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3.75/5 (sur 233 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Jennifer Probst est auteure de romance contemporaine.

Elle vit à Hudson Valley dans l'État de New York.

site de l'auteure:
http://www.jenniferprobst.com/

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Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
Elle était amoureuse de Nick.

Totalement. Elle aimait tout en lui, le bon comme le mauvais, son ami, son amant, son associé et son rival. Elle souhaitait passer le restant de sa vie avec lui, s'abandonner entièrement à lui, même si, elle le savait, il ne voulait pas d'elle. Elle enfouit cette réalité tout au fond d'elle-même. Et décida de prendre tout ce qu'il lui offrirait. Tant pis si ce n'était pas, et ne serait jamais, assez
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— Je t'aime, Alexa. Je veux vivre avec toi et notre enfant. Avec ce chien ridicule aussi, qui est devenu mon ami. Je sais également ce que je ne veux plus.

Je ne veux plus vivre sans toi. Je ne veux plus être seul. Je ne veux plus continuer à croire que je ne suis pas assez bien pour toi. Et si tu acceptes de revenir, je m'engage devant Dieu à tout faire pour que tu te félicites chaque jour de ton choix
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— Je ne suis pas poète, annonça-t-il. Mais ma femme l'est. Elle m'a appris à voir l'extraordinaire derrière l'apparente banalité. Elle m'a appris la beauté de l'émotion, de la vérité et du pardon. Avant elle, je n'avais jamais imaginé que quelqu'un pouvait tout donner sans rien attendre en retour. Alexa, tu as transformé ma vie, mais j'étais trop effrayé pour suivre cette nouvelle direction. Je pensais ne pas en être digne. Je le comprends aujourd'hui.
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Son amour n'était pas une récompense, mais un trésor qu'elle avait en elle et partageait sans compter. Chaque nuit, elle l'accueillait en elle, puis le laissait s'éloigner sans même essayer de le retenir. La femme qu'il avait épousée était un être fier qui faisait voler sa cuirasse en éclats et le rendait humble, et dans la lumière dansante des flammes, il se rendit compte qu'il l'aimait.

Il était amoureux de sa femme.
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Le ventre de Morgan se noua tandis que ses lèvres incurvées se refermaient sur le rebord du verre. Les muscles puissants de son cou se contractèrent tandis qu’il avalait. Pour une raison étrange, Morgan était fascinée par les images presque pornographiques que la vision d’une telle bouche et de ce qu’elle pourrait accomplir provoquait son esprit. Ses cheveux formaient une masse épaisse et légèrement humide de mèches noisette qui semblait ne jamais avoir vu de peigne. Son regard suivait la ligne de son dos impressionnant jusqu’à ses fesses, et elle sentit une chaleur l’envahir.

Nom de dieu.

Il avait un cul superbe. Plein, bien dessiné et remplissant son jean à la perfection. Morgan lutta pour résorber le rouge qui lui montait naturellement aux joues, décida que son moment de voyeurisme était officiellement terminé et toussa légèrement.

L’homme se retourna brusquement.

Nom de dieu.

Elle fixait une paire d’yeux gris métalliques qui auraient dû être froids et durs. Au lieu de cela, ils semblaient renfermer des quantités de sensualité et de confiance qu’aucun homme ne devrait posséder…
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— Je t'ai toujours aimée. Tu es la seule avec qui je me sens complet, déclara-t-il.

Puis, il se mit à genoux devant elle et plaça ses mains sur son ventre.

— Mon enfant, murmura-t-il, j'avais peur de ne rien pouvoir t'offrir. Mais je me trompais. Je suis prêt à tout donner pour toi.

Le mur trembla de plus en plus, puis s'effondra autour d'elle.

Alexa avait fait son choix
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Chapitre 4 :
" – Bon sang, vous avez du culot. Vous vous êtes bien amusée avec vos activités criminelles ?
Elle battit des paupières.
– Quoi ?
– Vous savez. Le chantage. Voler mon boulot, pour lequel j’ai travaillé dur, juste pour que vous puissiez jouer au jeu Je suis plus importante que vous. C’est comme ça que vous fonctionnez ?
Le rouge lui monta aux joues. Oh ! elle le détestait vraiment. Il allait droit au but à chaque occasion. Il avait besoin d’une bonne leçon en termes de manières et de civilités.
– C’est drôle, si j’étais un homme, en ce moment même, vous seriez sans doute ravi d’avoir à disputer ce genre de partie virile. Est-ce que c’est parce que je suis une femme que vous n’acceptez pas que, parfois, dans le business, on soit obligé de contourner les règles ?
Il laissa échapper un rire sec.
– Je n’ai aucun problème avec les femmes volontaires. Juste avec celles qui mentent. J’ai le même problème avec les hommes qui mentent, d’ailleurs.
Elle saisit son verre pour avoir quelque chose à quoi s’accrocher et leva son menton.
– Ne sommes-nous pas un brin dramatique ? Un peu dans l’exagération ? Je vous offre un boulot tout à fait honnête, et votre client dispose de ce que l’on appelle son libre-arbitre. Comment d’un seul coup tout serait ma faute ?
Il secoua la tête et passa ses doigts dans ses cheveux. Elle regarda les mèches noisette se dresser, puis retomber en un désordre charmant. Il y avait toutefois une zone dans ses cheveux qui semblait plus aplatie. Peut-être parce qu’il portait souvent une casquette de base-ball ? C’était amusant ; elle n’avait jamais été si obsédée par la chevelure d’un homme auparavant. Peut-être parce qu’ils étaient striés de mèches blondes et très épais, descendant bas sur son col. Mais il avait des cheveux aplatis par sa casquette ! Comment cela pouvait-il avoir l’air si désirable ?
Son dernier commentaire avait dû l’énerver encore un peu plus, parce qu’il se mit à déambuler comme un animal en cage.
– Incroyable. Vous avez pris des leçons sur la meilleure manière de n’assumer aucune responsabilité ? Qu’est-ce que vous avez dû promettre à Jet McCarthy pour le convaincre de me virer ?
Elle tapa d’un ongle sur le bord de son verre et le regarda sans ciller.
– Pas grand-chose. Ce qui me fait dire qu’il avait des doutes sur vous pour ce projet. Je lui ai juste offert une nouvelle source de financement, rien qui aurait fait une grande différence s’il avait vraiment voulu travailler avec vous.
Sa bouche s’ouvrit largement face à ce coup direct.
– Madame, avec vous dans les environs, je n’ai pas besoin d’avoir d’ennemis. La prochaine fois que vous aurez à ce point besoin de quelqu’un pour construire votre maison, j’ai une bonne idée : soyez gentille.
– Je l’ai été. Ça n’a pas marché.
Ils se fixèrent intensément, mais Morgan refusa de battre en retraite."
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Arilyn était pompette, mais pas suffisamment pour ignorer qu’il l’avait prise au mot et fait grimper les enjeux.

Cet homme était le dieu du sexe incarné.

En sa présence, son corps était entièrement attiré par lui, bourdonnant et faiblissant comme s’il identifiait son maître. Son regard brûlant exigeait d’elle des jeux sexuels auxquels elle aspirait. Ses cheveux noirs en bataille soulignaient son visage sculpté, son bouc aguichant et ses lèvres pleines. Son aura luisait d’un unique mantra – celui du mâle bestial.

Mais en uniforme, il ne faisait plus seulement saliver : il composait à lui seul un succulent menu complet.

Il portait une chemise bleu marine et une veste rembourrée avec son nom cousu sur la poitrine. En sweat-shirt et en jean, il était déjà intimidant. Mais avec sa ceinture en cuir qui tombait sur ses hanches, garnie de différents accessoires, il lui coupait le souffle tandis que ses mains picotaient du besoin de le toucher. Elle observa l’étui du revolver, les menottes pendant sur sa cuisse, et la matraque. Il était comme un fantasme érotique qui se serait réalisé. Le tissu fin révélait sa musculature, se tendant au maximum sur sa poitrine. Stone Petty constituait un paquet-cadeau que toute femme rêverait de déballer.

Il la dominait, sans détacher son regard d’elle un seul instant. Porté par le martèlement de la musique, il effleura le premier bouton de sa chemise. Il écouta les hourras de la foule, puis l’ouvrit d’un geste rapide.

Son ventre se liquéfia.

Il répéta son geste avec le second bouton. Son immobilité attisait l’exaltation générale. Les billets de banque se mirent à voler et l’assemblée bramait « enlève tout ! » Il les ignora toutes, se concentrant intensément sur elle.

Elle n’avait jamais rien vécu d’aussi érotique.

Dans cette salle bondée, il se déshabillait pour elle. Une bande de peau apparut entre les pans de la chemise. Arilyn entraperçut sa peau légèrement hâlée, ses poils sombres sur ses muscles bien dessinés. Son regard enfiévré parcourut cette bande affriolante jusqu’à ce que sa chemise s’ouvre plus largement, lui offrant une image saisissante.

Elle s’interrogea sur sa saveur, se demanda ce que ça ferait de passer la langue sur cette intrigante ligne de poils plongeant vers sa taille.

-Voulez-vous que j’ouvre entièrement ma chemise, Arilyn ?
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Chapitre 1 :
" – Malheureusement, ce ne sera pas possible. Il y a de nouveaux termes à l’accord selon lequel Caleb conserverait Pierce Brothers.
Le picotement gagna en amplitude. Il changea de position sur sa chaise.
– Qu’est-ce que cet enfoiré a encore fait ?
Dyken grimaça.
– Il a changé les termes du testament il y a un an. L’entreprise aurait originairement été divisée entre vous trois avec une option pour acheter les parts des autres. Cette option n’existe plus.
Dalton se pencha en avant en poussant un soupir impatient.
– Quelles sont les nouvelles options ?
– L’entreprise ne peut plus être séparée entre vous trois. Pour que vous puissiez hériter de Pierce Brothers, vous devez la gérer ensemble en tant que cogérants.
Caleb entendit les mots, mais son cerveau fut incapable de les analyser. Probablement pour l’empêcher de perdre son sang-froid et de descendre directement en enfer pour botter le cul de son père. Ce devait être une erreur. Ses frères regardaient Dyken la bouche grande ouverte, ce qui leur donnait un air comique. Ouais, ils étaient partis depuis longtemps. Ils n’étaient plus habitués aux tours de leur père ou à ses méchancetés de vipère, même après sa mort.
– Quels sont les termes exacts ? demanda-t-il vivement. Et comment fait-on pour se sortir de ce merdier ?
Dyken tendit ses mains devant lui, paumes en l’air.
– Les termes stipulent que vous devez vivre tous les trois dans la maison ensemble et faire tourner Pierce Brothers pendant un an. Si l’entreprise fait des profits – j’ai des critères précis pour estimer ce qu’il appellerait un succès –, vous pouvez tous décider de vendre vos parts et de partir. Si elle ne fait pas de profits, elle sera dissoute sans recours possible.
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Les hommes ne veulent pas vieillir. C’est pour ça qu’ils préfèrent les jeunes.
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