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3.92/5 (sur 411 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Los Angeles
Biographie :

Voix distincte de la littérature gay, Josh Lanyon est un auteure couronné de nombreux prix.

Depuis plus de dix ans, elle écrit des histoires de mystères et d'aventures à l'intrigue très présente, sur fond de romances gay.

Auteur prolifique, elle a publié son premier roman, "Fatal Shadows", en 2000 et a travaillé avec de nombreux éditeurs, mais aussi auteurs, tels que Laura Baumbach, Jordan Castillo Price et Sarah Black.

Mariée, elle vit en Californie du Sud.

son site : http://www.joshlanyon.com/
Twitter : https://twitter.com/JoshLanyon
page Facebook : https://www.facebook.com/josh.lanyon


Source : amazon.fr
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Bibliographie de Josh Lanyon   (33)Voir plus

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Citations et extraits (103) Voir plus Ajouter une citation
Elle me lança un regard approbateur.
-J'aime les hommes polis et discrets. Et les hommes qui portent du Hugo Boss. J'espérais que vous n'étiez pas gay. Ou que vous étiez seulement à moitié gay. Comme Paul.
-Euh... désolé. Je le suis également à temps plein maintenant. La paie n'est pas géniale, mais les avantages...
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En fait, c’était principalement Jake qui parlait. Mon rôle était habituellement d’être à l’écoute. De temps en temps, il posait des questions que je rangeais dans la catégorie « style de vie gay » : combien de fois par mois faisais-je l’amour ? (Euh… Est-ce qu’on parlait en termes de temps terrestre ?) Quand avais-je fait mon coming out ? (Après la fac, quand il était trop tard pour que ma mère puisse me punir.) Quels lieux je fréquentais pour rencontrer des hommes ? (Les scènes de crime ?) Même si Jake était plus vieux et probablement plus expérimenté, je me sentais parfois comme son mentor gay ou unBig Brother homo. Je ne me sentais jamais comme son amant.

Un mois à tenter de se tenir compagnie puis un mois d’excuses et d’annulations de rendez-vous.

C’était terminé avant même d’avoir commencé.
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— Du jus ? Dieu n’a jamais voulu aucun jus de cette couleur. Le jus, c’est orange ou rose. Ça, ça ressemble à une boisson tout droit sortie de L’Exorciste.

— C’est exactement la couleur que Dieu a souhaité donner au jus.

Il me tendit la boisson.

— Bois.

— C’est une blague, c’est ça ? Je suis susceptible de gerber rien qu’en continuant à la regarder.

— Prends-le. Et bois.

Sa potion maléfique ne semblait pas vouloir disparaître, aussi pris-je le verre des mains de Kirk.

— C’est sur ta tête s’il m’arrive quoi que ce soit. Et c’est une menace littérale. Je dis ça, je dis rien.

— Avale.

Je levai le verre avec scepticisme.

— Y a quoi, là-dedans ?

— Chou frisé, épinard, céleri, courge, persil, spiruline, pomme, orange.

— C’est pas du jus, c’est de la soupe.

— J’ai cru comprendre que tu aimais ça, alors bois ta soupe, qu’on puisse se bouger.

— Deux doigts de cognac, ce ne serait pas un peu plus traditionnel comme remède miracle ?

— Tu es en train de mourir de faim, pas de trouille. Arrête de tergiverser et cul-sec.
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- Les gens changent, non ? C'est le concept de la prison.
- Pas toujours. C'est le concept de la peine de mort.
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— Je connais Robert depuis le lycée. Il travaille pour moi depuis près d’un an.
— Vous n’aviez aucun problème avec lui ? Quel genre d’employé était-il ?
Je clignai des yeux à la remarque de Chan.
— C’était un employé correct, répondis-je, me concentrant enfin sur leurs questions.
— Quel genre d’ami était-il ? poursuivit Riordan.
— Pardon ?
— Couchiez-vous avec lui ?
J’ouvris la bouche mais restai sans voix.
— Étiez-vous amants ? demanda Chan en jetant un coup d’œil à Riordan.
— Non.
— Mais vous êtes homosexuel ?
Ce fut Riordan, droit comme un « i », qui me somma de répondre de son regard froid, m’accablant de toutes les fautes possibles et imaginables.
— Oui, je suis gay. Et alors
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— C’est une belle et ancienne ville, reprit Alison. C’est la plus grande ville d’Écosse. C’est même l’une des plus grandes villes du Royaume-Uni.
— Troisième plus grande, dis-je automatiquement.
J’essayais de ne pas faire ça. Balancer des faits et anecdotes. Ce qui était difficile car dans ma vie professionnelle, j’étais payé pour être un je-sais-tout. Il était surprenant de voir combien de personnes préféraient demander de l’aide à un bibliothécaire plutôt que de faire des recherches par elles-mêmes. Moi, j’adorais la recherche. J’aimais qu’une seule petite information puisse mener à une douzaine d’autres découvertes étonnantes.
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— Écoute, Tara, je sais que tu es bouleversée.
— C’est à cause de toi qu’il est retourné à Los Angeles.
— Il est revenu ici parce que sa famille est ici. Parce qu’il a grandi ici. Parce que ses amis sont là.
— Parce que tu y es, Adrien, espèce de tafiole. Espèce de pervers. Est-ce que tu crois que je ne suis pas au courant ? Est-ce que tu crois que Bob ne m’a pas parlé de toi ?
Son ton caustique aurait pu dissoudre la ligne téléphonique. Je ne savais pas quoi répondre.
Que diable lui avait dit Rob ?
— Nous étions amis, c’est tout, Tara.
— C’est des conneries ! Des conneries. On était heureux, Adrien. Tout se passait parfaitement bien pour nous. On avait une magnifique maison. D’adorables enfants. Une vie superbe.
Elle semblait sur le point de fondre en larmes. Merde.
— Tara, s’il te plaît, tu dois me croire. C’est Rob qui m’appelait. Je n’ai jamais… J’envoyais des cartes de vœux pour Noël chaque année. À vous deux. Voilà tout. C’était le seul contact que j’essayais d’avoir.
— MENTEUR !
Je tins le combiné éloigné et l’écoutai crier.
— Tu n’es qu’un putain de menteur, Adrien. Tu as foutu ma vie en l’air et tu as tué Bob, alors j’espère que tu es content. Non, tu sais ce que j’espère vraiment, Adrien ? J’espère que tu mourras du sida. J’espère que tu mourras le corps pourrissant et la cervelle rongée…
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— J’ai vu un merveilleux reportage sur Lifetime, mon chéri. Cela concernait un livre intitulé « L’art pillé par les nazis ». C’était fascinant.

— C’est fascinant, dit Eve de cette voix polie et teintée d’une pointe d’ennui. Cependant, cela fut très embarrassant pour Maman. Elle a donc fermé la galerie et vendu la majeure partie de l’inventaire en toute hâte.

— Vous êtes en train de dire que votre mère croyait que votre père était un nazi en fuite ?

C’était Jake, droit à la jugulaire.

Eve le dévisagea en réfléchissant.

— Entre autres. La plaisanterie dans la famille était que mon père avait assassiné sa première femme pour pouvoir épouser ma mère.

Ça, c’était du sens de l’humour familial. À qui était-elle apparentée ? Aux Borgia ?

— Qu’en pense votre mère ?

— Maman est décédée il y a neuf ans, mais je ne pense pas qu’elle aurait été vraiment étonnée d’apprendre que c’était vrai. Mon père était… un original.

— Vlad l’Empaleur et Adolf Hitler l’étaient aussi, ne pus-je m’empêcher de remarquer.

— Ne sois pas bourgeois, mon chéri.

Lisa me lança un regard désapprobateur
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La voix du haut-parleur fit une annonce inintelligible. Inintelligible étant la langue maternelle des faiseurs d’annonces du monde entier.
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— La chose que je ne comprends toujours pas, c’est que vous aimiez Hale. Je ne vois pas pourquoi vous ne pouviez pas lui faire confiance quand il vous a dit qu’il n’avait pas…

— Vous n’avez jamais eu peur, dit-elle durement. Vous êtes comme mes propres enfants. Vous avez été protégé et choyé toute votre vie et vous ne savez pas ce que c’est que la peur. Pas la vraie peur. Pas celle qui vous tord les boyaux et vous donne envie de vous pisser dessus, de faire n’importe quoi… vous savez ce que c’est ? C’est une marée noire qui balaye tout et vous entraîne dans les profondeurs. Tout au fond. Et vous vous laissez porter, même quand vous pensez que vous devriez vous battre, même quand vous savez que la fin sera votre destruction, parce que vous avez trop peur. Vous seriez prêt à échanger votre âme pour une journée, une heure, une minute de plus en sécurité. Voilà pourquoi les gens font ce qu’ils font – cette marée noire les emporte comme un contre-courant.
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