas si loin que ça, maman.
- Cet attentat ne va pas plaire à l’Allemagne, constata Antonin gravement. J’ai bien peur que ça tourne mal.
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- La guerre, c'est comme la gale. Faut pas gratter, sinon tu iras jusqu'au sang.
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Perline serra la main de l'infirmier, le remercia pour son aide puis demanda sans transition :
- Moravie ? Pourquoi Moravie ?
- Mort à vie. C'est simple... Ce type est mort pour le restant de ses jours.
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- Un jour, j'ai dit à une voisine que c'était l'ignorance de femmes qui faisait la force des hommes.
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Les lois, les religions, quelles qu'elles soient, ont été faites par des hommes pour les hommes.
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Son père disait toujours : "Il vaut mieux voir le loup en face que de le deviner aux aguets."
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Même si elle n'en connaissait aucune, en particulier, Perline avait souvent entendu parler de ces ouvrières du textile, créatures maigrichonnes aux bras musclés, qu'on disait querelleuses et insoumises mais qui acceptaient sans broncher le salaire de misère, la moitié de celui d'un homme, en échange d'un travail éprouvant, douze heures debout devant une machine aux impulsions saccadées, l'été dans une chaleur étouffante, l'hiver dans les courants d'air d'un atelier puant l'huile de pétrole et la suie.
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