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Citations de Katherine Pancol (3679)


Des années sans affection ni tendresse, ça ne se rattrape pas. On n'a plus le mode d'emploi pour s'aimer.
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On est toujours maladroit avec les gens qu'on aime. On les écrase, on les encombre avec notre amour... On ne sait pas y faire. (659)
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Je déteste les hommes petits. C'est la race la plus méchante, la plus aigrie, la plus rancunière qui existe. Un homme petit est un homme méchant. Il ne pardonne pas au monde sa petite taille.
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Pour bien vivre, il faut se lancer dans la vie, se perdre et se retrouver et se perdre encore, abandonner et recommencer mais ne jamais, jamais penser qu'un jour on pourra se reposer parce que ça ne s'arrête jamais... La tranquillité, c'est plus tard que nous l'aurons.
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Sur le quai de la gare de Sens, Adrian attend le train de huit heures dix pour Paris.
Le train de sept heures quarante a été annulé. Sans avertissement. Un train sur deux est supprimé sur cette ligne pourtant très empruntée. La SNCF fait des économies. Il va voyager debout, serré contre des voyageurs maussades qui sentent le café au lait, la cigarette froide, la douche pas prise parce que en retard.
Les gens râlent. Matin et soir. Ils râlent mais ils s’entassent, dociles, et fermentent les uns contre les autres.
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Quand on est amoureux, on ne voit pas les détails. On aime, c'est tout.
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J'ai tout, mais je n'ai rien puisque je t'ai perdue.
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Elle croit que l'argent peut tout, que l'argent donne tout, mais ce n'est pas l'argent qui faisait que j'étais là quand elle rentrait de l'école, tous les jours, que je préparais son gouter, que je préparais son diner, que je préparais ses affaires pour le lendemain pour qu'elle soit belle, que je me privais de tout pour qu'elle ait ses belles tenues, de beaux livres, de belles chaussures, un bon steak dans son assiette ... que je m'effaçais pour lui laisser toute la place. Ce n'est pas l'argent qui donne ces attentions-là. C'est l'amour qu'on verse sur un enfant et qui lui donne sa force. L'amour qu'on ne compte pas, qu'on ne mesure pas, qui ne s'incarne pas dans des chiffres.
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Tu vois, commente Clara la bouche pleine, quand mes amies me disent que je suis belle, intelligente, spirituelle, je les crois, je trouve qu'elles ont bon goût, je les aime encore plus, j'ai envie de me pendre à leur cou... Pourquoi, lorsque les hommes me disent la même chose, j'ai envie de les jeter?
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Il y a des gens avec qui l'on passe une grande partie de sa vie et qui ne vous apportent rien... Encore heureux quand ils ne vous détruisent pas. Et puis.... Il y a ceux que l'on croise, que l'on connaît à peine, qui vous disent un mot, une phrase, vous accordent une minute, une demi-heure et changent le cours de votre vie.
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On s'est fait un serment muet avec Hortense : ne jamais tomber amoureux de personne d'autre... Jusqu'à ce qu'on soit assez grands tous les deux pour s'aimer... Je veux dire pour s'aimer vraiment...
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Y a un proverbe sénégalais qui dit : " Quand tu ne sais pas où tu vas, arrête-toi et regarde d'où tu viens. " Moi je viens de la mouise, alors...
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On invente toujours des histoires quand on est amoureux. On invente des rivales, on invente des rivaux. On invente des complots, on invente des baisers volés, des accidents d'avion, des silences qui ne disent pas leur nom, des téléphones qui ne sonnent pas, on invente des trains ratés, des courriers qui se sont perdus, on n'est jamais tranquille. Comme si le bonheur était interdit aux amoureux... Comme si ce bonheur-là n'existait que dans les livres, les contes de fées ou les magazines. Mais pas pour de vrai. Ou alors d'une manière si fugitive qu'il glisse comme l'eau entre les doigts d'une main étonnée de ne rien attraper...
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"Il y a des gens dont le regard vous améliore. C'est très rare, mais quand on les rencontre, il ne faut pas les laisser passer."
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On a besoin d'admirer ses parents, de penser qu'ils sont forts, les plus forts. On ne veut pas savoir qu'ils sont faibles, désemparés, hésitants. On ne veut même pas savoir s'ils ont des problèmes. On a besoin de se sentir en sécurité auprès d'eux.
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- Pas pareil ! A quatorze ans, on a nos règles et on n’a pas le choix. On « fait » avec. A dix-huit, on comprend très vite qu’il va falloir se battre deux fois plus qu’un homme, faire deux fois plus de choses si on veut exister. Ensuite, on « fait » des bébés, on les porte pendant neuf mois, ils nous donnent le mal de mer, des coups de pieds, ils nous déchirent en arrivant au monde, encore des détails pratiques ! Puis, il faut les laver, les nourrir, les habiller, les peser, leur beurrer les fessiers. On « fait » sans se poser de question et on « fait » le reste en plus. Les heures de travail et la danse du ventre pour l’Homme, le soir. On est sans arrêt en train de « faire », rares sont les filles qui vivent dans les étoiles, le nez en l’air ! Vous, vous faites une seule chose : vous faites l’homme ! […]
- Je voudrais rencontrer une fille qui ne sache pas « faire » , qui n’ait pas de plan de carrière, qui ne sache pas compter, pas conduire, même pas prendre le métro. Une fille qui vive dans les livres en buvant des litres de thé, en caressant son vieux chat enroulé sur son ventre !
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Le sourire de Gary...
Un sourire rare comme son dos dans la foule...
Le sourire d'un homme sûr de lui, mais pas trop ...Sûr de lui avec confiance, sans arrogance...
Le sourire d'un homme généreux qui embrasse le monde puis vous regarde et vous offre ce monde... Rien que pour vous. Comme s'il n'y avait que vous qui étiez digne de recevoir ce monde à vos pieds.
Comme si, au-dessus du monde, il y avait vous, vous et vous... Un sourire comme on en croise deux ou trois dans sa vie. On se retourne et on sait qu'on oubliera jamais cet homme là.
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J'ai toujours cru qu'on m'aimait sur un malentendu.
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Il faut que je retienne cet instant. Il faut qu’il dure encore un peu pour qu’il s’imprime dans ma mémoire. Le moment où il a cessé d’être l’homme que j’aime et qui me torture pour devenir simplement un homme, un camarade, pas encore un ami. Mesurer le temps que ça m’a pris pour que j’arrive à ce résultat. Savourer ce moment où je me détache de lui. En faire une étape. Penser à ce moment précis me donnera des forces, plus tard, quand j’hésiterai, douterai, me découragerai. Il fallait qu’ils parlent encore un peu pour que cet instant se remplisse, devienne réel et marque un tournant dans sa vie. Une borne sur sa route. Grâce à ce moment-là, je serai plus forte et je pourrai continuer à avancer en sachant qu’il y a un sens, que toute la douleur que j’ai accumulée depuis qu’il est parti s’est transformée en un pas en avant, une invisible progression. Je ne suis plus la même, j’ai changé, j’ai grandi, j’ai souffert mais cela n’a pas été en vain.
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La souffrance, c'est magnifique ... C'est magnifique quand le mal est passé parce qu'on apprend, parce qu'on comprend, parce qu'on peut se mettre à la place de l'autre.
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