Lulu se réveilla à l'aube au son des oiseaux qui s'interpellaient, au parfum moite et moussu du sous-bois, à la caresse de la brise de fin d'été sur son visage et au goût ( parce qu'elle n'avait pas pris la peine de sa laver les dents avant d'aller se coucher) de son sandwich aux cornichons de la veille.