Citations de Katherine Pancol (3679)
"Il faut toujours regarder sa peur en face et lui donner un nom. Sinon, elle vous écrase et vous emporte comme une vague scélérate".
"Quand on est amoureux, quatre vingt dix huit pour cent du cerveau ne fonctionne pas".
"Il y a des gens dont le regard vous améliore. C'est très rare, mais quand on les rencontre, il ne faut pas les laisser passer".
Que j'aime quand il me regarde avec des yeux qui m'écoutent. Qui me disent que je suis unique.
Si je n'étais pas bien polie, bien éduquée par des années de "ça se fait pas, c'est pas correct", je me précipiterais contre lui. (...) En lui mangeant la bouche, les dents, le nez, les joues, en fouillant dans son cou, dans ses oreilles, me repaissant de cette évidence : c'est lui. (...) J'avais rendez-vous et je ne le savais pas.
" Un souvenir de bonheur, même quand il fait mal, c'est toujours mieux qu'un souvenir de malheur".
" Plus ça va, plus je pense qu'on ne choisit pas grand-chose. La vie vous arrive, c'est tout, et on fait avec... On fait de son mieux avec...".
" La bonne chair amollit les coeurs et favorise les confidences".
" ...trouver le mot juste et la couleur qui va avec ".
Etre star ou ne pas l'être. Cette ambiguité va poursuivre Jackie toute sa vie.
- Tous habillés de marron, de gris, de noir. Pas de boutons rouges ni d'écharpe verte! Des chaises, je te dis, des chaises. Une armée de chaises qui attendent en tremblant le postérieur du patron. Tu veux que je te dise, Gary? Ces gens portent le deuil. Ces gens n'ont plus d'espoir. Ils marchent dans la rue parce qu'on leur a dit de se lever tôt, de prendre le train ou le métro, de se rendre à leur bureau, de hocher la tête devant le bellâtre pommadé qui leur sert de maître. Je refuse d'être une chaise!
- Tu n'as pas faim? demande Gary...
L'amour, c'est quand l'autre vous regarde, pose son regard sur vous et voit, au fond, des pépites que vous ignorez, les exhume et vous les apporte. Pour vous enrichir, vous agrandir, vous rendre libre. Le regard d'amour qui vous donne de grands espaces où galoper ivre de bonheur et de fierté. Je suis moi et je suis quelqu'un de formidable parfois, de moins formidable d'autres fois.
Nos regards aveugles s'étaient croisés en un éblouissement meurtrier.
Un titre original qui m'intrigue. Je me lance dans cette lecture et la ... déception, je trouve l'histoire assez plate.
Peu à peu je m'attache aux personnages.
A la fin, je me rend bien compte que ce livre est plein d'émotions.
Une maman pleine de courage et d'abnégation pour le bonheur de ses deux filles.
* Pourquoi n'aime-t-on pas les hommes qui restent et vous dispensent de subir les atroces souffrances de l'abandon brutal ? Pourquoi a-t-on besoin de sublimes douleurs pour sceller les grandes histoires d'amour ? Pourquoi ne retient-on pas de l'amour que les moments de torture fulgurante ? *
* Avez vous si peur de l'amour que vous préférez qu'on vous déteste ? *
* J'avais peur.
Peur que ça recommence, cette douleur.
Cette douleur d'attendre.
D'attendre et d'attendre encore...
Peur...
Peur d'aimer à nouveau.
Peur d'aimer à nouveau un homme qui me laisse sur le quai et s'éloigne sur un bateau... *
* Au début du livre, il y a cette phrase : "Et tu découvriras ce qui reste d'un homme après sa mort, dans les mémoires et les paroles d'autrui."
Il n'y a que la recherche de la vérité qui forme, qui donne le courage d'être et de créer, qui donne un sens à la vie...
J'ai appris qu'on ne gagne rien à essuyer rejets et critiques.
J'ai compris que le bonheur, ce n'est pas de vivre une petite vie sans embrouilles, sans faire d'erreurs ni bouger. Le bonheur c'est d'accepter la lutte, l'effort, le doute, et d'avancer, d'avancer en franchissant chaque obstacle.