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3.6/5 (sur 42 notes)

Nationalité : Venezuela
Né(e) à : Barquisimeto. , le 2/03/1967
Biographie :

Juan Carlos Méndez Guédez est un écrivain vénézuélien, né le 2 mars 1967 à Barquisimeto.

Juen Carlos Méndez Guédez naît en 1967 dans la capitale de l'État de Lara au Venezuela, la ville de Barquisimeto. Il obtient sa licence en lettres à l'université centrale du Venezuela et un doctorat en littérature hispano-américaine à l'université de Salamanque. Il réside actuellement en Espagne.
Ses oeuvres : Los maletines (Siruela, Madrid, 2014), Arena negra (Lugar Común, Caracas, 2013, Casa de Cartón, Madrid, 2013, Casa de Cartón, Lima 2013), Ideogramas (Páginas de espuma, Madrid, 2012) y Chulapos Mambo (Casa de Cartón, Madrid, 2011).

Source : Wikipédia
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Bibliographie de Juan Carlos Méndez Guédez   (6)Voir plus

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Citations et extraits (31) Voir plus Ajouter une citation
Ils se mirent d’accord pour se retrouver à midi et, connaissant la ponctualité de ses compatriotes, elle descendit au restaurant à midi et demi. Ce qui ne l’empêcha pas d’attendre quarante minutes.
( Nous sommes en Amérique du Sud:))
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Non, ta plus grande faiblesse n’est pas ton manque d’expérience. C’est ton mépris. Tu ne seras pas vaincu par plus brillant que toi : tu seras battu par le patient, le médiocre.
Trevanian
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Sans savoir pourquoi, il pensa aux nombreuses similitudes entre la peur et l’amour. Il avait lu quelque part que, quand on était amoureux, on éprouvait l’étrange hallucination que le monde était rempli de petits signes directement adressés à soi. C’était pareil avec la peur : le moindre détail entrevu la ravivait, la soulignait. La peur se multipliait et le son le plus léger –un aboiement de chien, une fenêtre qui se ferme, une feuille de papier froissée –semblait un nouveau signal de menace.
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“Des seins en silicone, se dit-il. La moitié du pays en a, c’est une vraie épidémie ; si les impérialistes nous envahissent, j’espère que l’état-major a un plan pour que les nichons se transforment en arme secrète, parce que ici ce que les gens ont en tête, ce ne sont pas les stratégies de défense, mais les nouveaux nichons qu’ils vont se payer, les nichons qu’ils matent, ceux dont ils rêvent ou ceux qu’ils critiquent. Le pire ennemi de la révolution, c’est la silicone.”
( Venezuela )
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Un endroit où, tous les ans, dix-neuf mille personnes se font tuer n'est pas un endroit où l'on cache la mort de quelqu'un. En fait, aujourd'hui au Venezuela, c'est être vivant qui est suspect. Toute personne qui n'a pas été tuée est mal vue. Pourquoi il est encore là? Pourquoi il s'est pas fait assassiner? Etre vivant au Venezuela, c'est une façon d'être coupable.
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C’était mieux quand j’étais jeune. Si au lycée des types me poussaient dans l’escalier, ou si je me faisais voler ma montre à la sortie de la fac, ou si le professeur de physique ne me mettait pas la moyenne à un examen, je pensais : je n’ai que deux phrases à dire, Pancho débarque, quelques coups de feu et tout rentre dans l’ordre.
( Caracas-Venezuella)
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Je l’ai détesté. C’était tellement simple de détester quelqu’un.
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...la fin qui est la seule chose certaine dans tous les commencements.
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Impossible de retourner à la ville que l'on avait aimée. les villes partaient avec vous. Y retourner, c'était retrouver la photocopie froissée de ce qu'on avait aimé un jour
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Je bouge un peu les doigts Je sens qu'ils répondent sans difficulté. Mis à part une gêne dans le dos, je crois
que je suis intact. Je pourrais parler, me lever, pousser un grand cri.
Je préfère rester immobile.
J'observe longtemps une mouche écrasée sur le plafond. On dirait l'œil d'un petit rongeur
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