Garfield est obèse, moche, sale, paresseux, goinfre, méchant, égoïste.... C'est pour ça qu'il est drôle.
Son maître est veule, nul en drague, jamais il n'inspirera autre chose que du mépris et de la compassion à la charmante vétérinaire. C'est pour ça qu'il est drôle.
Évidemment, ce n'est pas une BD pour enfants
Quand je vois ce qu'on a tiré de ces personnages pour faire du fric et plaire aux gosses, ça me débecte (moi qui ai en général un vocabulaire si soigné :) ).
Quand j'ai découvert les premiers volumes, j'étais capable d'éclater de rire en les lisant dans les transports en commun. C'est une expérience intéressante : observez les gens autour de vous, ça ne plaît pas à tout le monde.
Je pense qu'à part l'exploitation commerciale outrancière qui a tout déformé, ça a été dès le début une BD difficile à traduire, et que les premiers volumes en français rendaient mal compte de l'esprit original.
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Accro aux chats et surtout accro à Garfield mais ne le dîtes pas à mes chats, ils en feraient une jaunisse.
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Challenge ABC
Challenge petits plaisirs 39/40
Garfield, c'est un chat. J'aime les chats, surtout s'ils me font marrer. Et ici c'est le cas.
Lorsqu'il ne se repose pas, il ne pense qu'à manger. Ou à disserter sur la vie. Ou à en faire voir de toutes les couleurs à son maître ou à son chien. Vous remplacez Garfield par un quelconque "petit" employé de bureau... et vous obtenez une super satyre sociale de la société contemporaine.
Le dessin est simple et lisible, dans ce premier tome, il reste assez imprécis, et peu expressif. Par la suite, en s'affinant, il participera activement à l'humour. Mais il s'agit quand même plus d'illustration que d'art graphique.
Bref, si vous n'aimez ni les chats ni l'humour absurde, Garfield n'est pas pour vous. Dans le cas contraire, n'hésitez pas !
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Garfield est un gros matou bien choyé, philosophe (Comme certains de ses collègues chiens ou chats de B.D.) cynique et indépendant.
On peut ajouter qu'il est gourmand, dors beaucoup et déteste les bains: Un vrai chat, en fait !
C'est une série de petits sketchs courts (en général trois vignettes) qui rendent la lecture sympa et facile, finalement assez rythmée.
C'est devenu un vrai classique de la B.D.
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L'achat de cette dernière bande dessinée n'a pas dérogé à la règle, aussitôt acheté et lu pour retrouvé toutes les autres bandes dessinées Garfield sur létagère.
Un agréable moment de lecture pendant une petite demi-heure comme d'habitude, mais je regrette que Garfield soit devenu moins cinglant au niveau de sa réparti comparé aux premiers albums....
D'ailleurs très peu de personnages ici à part Odie, Jon, Liz, une ou 2 apparitions de Arlène et Irma, ou est donc passé Nermal? La famille de Jon n'est également pas présente dans ce roman et il y a très peu de passage concernant le lundi....
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Je suis une fan inconditionnelle de Garfield, cependant je remarque depuis plusieurs tomes que le cynisme du chat est beaucoup moins présent qu'auparavant et qu'il est de plus en plus orientée jeunesse.
Comme le prouve la dernière page de la bd ou il faut cocher les bd que l'on possède et à mon âge je me vois mal le faire.
Je continuerai à acheter les albums pour compléter ma collection mais je dois avouer que c'est bien la première fois que je ne finis pas cette bd d'une traite.
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Fidèle à mes habitudes je suis partie acheter cette bande dessinée dès sa sortie.
J'ai aimé celle-ci qui se lit très rapidement comme d'habitude, j'ai aimé le petit retour d'Irma, d'Arlène et de Normal (très peu de strips avec ces personnages par contre 1 pour Irma,1 pour Arlène et un pour Nermal).
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Cette petite dernière a rejoint ses acolytes sur mon étagère de bande dessinée, fidèle à ses consœurs des dernières années, ce tome sortant en Octobre quelques strips concerne la période de Noël mais malheureusement la famille de Jon n'est pas présente dans cet opus.
Je ressens tout de même que Garfield s'est beaucoup adouci et assagi durant ces derniers tomes ce qui est bien dommage à mon goût, peut-être afin de cibler un public plus jeune.
Je reste néanmoins une inconditionnel des bandes dessinées avec ce chat roux.
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Un Garfield sans trop de surprise toujours accompagné de Jon, Odie et Liz, les souris sont un peu présente mais ou sont donc passés Nermal, Arlène et la famille de Jon.
Une lecture toujours aussi rapide et plaisante mais qui aurait été encore plus sympathique avec quelques strips sur ces personnages.
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Mon premier Garfield, et si certaines situations ou blagues sont assez drôles ou cocasses, l’humour tombe parfois à plat (question de référence et de culture j'imagine).
A picorer.
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Toujours un plaisir que de retrouver ce chat roux qui m'a tant fait rire étant enfant. J'adore son sarcasme et son ironie. Et les dessis de Davis sont toujours un plaisir pour les yeux.
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Une bande dessinée sympa du célèbre chat grand amateur de pizzas, Garfield, en anglais. Une façon ludique de lire en anglais, découvrir de nouvelles expressions et du nouveau vocabulaire tout en prenant plaisir, sans oublier tout plein d'humour.
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Le seul et unique Garfield de cette année au lieu des deux parutions annuelles habituelles, je n'ai évidemment pas boudé mon plaisir à la lecture de cette bande dessinée.
Je dois avouer que cela reste ma madeleine de Proust, rien de folichon dans cette bande dessinée mais c'est toujours un plaisir pour moi de retrouver Garfield.
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J'ai beaucoup aimé cette bd contrairement à la précédente et je l'ai fini très rapidement, une petite demi-heure de lecture en début de week-end avec cet opus.
J'ai néanmoins été surprise qu'on ne trouve pas de pastilles de Noël et certains personnages me manquent comme Irma et la famille de Jon.
Il est d'ailleurs parti rejoindre ses confrères dans ma bibliothèque.
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Sans plus...
Je ne craque pas sur ce félin ! Désolée...
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J’ai toujours autant de plaisir à retrouver les aventures de Garfield. Je trouve ces petites histoires d’une drôlerie qui fait du bien en ces moments compliqués.
Un duo qui pour moi fonctionne bien entre ce maître sans caractère et ce chat fainéant, glouton et de mauvaise foi
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Encore un bon album avec le chat le plus désopilant de la Terre. C'est toujours un plaisir pour les yeux que de plonger dans son univers loufoque. Dans celui-ci, Garfield reçoit la visite de son grand-père... c'est sympa puisque nous apprenons, du moins pour moi qui n'ait pas lu tous les Garfield en ordre chrono, d'où vient ce gros chat roux. Apparemment, son destin était tout tracé, puisqu'il est né dans les cuisines d'un restaurant italien ! On se demande bien pourquoi alors il aime tant les lasagnes.... Bref... un album qui se lit avec le sourire aux lèvres...
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La passion immodérée de Garfield pour la nourriture semble être une source non négligeable de gags passés et à venir. Il est étonnant de voir avec quelle malice, Jim Davis parvient encore à nous surprendre en inventant des nouveautés. Autant de bons moments assurés. Si la lassitude et le manque d'originalité pointent parfois leur bout de leur nez, quelques changements de thèmes viennent rompre la monotonie.
Ainsi, les membres de Babelio peuvent ici découvrir une manière particulièrement osée pour mettre fin à l'existence d'une araignée (vous savez, l'être vivant à huit pattes qui tisse parfois sa toile quand vous êtes plongés dans un bon livre)... Sans compter les souris, les mésaventures sentimentales de Jon, les déboires du pauvre Odie, la balance maltraitée et le facteur peu épargné... Voilà autant d'intermèdes percutants !
Qu'écrire de plus, sinon qu'il s'agit là d'un album classique, qui se dévore rapidement et assure toujours son petit effet sur le moral (ah la petite bouille de Garfield !!).
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Garfield devenant un maitre de maison émérite, une fée du logis dont la vocation se réveille à l’occasion de ce quatorzième album, vous imaginez un peu ? Et bien Jim Davis, visiblement non plus...
Voilà un concentré de bonheur en quarante-huit pages qui fait plaisir à lire. Le format est classique et bien connu : quatre gags par page, trois cartouches par séquence. Les fans s'y retrouveront. Les thèmes traités sont également classiques. Il n'y a pas vraiment d'originalité, ce qui est bien dommage.
Toutefois, c'est un vrai plaisir d'avoir affaire à une valeur sûre (la goinfrerie de Garfield et la menace d'un régime tiennent le haut du pavé). L'album est d'autant plus plaisant que de nombreux thèmes défilent : le lundi, la cohabitation avec Odie, les passages chez le Véto, les déboires sentimentaux de Jon, les souris (en grande forme) et bien entendu les araignées...
Un bon tome, utile pour connaitre la série ou se faire plaisir. Pour couronner le tout, certains gags sont franchement hilarants (la momie).
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