Mais, dans l'incroyable jeu que le destin avait engagé cinq ans auparavant, le maître, en cet instant, n'était plus le Reichsführer, le grand chef des S.S. et de la Gestapo (...). C'était un étranger sans aucun pouvoir, un gros homme débonnaire : le docteur Félix Kersten.