Nationalité : Suisse
Né(e) le : 10/05/1886
Mort(e) le : 10/12/1968
Né(e) le : 10/05/1886
Mort(e) le : 10/12/1968
Biographie :
Théologien calviniste, porte-parole de la théologie dialectique. - Pasteur. - Professeur à l'Université de Bâle, Suisse (jusqu'en 1962)
Fils d'un professeur de théologie, il commence des études de théologie à Berne, avant de les poursuivre à Berlin où il est alors étudiant d'Adolf von Harnack, l'un des chefs de file les plus brillants de l'École historico-critique et de la théologie libérale, puis à Tübingen et finalement à Marbourg, où il suit l'enseignement de Wilhelm Herrmann, auquel il se référera constamment par la suite. À la fin de 1904, il devient pasteur d'une paroisse réformée de Genève. Puis il devient pasteur à Safenwil (Argovie). Il adhère au Parti social-démocratique et milite pour des réformes sociales. Déçu par le ralliement des théologiens libéraux allemands - ses maîtres - au bellicisme germanique, il remet en cause la théologie qu'on lui a enseignée et qu'il avait adoptée d'enthousiasme (notamment celle de Herrmann) et s'éloigne peu à peu du socialisme chrétien.
+ Voir plusThéologien calviniste, porte-parole de la théologie dialectique. - Pasteur. - Professeur à l'Université de Bâle, Suisse (jusqu'en 1962)
Fils d'un professeur de théologie, il commence des études de théologie à Berne, avant de les poursuivre à Berlin où il est alors étudiant d'Adolf von Harnack, l'un des chefs de file les plus brillants de l'École historico-critique et de la théologie libérale, puis à Tübingen et finalement à Marbourg, où il suit l'enseignement de Wilhelm Herrmann, auquel il se référera constamment par la suite. À la fin de 1904, il devient pasteur d'une paroisse réformée de Genève. Puis il devient pasteur à Safenwil (Argovie). Il adhère au Parti social-démocratique et milite pour des réformes sociales. Déçu par le ralliement des théologiens libéraux allemands - ses maîtres - au bellicisme germanique, il remet en cause la théologie qu'on lui a enseignée et qu'il avait adoptée d'enthousiasme (notamment celle de Herrmann) et s'éloigne peu à peu du socialisme chrétien.
Source : Wikipedia
Ajouter des informations
étiquettes
Citations et extraits (10)
Ajouter une citation
[…] ; que ton Eglise sache faire valoir son existence, qu'elle soit libérée de toute réaction romanisante et de tout américanisme pétulant, libérée de la crainte et de la pusillanimité, de l'esprit d'orgueil, de « blague ». Que nous cessions de feuilleter seulement la Bible au lieu de la lire. Que nous modérions un peu notre manie de citer la Bible au lieu de vivre avec elle et de la laisser parler. Que nous priions pour que la Bible ne cesse pas de nous intéresser. Que la Bible ne commence pas à nous faire bâiller et que, dans toutes ses parties, ta parole ne devienne pas dans nos cerveaux et dans nos bouches une affaire ennuyeuse, qu'elle ne devienne pas mauvais sermon, mauvais catéchisme, mauvaise théologie. Tout cela est très simple, mais aussi très nécessaire.
Quelle honte que notre ingratitude, que notre injustice sociales ! Quelle stupidité que dans cette humanité entourée de tes dons, enflée de richesses, il y ait encore des gens qui crèvent de faim !
Heureusement, dans le Royaume de Dieu, il n'y aura plus besoin d'Église, car Jésus-Christ aura achevé ce qu'il a commencé.
Est-ce la rencontre avec le socialisme interprété par Kutter et Ragaz qui nous ouvrit les yeux sur le fait que Dieu est encore tout autre chose que ce qu'il semble être, dire et faire dans le clair-obscur de la conscience religieuse chrétienne ?
C’est toujours un danger et une séduction d’écrire de si gros volumes de dogmatique !
L’espérance chrétienne est un puissant levier pour le monde entier, justement parce qu’elle dépasse infiniment les buts accessibles à la volonté et à l’action politiques, économiques, sociales ou même ecclésiastiques.
Ce n'est pas un mérite, un effort moral ou une sorte de vertu de savoir pardonner. Ils sont agaçants, ces gens au sourire perpétuel, qui vous courent après pour vous pardonner !
Nous savons trop bien et en même temps nous ne savons absolument pas ce que nous affirmons par là.
II se peut que nous soyons des sans-Dieu, mais Dieu n'est pas sans les hommes.
Lorsqu'on croit, on lui fait la nique, à ce Diable.
Acheter les livres de cet auteur sur
Les Dernières Actualités
Voir plus
Quiz
Voir plus
Les derniers Géants
Qui est Archibald ?
C'est un bibliothécaire
C'est un savant
C'est médecin
16 questions
90 lecteurs ont répondu
Thème : Les derniers géants de
François PlaceCréer un quiz sur cet auteur90 lecteurs ont répondu