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Citations de Julie Klassen (45)


Quand une femme épouse un homme, elle épouse aussi sa famille, pour le pire ou le meilleur.
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Avec l'aide de Polly, Abigail s'habilla pour le bal. Elle arracha ses bas de soie, enfila une chemise et des jupons. Après avoir fixé les longues baleines du corset sur sa chemise, la femme de chambre l'aida à enfiler la robe blanche, nouant les rubans et attachant les boutons de nacre du bustier. Puis, elle boucla ses cheveux au fer chaud, les attacha en un chignon haut, laissant quelques petites bouches légères encadrer son visage. Elle agrémenta sa coiffure de petites roses blanches assorties à sa robe de mousseline moirée.
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En ouvrant un livre au hasard, on ne sait jamais quel trésor il peut recéler.
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Dommage. Il est tellement fâcheux de se trouver en présence de femmes courageuses et pragmatiques. Cela nous prive, pauvres hommes que nous sommes, de notre chance de les protéger des tentures gonflées et des silhouettes enveloppées dans des draps.
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Vous êtes très bon de mettre du baume sur ma fragile fierté féminine.
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Et même s’il trouvait sa cadette jolie, ce qui était indéniable, il n’en était pas épris. En fait, il la considérait comme une jeune fille indocile qu’il fallait ramener dans le droit chemin, non comme une femme à courtiser, à aimer, à épouser.
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Depuis toujours, le leurre du trésor caché est présent dans les contes et les mythes. Qu’il s’agisse des coffres remplis d’or des pirates ou de l’oie qui pondait des œufs d’or. Et nos traditions locales colportent des histoires de trésors à portée de main.
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Certains d’entre nous passent leur vie à déployer d’immenses efforts pour accumuler des possessions ou des richesses, en prévision de jours difficiles ou d’un futur incertain. Et si nos revenus sont modestes, nous dépensons notre énergie à essayer de trouver un moyen d’obtenir notre prochain repas
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Comme il est bizarre de profiter du malheur des autres.
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On ne peut pas blâmer un homme d’espérer.
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Mac Chapman regarda sa fille.
– Peut-être ont-ils raison, ma chère. Peut-être est-il temps pour toi de t'amuser. De commencer à vivre.
Les deux mains levées en un geste de désarroi, elle demanda :
– Et comment appelez-vous ce que j'ai fait jusqu'ici ?
– Tu as attendu.
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- Merci de ne pas me pousser à venir à l'église.
- L'idée ne m'effleurerait même pas.
S'il avait été un peu déçu de ne pas l'y voir, il n'avait nulle intention de chercher à l'influencer. Au lieu de cela, il lui jeta un coup d'oeil et lui dit avec une ironie enjouée:
- Vous viendrez quand vous serez prête. J'ai entendu dire que les sermons étaient très... instructifs.
Elle lui jeta un regard perplexe. Avait-il piqué son intérêt? Il l'espérait vivement.
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- Vous n'êtes pas vieux, Mr Pembrooke, répéta-t-elle, docile. Je suppose que vous n'avez que... combien ? Trente ans ?
Il pressa une main sur son cœur.
- Vous me faites beaucoup de peine, mademoiselle, dit-il sur un ton mélodramatique. Je n'aurai trente ans que dans deux mois.
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J'aime la pluie, en fait, poursuivit-elle en regardant de l'autre côté du pâturage. La manière dont elle transforme les couleurs des feuilles et des fleurs, dont elle les rend plus vibrantes. J'aime son odeur. J'aime la façon dont elle vous laisse pensif tout en vous donnant l'impression d'être plus vivant...
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Pour raconter et pour se faire connaître. Il était temps d’ouvrir la porte, de laisser tous ces sombres secrets éclater enfin au grand jour.
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II y a une différence entre subvenir aux besoins de sa famille et accumuler les trésors. Avoir le désir de la richesse. Ou chercher quelque trésor imaginaire « là-bas », quelque part, pour essayer d’être heureux.
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Les nouveaux départs sont toujours si enthousiasmants, ne trouvez-vous pas? Ils contiennent tant de promesses.
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Soulevant le couvercle d'un carton, il en tira un chapeau orné de plumes molles et poussiéreuses, parsemé d'hortensias blancs, avec un petit oiseau empaillé qui avait perdu son bec. Abigail se dit qu'elle n'avait jamais de sa vie vu un chapeau plus laid. Elle jeta un coup d’œil gêné à Leah pour observer sa réaction.
Leah sourit.
- C'est... quelque chose.
- Ne sois pas polie, petite. Même moi, je peux voir qu'il est hideux. Il était affreux il y a vingt ans et le temps et la poussière ne l'ont pas arrangé. C'est pour cela que je l'ai choisi.
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- Je sais que je suis plus âgé que vous mais je suis jeune d'esprit. Vous ne pouvez le nier.
- Certes, non.
- Et vous êtes plus vieille que votre âge.
Abigail le regarda, mortifiée.
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« Hésitants, ils s’avancèrent, les traces de leurs pas s’imprimant dans la poussière qui couvrait le sol. La première pièce dans laquelle ils entrèrent se révéla être le petit salon. Il donnait sur la salle à manger où un lustre de cristal, drapé de toiles d’araignées, surplombait une longue table. Au centre de celle-ci, une composition florale – des fleurs, des branches de saule et ce qui semblait être un ananas – s’était desséchée jusqu’à devenir un amas brunâtre de brindilles et de cosses cassantes. Venait ensuite le grand salon. Abigaël survola les lieux du regard avec étonnement. La pièce paraissait avoir été quittée quelques instants à peine avant leur arrivée, sur une table ronde, les fonds des tasses d’un service à thé étaient incrustés de thé séché. Un livre ouvert attendait sur un accoudoir du canapé. Une tapisserie, presque achevée, était coincée sous un fauteuil, retourné. Qu’avait-il bien pu se passer ? Qu’est ce qui avait bien pu pousser les occupants de Pembrook Park à quitter les lieux de façon si soudaine ? »
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