Les éléphants, sans aucun doute, comprennent la mort. Ils ne s'y préparent peut-être pas comme nous; ils n'imaginent peut-être pas des vies compliquées dans l'au-delà, à la façon de nos doctrines religieuses. Pour eux, la tristesse est plus simple, plus propre. Elle porte entièrement sur la perte. (p. 64)