AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Katherine Pancol (3679)


"Soudain, tu t’es levé. Tu as regardé ta montre et tu es parti.
Je me suis dit il a une copine, une femme dans sa vie, elle l’attend et il va la rejoindre. Ils ont rendez-vous. Il est venu pour tuer le temps avant de la retrouver. Une seconde, j’ai envié cette femme d’avoir un homme si ardent, si entier, si vrai, une seconde, j’ai regretté que cet homme-là ne soit pas pour moi, pour moi qui l’avais eu si entier, si ardent, si vrai pendant quelques instants, et puis j’ai pensé c’est la vie, c’est comme ça. Je t’ai regardé partir'.
Commenter  J’apprécie          10
Toutes ces histoires croisées qui s'imbriquent bien les unes dans les autres, tous ces tiroirs qu'on ouvre sur des personnalités typées, si différentes, sont un vrai régal. J'ai lu les trois tomes d'une traite, mais la fin est un peu décevante et baclée.
Commenter  J’apprécie          12
En revenant de faire les courses avec sa mère, alors qu'elles tendaient le bras pour héler un taxi, elles avaient aperçu un escargot réfugié sur le bord de l'avenue, rétracté sous sa coquille, tentant de passer inaperçu sous une feuille morte. Sa mère s'était penchée, l'avait ramassé et lui avait fait traverser l'avenue. .../... Hortense avait secoué la tête, exaspérée.
- T'es obligée de t'occuper de tous les escargots que tu rencontres?
- Mais il se serait fait écraser en traversant!
- Qu'est-ce que t'en sais? peut-être qu'il a mis trois semaines pour franchir la chaussée, qu'il se reposait, soulagé, avant d'aller retrouver sa copine et toi, en dix secondes, tu le ramènes à son point de départ!
Commenter  J’apprécie          10
"Quand tout est réuni, quand l'âme, le coeur et le corps s'enlacent et s'envolent, alors c'est le grand amour."

- les écureuils de central park sont tristes le lundi -
Commenter  J’apprécie          10
"Un souvenir de bonheur, même quand il fait mal, c'est toujours mieux qu'un souvenir de malheur !"
Commenter  J’apprécie          10
-Dites, mon cher, vous savez de quoi meurent les viellards?-...-ils meurent parce qu'on ne fait plus attention à eux, qu'ils sont devenus transparents. Je ne veux pas devenir transparente.
Commenter  J’apprécie          10
Elle croit que l'argent peut tout, que l'argent donne tout, mais ce n'est pas l'argent qui faisait que j'étais là quand elle rentrait de l'école, tous les jours, que je préparais son goûter, que je préparais son dîner, que je préparais ses affaires pour le lendemain pour qu'elle soit la plus belle, que je me privais de tout pour qu'elle ait ses belles tenues, de beaux livres, de belles chaussures, un bon steak dans son assiette...je m'effaçais pour lui lasser toute la place. Ce n'est pas l'argent qui donne ces attentions-là. C'est l'amour. L'amour qu'on verse sur un enfant et qui lui donne sa force. L'amour qu'on ne compte pas, qu'on ne mesure pas, qui ne s'incarne pas dans des chiffres...
Commenter  J’apprécie          10
C'est ça le pire, vivre une vie immmobile où il ne se passe rien tellement tu as peur.
Commenter  J’apprécie          10
La foi en la vie, il ajoute, c'est de croire qu'il y a une place pour toi derrière le brouillard. En ce moment, tu penses que tu es tout petit, tout cassé, sans importance, mais quelque part, derrière ce gris, une place t'est réservée, une place où tu seras heureux…
Commenter  J’apprécie          10
Je n'en peux plus de ton hypocrisie , je n'en peux plus de tes mensonges , je n'en peux plus de tes bras en croix , de ton sacrifice .....Cette manière de me faire la leçon à chaque fois ,alors que toi , tu as juste exercé le plus vieux métier du monde ! .
Commenter  J’apprécie          10
lu dans l'ordre après les crocodiles et les tortues, là j'ai compris et aimé !
Commenter  J’apprécie          10
Du plus noir malheur, elle savait extraire une perle blanche, pure, nacrée qui brillait dans l’obscurité et qu’elle suivait aveuglément. Le talent de Clara était là. Dans la résistance à un destin que la vie voulait lui imposer et qu’elle refusait, petite humaine cramponnée à un bonheur qu’elle ne voulait ni laisser passer ni accepter dans sa médiocrité. En elle et chez les autres. Elle faisait des malheureux, bien sûr. Elle créait du malheur, de la souffrance. Chez elle et chez les autres. Mais elle les faisait sortir de leur vie, elle les forçait à se dépasser, à accepter une douleur, un destin qui les rendait grands et beaux.
Commenter  J’apprécie          10
En arrivant chez elle après avoir quitté son frère, Clara jette les clés de son appartement dans le petit panier sur la table de l’entrée. La concierge a glissé le courrier sous la porte et Clara se baisse pour le ramasser. Des factures, des factures, et encore des factures. Il va falloir qu’elle se remette à travailler. Ou qu’elle laisse entrer les huissiers. Clara Millet fait partie de ces gens qui ne travaillent que lorsqu’ils y sont obligés. L’homme des cavernes, explique-t-elle, bossait cinq heures par semaine, le temps d’un ravitaillement, sinon il se marrait, jouait aux osselets, peignait ou baisait. Moi, je travaille quand le besoin me saisit. Mais le besoin se fait de jour en jour plus pressant.
Commenter  J’apprécie          10
C'était fatiguant, cette faculté à tout sentir, tout ressentir. A se laisser pénétrer par une intonation de voix, une remarque ironique, un haussement de sourcils. Elle ne parvenait pas à mettre de barrières entre les gens et elle. [...] Un rien l'égratignait ou la rendait heureuse. Un rien l'abattait ou soulevait en elle une vague d'espoir et de chaleur.
Commenter  J’apprécie          10
- Joséphine, comment font les gens qui réussissent ? Sont-ils simplement touchés par la chance ou ont-iles une recette ?
- Je ne crois as qu'il y ait une recette ... Ce qu'il faut au départ, c'est choisir un costume qui te va, dans lequel tu te sens bien et, petit à petit, tu l'agrandis, tu le fais à tes mesures. Petit à petit, Antoine ... Toi, tu vas trop vite. Tu vois grand tout de suite et tu sautes tous les petits détails qui sont importants. On ne réussit pas du premier coup, on pose une pierre après l'autre.
Commenter  J’apprécie          10
La vie avait continué après, la vie continue toujours. Elle te donne des raisons de pleurer et des raisons de rire. C'est une personne, la vie, une personne qu'il faut prendre comme partenaire. Entrer dans sa valse, dans ses tourbillons, parfois elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir et puis elle t'attrape par les cheveux et te dépose plus loin. Parfois elle t'écrase les pieds, parfois elle te fait valser. Il faut entrer dans la vie comme on entre dans une danse. Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi, en accusant les autres, en buvant, en prenant des petites pilules pour amortir le choc. Valser, valser, valser. Franchir les épreuves qu'elle t'envoie pour te rendre plus forte, plus déterminée.
Commenter  J’apprécie          10
Alors tu as cru que, pour qu' on t'aime, tu devais tout donner. Ce que tu as fait avec Antoine, avec Iris, avec tes filles. .. Tu as donné éperdument. Sans jamais rien recevoir. Et c'est devenu une habitude. Tu trouves même cela normal.
Commenter  J’apprécie          10
Il n'y a pas plus résolu qu'une fille de seize ans amoureuse.
Commenter  J’apprécie          10
Lorsque l'homme aura coupé le dernier arbre, pollué la dernière goutte d'eau, tué le dernier animal et pêche le dernier poisson, alors il se rendra compte que l'argent n'est pas comestible.
Commenter  J’apprécie          10
Quand on sent tout, poursuit Josephine, on remarque le moindre détail, il nous égratigne. C'est comme ça. Il y a des gens qui ont l'épiderme sensible et d'autres une peau de crocodile.
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Katherine Pancol Voir plus

Quiz Voir plus

Katherine Pancol

Où est née Katherine Pancol ?

France
Belgique
Maroc
Liban

10 questions
197 lecteurs ont répondu
Thème : Katherine PancolCréer un quiz sur cet auteur

{* *}