Oser porter le nom du plus grand dompteur de féodaux qu'eût produit la terre de France jusqu'à Napoléon et se faire le plat valet d'un tsar moscovite, maître d'une peuplade aux usages plus barbares que ceux de véritables sauvages, du moins si elle s'en rapportait au souvenir cuisant que lui avait laissé le beau comte Tchernytchev...