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3.29/5 (sur 344 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Cedar Rapids, Iowa , le 23/02/1944
Biographie :

John Sandford est le pseudonyme de John Roswell Camp, écrivain et journaliste américain.

Pour des raisons de parutions, l’un de ses éditeurs lui demanda de choisir un pseudonyme afin d’éviter des conflits de marketing, Camp choisit alors le nom de jeune fille de sa grand-mère paternelle.

Diplômé de l'Université d'Iowa en études américaines, en 1966, John Camp débute sa carrière de journaliste au Miami Herald de 1971 à 1978. En 1978, il part travailler à Minneapolis pour le Saint Paul Pioneer Press.

Finaliste du Prix Pulitzer en 1980 pour une série d'articles sur la culture des "Native American", il gagne le Prix Pulitzer de la presse écrite (catégorie "Feature Writing") en 1986 pour une série d'article appelée "Life on the Land: An American Farm Family".

Cette série de cinq articles décrit la vie d'une famille de fermiers du Minnesota confrontée à la pire crise de l'agriculture américaine depuis la Grande dépression.

John Camp arrête de travailler à plein temps pour le Pioneer Press en 1989 et débute alors sa carrière d'écrivain.

Il écrit deux romans, "Trajectoire de fou" ("The Fool's Run", 1989), avec pour héros Kidd, un peintre, virtuose de l’informatique et très fort en tarot, et "Le Jeu du chien-loup" ("Rules of Prey", 1989), un roman policier ayant pour héros Lucas Davenport, qui inaugure la série des "Proies" (Prey).

Alors que ses deux romans sont acceptés et près d'être publiés, son éditeur lui demande de fournir un pseudonyme pour son roman "Le Jeu du chien-loup". C'est ainsi que "Trajectoire de fou" est publié sous son vrai nom de John Camp, alors que "Le Jeu du chien-loup" est publié sous le pseudonyme de John Sandford.

La série des "Proies", avec son charismatique protagoniste Lucas Davenport, se révélant plus populaire, "Trajectoire de fou" et tous ses autres romans seront désormais publiés sous son pseudonyme de John Sandford.

En 1996, il écrivit une suite "dix ans après" à sa série d’articles "Life on the Land" ; de temps à autres il écrit des critiques littéraires pour le Fort Worth Star Telegram.

Il est reconnu aujourd'hui internationalement comme un maître du thriller.

site officiel : http://www.johnsandford.org/
page Facebook : https://www.facebook.com/JohnSandfordOfficial/
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Extinction Rebellion est un mouvement international de désobéissance civile en lutte contre l'effondrement écologique et le dérèglement climatique. Ce livre, écrit par Blue Sandford, membre fondatrice d'Extinction Rebellion Youth London n'est pas un simple livre sur l'écologie, c'est un appel à l'action. Il invite les lecteur·rice·s à questionner leur mode de vie et leurs habitudes de consommation. Il fournit également des conseils pour agir concrètement auprès des grandes entreprises et des institutions en menant des actions fortes et médiatiques. Pour découvrir le livre : https://www.albin-michel.fr/tout-changer-9782226471840 Activez la cloche pour être informé des nouvelles vidéos et abonnez vous : https://www.youtube.com/channel/UCaVR_¤££¤12SNtoDZlVVTI4¤££¤9rQ Nous suivre sur les réseaux sociaux : Instagram : https://www.instagram.com/albinmicheljeunesse/ Facebook : https://www.facebook.com/albinmicheljeunesse Twitter : https://twitter.com/AlbinMichel

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Citations et extraits (78) Voir plus Ajouter une citation
Dewey était le nom du sniper. Lucas l'observa à l'autre bout de la salle. Le jeune gars de l'Iowa tenait son fusil à lunette au creux du bras gauche, comme un chasseur de faisons aurait tenu son fusil de chasse. Il bavardait gaiement avec le chef du groupe d'intervention spéciale. "LaChaise n'avait aucune chance de s'en tirer. Il faut que j'aille le remercier.
- Ce garçon me fiche une trouille terrible, dit Roux. Apparemment, il a trouvé tout ça très intéressant. Brûle d'impatience d'aller raconter l'histoire à sa famille. Mais le fait d'avoir tué quelqu'un de sang-froid ne semble pas du tout le perturber."
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Le jour où il avait tué un homme pour la première fois, il n'y avait pas trop pensé. L'homme, Harold Carter, avait prêté de l'argent à LaChaise pour qu'il monte son affaire de pièces détachées de motos.
LaChaise ne l'avais pas remboursé et Carter parlait de porter l'affaire devant le tribunal. LaChaise voulait s'en débarrasser
.Martin avait tué Carter avec son couteau, sur les marches de sa propre maison, avait transporté le corps jusqu'à sa camionnette et l'avait enterré dans les bois.
Ça ne lui avait rien fait. Beaucoup moins difficile, en tout cas, que d'abattre un porc. Un porc savait toujours ce qui l'attendait, et il se débattait pour sauver sa peau. En couinant et se tortillant. Carter s'effondra, point final.
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Vous savez pourquoi les hommes donnent un nom à leur pénis ?
Parce qu'ils ne veulent pas que ce soit un parfait inconnu qui prenne les décisions importantes à leur place.
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Au cas où on tomberait sur un espion russe dingue de la gâchette. frapper à une porte , c'est notre tâche la plus dangereuse .Nadia ne souriait plus lorsque Lucas glissa une balle dans le chargeur de son 45 , mit la sécurité et rengaina l'arme dans son holster;
-Allons-y , dit-il.
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Le coeur demande avant tout du plaisir.
Et puis d'être exempté de la douleur.
Et puis ces petits antalgiques qui amoindrissent la souffrance.
Et puis de s'endormir et puis si c'est la volonté de son inquisiteur le privilége de mourrir.
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Les médias avaient spéculé sur l'effet qu'exerce la publicité sur l'esprit d'un tueur : Est-ce que le fait de parler des tueurs en augmentait le nombre ? Les films violents ou la pornographie pouvaient-ils désensibiliser les hommes au point de les rendre capables de tuer ? Ce n'était pas l'avis de Lucas. Un tueur en série était une cocotte-minute sous pression, fabriqué par les mauvais traitements, par une histoire personnelle, par la chimie d'un cerveau
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Est-ce qu'on peut tuer pour un logiciel ?
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Je ne fais pas de la médecine. Je fais de la chirurgie. Il arrive qu’on ne puisse pas éviter la douleur. Tout ce qu’on peut faire, c’est réparer, et la douleur s’arrêtera sans doute. C’est le mieux qu’on puisse faire.
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Quand vous dites à un nègre de se pointer et qu’il ne vient pas, il a une excuse. Une bonne raison. Même si c’est de la foutaise. Avec les Indiens, c’est différent. Vous dites à un type de venir pour 2 heures. Personne. En revanche, il arrive à 2 heures le lendemain, et il trouve ça parfait. Et il ne fait pas semblant. Il trouve réellement ça normal.
Les psys parlaient d’anomalie culturelle. John Lee Benton, lui, appelait ça emmerder les gens. Les psys prétendaient que la seule solution passait par l’éducation.
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Les gens de théâtre détestent la laideur. Ils aiment la beauté.
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