Citations de Katherine Pancol (3675)
Un jour tu comprendras qu’on vit, toute sa vie, sur les émotions, les sensations de ses vingt premières années. Ce sont les seules qui comptent. Les seules importantes parce qu’elles te façonnent…. Plus tard c’est sur ces années là que tu retourneras. Ce sont tes plaisirs, tes douleurs, tes déceptions de jeunesse que tu voudras retrouver. Tu te réconcilieras avec des gens qui t’ont déçue, qui t’ont trahie. Tu aimeras encore plus ceux qui t’ont aimée autrefois. Tu voudras retrouver cette douleur passée, la transformer en douceur, parce c’est plus facile que de toujours aller de l’avant, toujours se battre. Plus on vieillit, moins on a envie d’agir. La pensée ralentit, tourne autour des mêmes choses qui deviennent des obsessions qui bercent ou qui rendent fou. Les miennes me bercent.
On reconnaît le bonheur au bruit qu’il fait en partant.
On ne guérit pas d'avoir une mère qui ne vous aime pas. Ça creuse un grand trou dans le coeur et il en faut de l'amour et de l'amour pour le remplir !
Tu nous as tout appris.
Tout ce que je sais, tout ce que j'aime dans la vie, ça vient de toi, David.
Je suis pétrie de toi.
Et quand tu es parti...
Je ne savais plus rien.
Je ne savais plus marcher droite et fière comme une allumette. Mes yeux s'étaient éteints.
Je ne savais plus toiser les impudents.
Je ne savais plus où le soleil se levait et où il se couchait, je ne savais plus la nuit et le jour, le froid et la tempête, le pain qu'on mange et l'eau qui désaltère.
Je ne savais plus rien.
Tu avais tout emporté avec toi.
C'est drôle se dit Philippe, on peut vivre côte à côte et ne presque rien savoir de l'autre. Se perdre de vue en se parlant chaque jour.
Ce roman se passe à Paris. Et pourtant on y croise des crocodiles. Ce roman parle des hommes. Et des femmes. Celles que nous sommes, celles que nous voudrions être, celles que nous ne serons jamais, celles que nous deviendrons peut-être. Ce roman est l’histoire d’un mensonge. Mais aussi une histoire d’amours, d’amitiés, de trahisons, d’argent, de rêves. Ce roman est plein de rires et de larmes. Ce roman, c’est la vie.
Je vois tout, je sens tout, mille détails entrent en moi comme de longues échardes et m'écorchent vive. Mille détails que d'autres ne remarquent pas parce qu'ils ont des peaux de crocodile
"La vérité n'est pas ce qu'on affirme à voix haute mais ce qui nous échappe."
“Tout le monde se bat pour avoir toujours plus d'argent et est-ce que le monde est meilleur ? Est-ce que les gens vont mieux ? Est-ce qu'ils sifflent dans la rue ? Non. Il n'y a que l'amour qui remplit vraiment.”
Peut-être qu'on peut pas tout avoir dans la vie. Moi je me marre et je suis pauvre, vous vous emmerdez et vous êtes riche.
Le silence peut être le signe d'une grande joie qui ne trouve pas ses mots. C'est parfois aussi une manière de dire son mépris.
Il posa son livre. En prit un autre. Le théatre de Sacha Guitry. Ferma les yeux et se dit, je l'ouvre au hasard et je médite la phrase que je trouve. Il se concentra, ouvrit le livre, ses yeux tombèrent sur cette phrase:
''On peut faire baisser les yeux aux gens qui vous aiment, mais on ne peut pas faire baisser les yeux aux gens qui vous désirent".
Je ne baisserai pas les yeux. J'attendrai mais je ne renoncerai pas.
Baiser, oui, mais pas de papouilles après. Pas de serments d'amour, de baisers lacrymaux. Dès qu'on s'approche de trop près, on recueille tous les miasmes de l'amour.
Je veux aimer un homme aux mains solides, aux jambes piliers, arrimées dans le sol, un homme aux mots simples et clairs, au rire franc et sonore, un homme à l'ambition modeste, un homme qui plante des arbres, qui scie des planches, qui retourne la terre, qui conduit un tracteur, qui construit une maison et qui rentre le soir se coucher contre moi et me prenne sans que je me demande si, la nuit, il ne va pas se relever et partir...
J'ai aimé follement un homme qui est parti...
Sans un mot. Sans une explication. Sans même se retourner.
Une homme drôle, raffiné, cultivé, séduisant, rapide, puissant. Un homme qui voulait être le roi du monde et dicter sa loi. p.41
L'amour sans sentiment, sans possession, c'est délicieux... On se donne sans s'enchaîner. L'âme et le coeur se reposent pendant que le corps s'agite...
Le silence peut être le signe d'une grande joie qui ne trouve pas ses mots. C'est parfois aussi une manière de dire son mépris.
J'ai compris que l'amour c'était de pouvoir montrer ses faiblesses à l'autre et qu'il n'en profite pas pour vous écraser.
Il y a des gens dont le regard vous améliore. C'est très rare, mais quand on les rencontre, il ne faut pas les laisser passer.
Si vous ne croyez pas en vous, comment voulez-vous que les autres y croient ?
First Lady ! Elle déteste cette appellation contrôlée. "On dirait le nom d'un cheval qui court le tiercé ! Appelez-moi Mrs. Kennedy", prévient-elle le jour de son entrée en fonctions.