Zoire ne savait pas cela avant de devenir vieux ; que la cervelle pourrit autant que la chair et qu'elle devient triste et à peine tiède, poisson pêché laissé sur la berge, que les fièvres s'éteignent, que les idées s'amollissent comme bougies usées, et que le caractère se décourage un peu plus chaque matin où l'on se perd soi-même.