Citations de Katherine Pancol (3679)
La vie est triste quand on la répète chaque jour. Il suffit de changer les ingrédients et elle chante.
Les parents, ça ne sert qu'à vous ralentir, à vous alourdir, à vous balancer du doute, de la culpabilité, que des trucs qui puent.
Ce qui est incompréhensible, c'est que le monde soit compréhensible.
Tu sais, ton père et ta mère finissent toujours par te présenter l'addition et te la faire payer. Et il vaut mieux que tu paies et que tu leur pardonnes.
Elle l'aimait.Cette découverte s'était imposée à elle non pas avec la soudaineté d'un orange d'été, mais plutôt avec la lente insistance d'une pluie de printemps.
On a chacun notre mauvais rêve... Celui qui vient nous saisir en pleine nuit quand on a baissé sa garde.
Désespérer, c'était lâcheté. Désespérer, c'était si facile. C'était la pente naturelle de l'homme faible.
A quoi ça sert de vivre, alors... se demanda-t-il, si on ne vit pour rien ? Si vivre, c'est simplement ajouter un jour à l'autre et se dire comme tant de gens qu'on ne voit pas le temps passer...
La vie n'est jamais figée, elle change tout le temps, tu dois t'adapter si tu ne veux pas ressembler à une grosse vache dans un pré qui rumine toujours le même herbage !
Seize ans ? Cet âge où on a l'impression que tout ce qui nous arrive est si important... On tombe amoureux d'une silhouette, d'un homme ou d'une femme qu'on croise dans le bus, d'un acteur ou d'une actrice de cinéma...
Qu'est ce qu'un haut fait si on ne peut pas s'en vanter ? La moitié du plaisir est dans l’exhibition de sa force, de son intelligence.
Il avait réglé son compte avec le passé. Décidé qu'il ne pouvait pas le changer, mais qu'il pouvait changer la manière dont il le voyait. Arrêter qu'il l'encombre, le blesse, prenne toute la place et l'empêche de respirer. Il ne jouait plus de rôle. Il avait toujours joué un rôle.
C'était ça, devenir adulte ? C'était ça, sortir de l'enfance, de l'adolescence ? Ne plus rien savoir de soi ?
Ce qui perd les jolies femmes, ce qui les rend insipides et parfois stupides, c'est de savoir qu'elles sont belles.
Le désir est volatil, imprévisible, sinon ce ne serait plus du désir, mais de la routine...
Le bon vin réjouit le coeur des hommes.
Parce qu'il y a toujours un risque, avec l'argent, avec l'amitié, avec l'amour, avec les courses de chevaux,e avec la météo, toujours... Moi, je le prends toujours, le risque, parce que c'est le bout du nez du bonheur !
La vie, elle fait ce qu'elle peut. Elle peut pas gâter tout le monde. Et puis, le bonheur, il est toujours là où on l'attend. Parfois, il est là où personne ne le voit. Et puis c'est quoi cette histoire qu'on doit être heureux tout le temps !
L'amour, c'est la plus grande des richesses et de cette richesse-là, je ne peux pas me passer.
Je comprends que l'amour peut être aussi cette attente, ce mystère qui rend les mains moites et le ventre en zigzag.