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3.51/5 (sur 624 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Unionstown, Pennsylvanie , le 30/11/1906
Mort(e) à : Charlottesville, Virginie , le 27/02/1977
Biographie :

John Dickson Carr est un écrivain de romans policiers américain.

Il appartient à l'école classique, dite du whodunit à laquelle appartiennent également des auteurs tels que Agatha Christie, Dorothy L. Sayers, Ngaio Marsh ou Ellery Queen.

Il écrit son premier roman policier "Le marié perd la tête" en 1930. Son dernier roman est quant à lui publié "Les Nouveaux Mystères d'Udolpho" en 1972.
Son œuvre, qui couvre quatre décennies, compte plus de soixante-dix romans, une cinquantaine de nouvelles, près de cent pièces radiophoniques, ainsi qu'une biographie de Sir Arthur Conan Doyle pour laquelle il eut en 1949 un Edgar.

Le thème dominant en est le crime impossible, dont Carr a exploré toutes les variantes possibles et imaginables, de la classique chambre close à l'assassin invisible en passant par le meurtre commis sur une plage vierge de toute empreinte ou au sommet d'une tour inaccessible.
Pour résoudre des intrigues aussi tortueuses, il fallait des limiers plus grands que nature. Carr en a créé quatre : Henri Bencolin , Le docteur Gideon Fell, Sir Henry Merrivale, Le colonel Perceval March. John Dickson Carr, tout en écrivant la majeure partie de son œuvre sous son nom véritable, utilisa également les pseudonymes Carter Dickson (pour les aventures de sir Henry Merrivale), Carr Dickson (The Bowstring Murders, 1934) et Roger Fairbairn (Devil Kinsmere, 1937).
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Source : Wikipedia
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Chronique animée par Fabien Delorme, consacrée aux grands noms de la littérature policière, dans le cadre de l'émission La Vie des Livres (Radio Plus - Douvrin). Pour sa sixième chronique, le 19 octobre 2016, Fabien aborde l??uvre de John Dickson Carr. Fabien Delorme est aussi conteur. N'hésitez pas à vous rendre sur son site : http://www.fabiendelorme.fr/ La page Facebook de l'émission La Vie des Livres : https://www.facebook.com/laviedeslivres62/


Citations et extraits (82) Voir plus Ajouter une citation
Mark demeura silencieux, mais parut encore plus troublé qu'il ne l'avait été tout au long de la soirée. Le cercueil, fait de chêne poli, n'était pas très grand. Sur le dessus, il y avait une plaque d'argent où l'on pouvait lire le nom du défunt avec ses deux dates extrêmes. Ils le déposèrent sur le sol.
- Il est bien trop léger ! répéta Stevens comme malgré lui. Nous n'aurons pas besoin de tournevis. Ca ferme par deux verrous.
Partington déposa ses bocaux à terre avec un linge dans lequel il avait sans doute l'intention d'envelopper quelque chose.
Mark et Stevens tirèrent les verrous et soulevèrent le couvercle ...
Le cercueil était vide.
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"[...] les faits n'ont aucune valeur, n'importe qui peut apprendre des faits. Ce qui a du prix, c'est l'âme de l'individu."
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"[...] le satanisme lui-même est une occupation bien innocente à côté de certaines inventions de l'esprit humain..."
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C' était là la chambre d'un vieil homme. Une paire de souliers démodés et élimés trainait sous le lit.
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Au loin, sur la colline, on apercevait un terrain de golf où de petits points se déplaçaient, puis, ensuite, la plage qui descendait en pente douce vers la mer. Seul parvenait, aussi sourd que le bruit d'un coquillage porté à l'oreille, le roulement des vagues se brisant sur la côte.
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Je crois en un monde nouveau, en un monde plus conscient, en un monde libéré du cloaque où nous avons noyé celui-ci. J’aspire à un monde de lumière et de progrès, où un homme puisse respirer librement. Un monde sans violence ni guerre, un monde, pour reprendre la belle phrase de Wells, « désert, austère et merveilleux ». Voilà tout ce que je veux, et nous en sommes loin.
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White se noircissait afin de mieux pouvoir se blanchir. Il reconnaissait avoir eu l’intention de tuer le juge et, en même temps, prouvait qu’il n’avait pu y parvenir, créant un assassin fantôme. Certes, il ne serait pas reconnu innocent sur-le-champ, mais il ne pouvait être condamné, car n’importe quel jury éprouverait à son endroit, eu égard aux preuves recueillies, ce qu’on appelle un doute raisonnable. Le fait de se passer délibérément la corde au cou était le meilleur moyen de s’assurer qu’on ne serrerait pas le nœud coulant.
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Elle était belle, elle était désirable. Il n’avait pas le droit de soupçonner que sa naïveté et sa vivacité pouvaient cacher quelque chose.
Brenda Lestrange obtenait toujours ce qu’elle voulait. Et elle l’avait voulu, lui, Dieu seul savait pourquoi. Il n’avait rien d’extraordinaire.
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Le fiancé de Caroline semblait prêt à faire preuve d'une énergie impitoyable. Il avait l'air de dire : < ne t'inquiète de rien , mon vieux . Tu peu t'absenter deux secondes et me laisser avec ses femelles prêtes a mordre. Je garderais la situation bien en main>.
P30
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— Vous êtes artiste, à ce qu’on m’a dit ? demanda le commissaire.
— Je suis peintre, mais suis-je ou non un artiste, cela reste à voir.
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