La mer, c'était l'essence même de Surcouf. Elle était l'air de ses poumons, le sang de ses veines. Et si, depuis son retour de Madagascar, il avait renoncé momentanément à repartir, c'est parce que au lieu de s'occuper de son seul navire il mettait sur pied une véritable flotte destinée à servir la France et son maître sur toutes les mers du monde.