Jusqu'au soir où au début elle n'a pas semblé avoir envie de le faire ou quoi que ce soit, mais elle voulait rester dormir. Elle s'est déshabillée, et couchée sur le dos dans mon lit et a fixé le plafond sans rien dire.
Parfois j'ai l'impression que je suis entrain d'essayer d'apprendre son corps par cœur, comme si j'avais peur qu'il disparaisse. Je connais les creux sous ses clavicules, ses orteils moites, le grain de beauté sous son sein gauche et le duvet blanc sur ses avant-bras. Si on jouait à colin-maillard, je ne me tromperais jamais, à condition qu'elle soit nue.