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Critiques de Kazuma Kodaka (46)
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Ikumen after, tome 2

Deuxième et dernier tome de cette série yaoi. Kentaro doit faire face à des nouveaux événements dans sa vie : son immeuble est incendié et on lui propose un nouveau poste... que va devenir la relation qu'il entretient avec Asakura ? Beaucoup de quiproquos, des choses à moitié dites, des sentiments qui pointent le bout de leur nez... En deux tomes, c'est assez vite bouclé, ça se précipite dans le scénario mais c'est frais, sympa avec un Asakura un poil naïf et un Kentaro qui se remet en cause. Une fin qui se laisse deviner...

J'ai bien aimé les dessins aux traits fins et l'humour qu'on retrouve par petites touches.
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Ikumen after, tome 1

C'est la première fois que je lis un yaoi... Je connaissais le genre mais je n'ai jamais eu l'occasion d'en lire un. Ce sont surtout les petits bouts qui ont attisé ma curiosité. Deux hommes élèvent chacun de leur côté leur petit garçon. Ils se rencontrent à la crèche où vont leurs petits. Kentaro s'assume comme bi alors que Asuka vient tout juste de perdre sa femme dans un accident de voiture.

Kentaro n'est pas très subtile dans le jeu de la séduction même s'il ne fait rien avec brutalité. Asuka, lui, est content d'avoir trouver un ami ainsi qu'un copain pour son garçon et complètement naïf sur le petit jeu qui se joue. Plusieurs scènes sur l'éducation des enfants, quelques rencontres... C'est assez mignon et les garçons ont des trognes à croquer (3 ou 4 ans ?) Ca se lit bien même si Asuka semble un peu à côté de la plaque !

Un manga très agréable à lire, sur un sujet rarement évoqué, l'homoparentalité. Une romance à poursuivre dans le second et dernier tome !
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Kizuna, tome 1

J'ai trouvé ce manga dans une boite à livres et c'est vraiment une mauvaise pioche. C'est bien parce que je devais lire un manga dans le cadre du challenge plume féminine 2021 que j'ai ouvert ce livre.

Publié au Japon par Kazuma Kodaka en 1992 "Kizuna" est le premier tome d'une série dont l'intérêt m'échappe. Il semblerait que la mangaka soit spécialiste du genre yaoi qui est dans la culture populaire japonaise un genre centré sur les relations sexuelles entre personnages masculins. Pour autant, ce n'est pas de la pornographie assumée puisque tous les sexes sont floutés.

Ranmaru le capitaine de l'équipe de kendo rencontre Kei président du club de cérémonie du thé. Jusque-là tout va bien mais ils vont rapidement se battre et évidemment c'est Kei qui prend le dessus et pire que ça qui viol son adversaire. Ce dernier y prend goût et ils vont former un couple pour recommencer. Il leur arrivera un tas d'histoires plus idiotes les unes que les autres, prétexte à des scènes violentes.

Non seulement les dessins sont hideux, c'est très mal écrit et le scénario ne tient pas debout mais en plus, faire l'éloge du viol comme modèle amoureux est assez scandaleux. Culture japonaise ou pas je trouve ça extrêmement grave d'ériger en modèle ce genre de comportement. On y trouve aussi des répliques du genre "tu es à moi" pour un asservissement par le sexe.

Je suis totalement hermétique à ce genre de livre dont je dénonce la stupidité. Et puis, j’ai horreur de lire à l’envers.

Ce manga ne retournera pas à la case départ mais ira directement à la poubelle.







Challenge Plumes féminines 2021

Challenge Riquiqui 2021

Challenge Cœur d'artichaut 2021

Challenge XXème siècle 2021

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Border, tome 1

J’aurais pu mal noter cette série si je n’avais pas été jusqu’au bout. Je mets toujours un point d’honneur à poursuivre mes lectures même si le premier abord est négatif. En effet, il peut toujours se passer quelque chose. Juger hâtivement n’est jamais bon en soi.



Le problème du manga est qu’on repère très vite les codes. On a l’impression de lire la même chose dans la même construction d’un auteur à l’autre. Il y a parfois moins d’originalité. C’est sans doute l’un des premiers constats que je peux faire après avoir avalé plus de 100 titres en quelques mois.



Border commence avec tous les stéréotypes et autres grimaces qui caractérisent une certaine forme de manga très populaire. Cependant, on arrive tout de même à quelque chose de plus profond. Il y a tout d’abord une ambivalence de genre. On est typiquement dans un policier thriller avec cette bande de détectives. Cependant, ils sont gay et il y a des scènes assez osées strictement réservées aux adultes mais en quantité très limitée (totalement absent du second tome par exemple). Bref, c’est un yaoi mais plutôt mâture.



Le dessin est très soigné et réaliste ce qui ne gâche rien. Je regrette juste au niveau de la construction de ce récit car il y a une multitude de personnages et un gros flash-back qu’on ne voit pas venir dans le premier tome. Or, cet épisode de la vie antérieur d’un des membres change le ton de cette série qui commençait dans la légèreté. Bref, cela donne une certaine dimension et épaisseur. Des personnages drôles mais complexes car blessés par leur passé.



A noter également une édition de qualité ce qui est plutôt rare pour un manga. Le prix pourra apparaître exorbitant à plus de 13€ le tome. Cela dissuade.
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Ikumen after, tome 1

Je remercie tout d'abord l'opération Masse critique et les éditions Taïfu Comics pour m'avoir permise de lire et découvrir ce manga.



On parle souvent des Shojos assez nais mais certains Yaoi sont pas mal non plus dans le genre et celui-là n'échappe pas à la règle, cela dit certaines scènes ou situations sont vraiment très drôles et c'est ce qui m'a permis d'apprécier un peu plus ce manga. De plus, l'homoparentalité est un sujet très rare, il me semble que c'est la première fois que je vois le sujet être évoqué dans une œuvre japonaise. Ikumen After a une bonne histoire et un bon style graphique, je le conseil, comme moi, au adepte du genre, rien que pour la curiosité.
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Ikumen after, tome 1

Ce manga ne plaira pas à tout le monde, parce qu’il est un yaoi, cette catégorie de manga qui met en scène des amours entre deux hommes et parce qu’il parle d’un sujet qui dérange : l’homoparentalité.

Yaoi, oui, mais les dessins restent pour l’instant assez mignons, aucune scène n’est véritablement très osée – peut-être dans le tome 2, pour les amateurs du genre. Puis, les deux personnages principaux ne sont pas (ou presque pas) certains de leur orientation. Prenez Kentarô : il est divorcé, il a la garde de son fils, il ressemble donc à un père célibataire des plus ordinaires, si ce n’est qu’il a divorcé à cause de son orientation sexuelle. Il peine à joindre les deux bouts parce qu’il ne gagne pas très bien sa vie. Il est obligé de mettre son fils à la maternelle – tout comme monsieur Asakura qui, lui culpabilise de laisser son fils ainsi, alors qu’en France, presque tous les enfants sont scolarisés en maternelle. Autre pays, autre point de vue. Prenez monsieur Asakura : il est veuf depuis peu, il se montre très strict avec son fils fort jeune, ce qui n’étonnera pas les lecteurs de romans japonais, il fait ce qu’il peut pour se montrer à la hauteur de son rôle de père – et ce n’est jamais facile. Surtout…. il découvre avec Kentarô des sentiments ou des situations qu’il n’avait jamais envisagées. Il est attachant, parce qu’il est un homme qui occupe une bonne position sociale, et qui est complètement largué dans sa vie personnel. Il est naïf aussi, puisqu’il ne connaît rien à l’univers dans lequel évolue Kentarô et son frère, le très direct Kaoru.

Ce manga prend son temps – l’histoire entre les deux « papas » prend son temps et dédramatise le sujet de l’homoparentalité. Oui, un homme peut s’occuper de son enfant, quel que soit son orientation sexuelle. Il fera comme tous les autres : de son mieux. Les illustrations « en extérieur » – ah, amener les enfants en vélo à l’école, ou au parc, quelle galère – quel bonheur ! sont à mes yeux les plus réussies. Il nous montre aussi la réalité de l’enfance – l’apprentissage de la propreté, les gros chagrins bien baveux, les amitiés indéfectibles, et tant pis si votre papa prend votre meilleur ami pour une fille.

Ikumen after est un manga sympathique, à faire découvrir aux amateurs du genre.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Ikumen after, tome 1

Je suis parfois assez agréablement surpris par le degré d’ouverture de la société japonaise. Ce titre nous raconte comment deux pères de famille élèvent leur enfant tout en se rapprochant pour des conseils de vie. Il faut dire que ces deux maris ont perdu respectivement leur épouse et n’ont pas eu la vie facile.



On a la nette impression qu’il s’agit d’une commande d’un éditeur voulant faire un yaoi en mettant en scène la relation père-fils en doublé. Je ne sais pas si c’est vraiment crédible comme histoire d'homoparentalité mais c’est certainement avant-gardiste.



Pour le reste, le dessin est très soigné ce qui rend la lecture légère et agréable. C’est également très soft et parfois naïf.
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Gun & Heaven

Je tiens tout d’abord à remercier Taïfu Comics, encore une fois, pour cet envoi surprise de mangas qui m’a fait énormément plaisir. C’était totalement inattendu étant donnée qu’au moment de la réception, le blog était encore en pause. Avec, il y avait Our dining table, que je devrais lire bientôt. Et sur les deux reçus, j’ai commencé par Gun & Heaven, un manga mettant en scène deux tueurs à gages…



J.B et Roy sont deux tueurs à gages, agissants pour différents clients aux 4 coins du monde. Mais alors que J.B. aspire à la discrétion, Roy s’implique et tisse des liens, ce qui ne va pas forcément plaire à son collègue et amant…



C’est un spin-off de la série Kizuna, que je n’ai jamais lu. Heureusement, Gun & Heaven peut se lire indépendamment. On est très vite immergés dans le monde dangereux des tueurs à gages ! Nous suivons ici deux enquêtes, tout d’abord G & H, puis Ring qui est plus romancée que la première, où l’on peut voir J.B. sous un trait moins sévère.



Car oui, J.B est un personnage très « premier degrès » ! Lui et Roy sont deux personnages aux caractères complètement opposés, l’un très social et l’autre beaucoup trop solitaire. Mais ils sont terriblement complémentaires… Leur relation est à la fois fusionnelle, intense, mais aussi sous tensions par moments. En tout cas, j’adore la candeur de Roy par moment, qui tranche totalement avec son métier !



Les enquêtes avant tout !

Nos deux histoires s’enchaînent assez vite, Kazuma Kodaka nous introduis dans l’univers de nos tueurs avec facilité, une fois dedans il devient difficile de lâcher le manga. Les enquêtes sont menées avec sérieux – et cohérence – , mais laissent place à quelques notes d’humour qui détendent l’atmosphère.



Niveau dessins, c’est juste parfait, il n’y a rien à redire ! C’est fluide, c’est fin, le chara design est au top… Que dire de plus ?



En bref, pour qui ne connait pas la série Kizuna, ce spin-off est une belle entrée en matière pour la découvrir ! Et la relation consentante entre Roy et J.B ne laisse planer aucun doute sur le sérieux de la série !




Lien : http://iletaitunefoisouat.fr..
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Ikumen after, tome 1

J’avais demandé conseil sur le stand en compagnie de Maman Neko avec ma maigre, très maigre expérience en poche et on m’avait conseillé Ikumen After avec lequel j’étais repartie…



Et que j’ai littéralement dévoré en une soirée d’ailleurs… Déjà que je lis vite de base, mais une fois entrée dans le manga je n’en suis ressortie qu’une fois arrivée à la fin ! D’ailleurs, je serais bien restée plus longtemps en compagnie d’Asakura et Kentarô ainsi que de leurs petits bouts et des autres personnages apparaissant petit à petit. Ce faisant, avant d’écrire mon petit avis, je m’y suis replongée avec entrain.



Nous y découvrons deux pères célibataires – Asakura et Kentarô – s’occupant tout deux d’un enfant allant à la maternelle des canards où travaille Haru. Les deux hommes aux caractères opposés et aux passés différents se rapprocheront, au fil du temps, en devenant amis avant de prendre petit à petit conscience de leurs sentiments réciproques. A leurs côtés, bien entendu, d’autres personnages seront présents tel Haru et surtout leurs enfants : Hiromi et Motoki.



Débutons joyeusement avec les personnages, voulez-vous les matous ? Asakura est le père d’Hiromi, mais également une personne ayant du mal à gérer sa situation depuis la perte de son épouse. Pouvant s’avérer naïf à ses heures perdues, il tente également de rendre heureux son fils bien qu’il ait du mal au début. Kentarô, de son côté, est le père de Motoki ainsi qu’un bi non refoulé. Son travail lui permet tout juste de subsister, pourtant cela ne l’empêche pas de garder sa bonne humeur communicative.



Et ces différences leurs permettent d’avancer, chacun à leur manière, au fil des pages tout en tentant de camoufler leurs blessures. Tout n’est pas réellement rose tout comme dans la vie que nous connaissons, mais il y a toujours des moyens de se relever, de continuer même si ce n’est pas simple. Des erreurs, cela arrive d’en faire et on le voit bien avec Asakura lors de certaines scènes, pourtant c’est grâce aux personnes extérieures qu’il finira par apprendre pas mal de chose tant par rapport à lui-même que pour Hiromi. Et Kentarô est présent, bien entendu, lorsqu’il le faut même si – comme n’importe qui – il lui arrive de faire de légères bourdes. Il est même un véritable rayon de soleil aux yeux d’Asakura.



Après tout, lorsque l’on est seul – dans le cas des familles monoparentales – ce n’est pas du tout simple au quotidien car il faut réussir à pratiquement tout gérer sans savoir, pour autant, tout faire. Le titre tend également, petit à petit, vers l’homoparentalité, mais ne brûle pas les étapes. Certes, l’on sait que cela tournera à l’amour entre les deux pères lorsque la fin du titre arrivera, mais avant cela leur relation évolue à son rythme passant de la rencontre à l’amitié et aux confidences. Cela ne va jamais trop vite dans ce premier tome qui nous permet de savourer les éléments apparaissant, leurs forces, leurs faiblesses, leurs caractères et bien entendu de voir l’évolution également présente des deux bouilles d’ange les accompagnants.



Parce que oui, Hiromi et Motoki ont beau être des enfants ils côtoient leurs parents, réagissent en fonction de leurs émotions ou de ce qu’ils voient voire entendent. Comme tous les enfants, ils sont comme un miroir montrant aisément quand ils s’inquiètent pour leurs parents ou que quelque chose les touchent, d’une manière ou d’une autre, que ce soit visuel ou auditif. Cela ne les empêche pas d’être, également, de véritables rayons de soleil pour Asakura et Kentarô ainsi que les êtres comptant le plus pour eux. Les deux pères feraient tout pour rendre heureux les enfants, même si ce n’est pas spécialement simple et cela se voit tout en se ressentant durant la lecture.



Ils ont leurs peurs, leurs doutes, leurs espoirs, leurs vies et se découvrent tout en utilisant comme point de départ les deux bouts de chou juste adorables. Sans certains événements s’étant déroulé auparavant et sans ces deux petits êtres peut-être ne se seraient-ils jamais rencontrés ou dans des circonstances totalement différentes. Et je suis vraiment curieuse de voir ce que réservera le deuxième tome, comme tout cela avancera vers une probable mise en couple (Oui, j’ai le droit d’y penser déjà ! Ils sont adorable ensemble nos deux papas !)



L’histoire est réellement douce entre eux et soft – Kentarô se retient d’ailleurs de sauter sur Asakura – permettant à leur relation d’apparaître doucement, mais sûrement. Sans se presser les différents thèmes apparaissent, les liens entre les personnages également et on en apprend petit à petit plus sur le quotidien des protagonistes. C’est réellement un titre tout en douceur possédant ses touches d’humour malgré certains moments montrant quelques éléments plus durs. Ces éléments sont, certes présents, mais ne sont pas trop lourds et se lient sans difficultés à l’histoire présentes sous nos yeux.



Au niveau des dessins, ils sont également très doux tout en permettant aux personnages adultes d’avoir, justement, des bouilles d’adultes – hormis lors de certaines scènes plus humoristiques – et aux enfants d’être bien plus en rondeurs dans leurs traits. Les décors sont reconnaissables sans difficultés tout comme les protagonistes ou la nourriture – peu importe l’état de cette dernière – pour le plus grand bonheur des mirettes.



Pour l’édition, de son côté, elle est vraiment bonne à mes petits yeux. Le manga est souple tout en étant robuste – oui, c’est possible – quant au papier on voit réellement peu à travers. L’encre reste, d’ailleurs, bien à sa place et ne rejoint pas les doigts ou ne forme pas une flaque au milieu de la page ce qui la rendrait illisible. La traduction, pour sa part, est parfaite vu que je n’ai vu aucune erreur lors de la lecture et même lors de la relecture.



Je pense que vous l’aurez comprit, mais j’ai vraiment adoré découvrir ce titre et je remercie vraiment la personne me l’ayant conseillé sur le stand vu que c’est un véritable coup de cœur ! Je n’ai plus qu’une hâte, me procurer le deuxième volume dès que j’en aurai la possibilité. J’ai vraiment passé un très bon moment en compagnie des personnages – principaux et secondaires – durant mes deux lectures, j’ai sourit et rit en leur compagnie à certains moments tout en ressentant sans difficulté leurs diverses émotions. Je me suis attachée à eux et il m’a été vraiment difficile de les laisser. Une très belle et douce découverte.
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Ikumen after, tome 1

Je vais être honnête d'entrée de jeu : je suis passée à côté de ce manga, qui faisait trop... manga ! Entendez par là qu'il me faisait penser aux anime que je visionnais adolescente, avec les codes graphiques et les attitudes expressives à outrance... Cela m'agaçait déjà un chouia à cette époque (bon, Ok, j'avoue : voir Laura assener une grosse massue sortie de nulle part sur la tête de Nicky Larson pour exprimer sa colère me faisait rire !), mais étant plus jeune, je me montrais plus indulgente et arrivais à passer outre. Là, j'avoue que ça a vraiment coincé !

Vous me direz qu'en choisissant de lire un manga, j'aurais dû accepter par avance ces codes narratifs un peu exagérés, sauf que les mangas que j'ai lus jusqu'à présent en étaient plus ou moins dépourvus. A croire que j'ai bénéficié jusqu'ici d'une chance insolente !



Bref, j'ai trouvé en outre l'histoire bien niaise et les personnages assez caricaturaux. Leur relation se noue très rapidement. C'est dommage car les thématiques abordées (la monoparentalité, l'homoparentalité, le transgenre) étaient très intéressantes, d'autant plus que l'auteure a su se montrer pleine de bienveillance et de tendresse pour ces deux pères célibataires un peu débordés tout en traitant parfois le sujet avec beaucoup de finesse. Je n'ai du coup pas compris pourquoi les tentatives de Kentarô pour séduire monsieur Asakura étaient à ce point grossières, gâchant la fraîcheur de la romance.

Autre petit point négatif : je n'ai réussi à retenir le nom des différents protagonistes qu'à la fin.



Concernant le graphisme, celui-ci est vraiment très joli, servant à merveille cette petite histoire tout mignonne.



Je remercie les éditions Taifu comics ainsi que Babelio pour ce partenariat !
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Ikumen after, tome 2

Voici la suites des aventures de Kentarô, Asakura et leurs fils respectifs. Si les deux hommes sont toujours des papas attentifs et aimants – rien ne compte plus que leurs enfants, et ils ont à coeur de prendre soin d’eux le plus possible. Nous en apprenons un peu plus sur le passé de chacun d’eux, et si celui de monsieur Asakura n’est pas vraiment étonnant, en revanche, celui de Kentarô vient le rattraper, et pourrait bien changer son avenir.

Ce second tome est un tout petit peu moins chaste que le précédent – un tout petit peu. Il reste cependant encore très regardable. Couple hétéro ou couple homo, il n’est jamais facile de concrétiser (par un baiser !) quand deux charmants bambins sont dans les parages. Dormir ensemble (et j’ai bien dit « dormir ») s’avère presque plus simple.

Le manga ne se concentre pas uniquement sur leur vie sentimentale. Le quotidien est là, et bien là, avec ses hauts et ses bas auquel n’importe qui pourrait être confronté. C’est sans doute ce qui fait la force de ce manga.
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Ikumen after, tome 1

Asakura et Kentarô sont deux pères isolés qui élèvent chacun leur petit garçon. Comme les enfants sont dans la même école maternelle et sont amis, ils font connaissance et commencent eux aussi à se fréquenter.



De milieux complètement différents, ils se retrouvent pourtant sur un point, rien n’est plus important que le bonheur de leurs enfants.



Ce manga développe des sujets que j’ai rarement vu dans de tels ouvrages. L’homoparentalité est bien entendu traitée à travers le personnage de Kentarô, qui ne cache pas ce qu’il est, malgré les malentendus qu’il rencontre avec Asakura.

Mais au delà, il s’agit tout simplement de la difficulté à s’occuper d’un enfant quand on est seul à en assumer l’éducation. Même s’il ne s’en plaint jamais, Kentarô a ainsi du modifier ses horaires de travail pour son petit, et Asakura est complètement perdu dans l’apprentissage de la propreté du sien.



Heureusement, les deux garçons sont totalement adorables et à croquer tant ils sont mignons.



Mignon est d’ailleurs le mot qui caractérise le mieux ce manga où tout se déroule plutôt paisiblement, de la rencontre des deux parents sur leur bicyclette jusqu’à la conclusion de ce tome, en passant par leur promenade en famille au parc.

On n’est pas submergé de rebondissements à la pelle, tout est même assez couru d’avance, malgré la volonté d’instiller un peu de difficultés dans les relations et en ne cachant pas les difficultés d’éducation.



Malgré tout, ça n’empêche pas de passer un excellent moment en la compagnie de tout ce petit monde, qui est fort mignon, le tout servi par un dessin qui est tout aussi mignon.



Attention, si pour l’instant tout est léger et plutôt fleur bleue, la suite risque de ne pas le rester bien longtemps.
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Border, tome 1

Yamato dirige une agence de détectives un peu particulière avec des amis d'enfance. ils interviennent dans des affaires sur lesquelles la police piétine afin de leur faciliter la tâche. Lors de l'une de leurs enquêtes, Yamato croise le chemin d'un flic en infiltration, qui est bien déterminé à arrêter leur groupe. J'ai découvert Kazuma Kodaka et son style très particulier dans Bad teacher. Peu convaincue au départ, j'avais fini la série plus qu’enthousiaste. Donc quand j'ai reconnu le dessin, de loin, je n'ai pas hésité quand Midori a proposé de me le prêter. Maintenant, j'aime beaucoup son dessin que je trouve très beau et très efficace, pleind e caractère. Elle commence dès ce premier tome à montrer le coeur de ses personnages, à laisser entendre un passé difficile, voire carrément à nous le confier dans le cas de Yamato. Et cela donne l'eau à la bouche. On s'attache tout de suite à eux, on rentre tout de suite dans l'univers et on n'a qu'une hâte : lire la suite.
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Border, tome 3

L'agence de détective reçoit un homme qui veut retrouver le fils illégitime qu'il a eu et qu'il a abandonné. L'homme, richissime, veut partager sa fortune entre lui et sa fille légitime. Yamato accepte, sans se douter que l'affaire est bien plus personnel que prévu. Ce troisième tome se concentre sur le passé de Kitsupei, le petit génie en informatique et aussi le plus jeune de la bande. On découvre son arrivée à l'orphelinat et les conditions dans lequel il a vécu. A travers lui, on découvre un peu plus cette famille atypique et les liens qui les lient. Le dessin si propre à l'auteur est parfait et renforce les émotions, les atmosphères de l'histoire. Plus je lis, plus j'adore le travail de Kazuma Kodada.
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Ikumen after, tome 2

Nous retrouvons Kentarô et monsieur Asakura pour la suite de leur aventure en compagnie des deux bouts de chou totalement adorables et remplit de choupitude (Je sais, ce mot n’existe pas, enfin je crois). Cette fois, un incendie fera en sorte que Kentarô et son fils perdent leur maison et doivent trouver un nouveau lieu de vie ce qui permettra à Monsieur Asakura de leur venir en aide. Pourtant tout ne sera pas simple, même s’ils vivent sous le même toit…



Dans ce dernier volume, nous en apprenons plus sur le passé et l’un des boulots effectués par Kentarô dans le dit passé. De plus, la relation entre nos deux personnages avance tout en gardant cette délicatesse présente dans le premier volume, mais en ajoutant d’autres sentiments. La jalousie, par exemple, pointe le bout de son nez lors d’un certain événement tout comme l’entraide. J’ai vraiment apprécié voir l’évolution entre eux, les doutes, mais également l’attachement qui est également présent entre les enfants. Haru reste de bon conseil pour Kentarô et est celui qui observe le plus les deux parents (et les parents tout court en fait) On voit bien que celui s’occupant de la maternelle tient aux enfants et bien entendu à ses amis.



Pour ce qui est de l’histoire en elle-même, elle ne fait pas de surplace et avance vers sa finalité première. Bien sûr, nous nous doutons de la fin, mais la voir prendre forme et découvrir les petites embûches font énormément je trouve tout en rajoutant du réalisme. Je ne me suis pas ennuyée durant la lecture et j’étais ravie lorsque la fin est apparue dans toute sa délicatesse. Les enfants me rendaient souvent le sourire également et je me sentais mal, tout comme l’un d’eux, à un moment donné. La romance présente dans ce manga est réellement belle, bien écrite et avance à son rythme bien que ce dernier puisse sembler classique aux adeptes de lecture purement romantique.



Les émotions sont réellement bien retranscrites tout le long que ce soit dans les dialogues ou les réactions voire même sur les traits des visages. Les dessins font réellement un bon travail par rapport à cela tout en gardant leur douceur (j’utilise beaucoup ce mot dis donc oo) et leur propre cachet. La traduction de Nicolas Pujol également nous donne le ton, nous fait ressentir les sentiments présents et nous donne envie de continuer, de savourer chaque instant de bonheur présent au fil des pages.



Du côté de l’édition en elle-même, je n’ai eu aucun souci. Comme dit plus haut la traduction était réellement dans le ton de l’œuvre et donnait envie de savoir la suite en savourant le manga tel un petit bonbon. Pour le reste, le manga en lui-même était assez souple – plus que Qualia Under The Snow même si c’est logique au fond, mais ça vous le verrez dans l’avis sur le titre – et prenant au point de ne pas voir le temps passer. L’encre est sagement restée sur le papier sans baver sur le reste de la page tout en gardant les trames présentes qui ajoutaient également à la douceur du titre.



Et oui, vous l’aurez comprit j’ai hâte de découvrir Ikumen After +A afin de savoir ce que nous réservera cette suite, quant au titre initial dont je vous ai parlé aujourd’hui ainsi qu’auparavant il m’aura réellement attendrie tout le long, fait du bien et passer un très bon moment en compagnie des personnages, de ceux que l’on rencontre. Une douce et belle surprise que ce diptyque que je recommande sans aucune difficulté !
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Ikumen after, tome 1

Les points positifs de ce manga sont les superbes dessins de Kazuma Kodaka, que j'adore, ainsi que ces personnages attachants.

Nous avons dans ces 2 tomes des petites tranches de vie de ces deux papas et de la relation naissante entre eux.

Les enfants comme les papas sont adorables. La question du transgenre est également évoquée, tout cela avec naturel et bienvaillance.

J'ai trouvé quelques longueurs dans le tome 2, mais globalement j'ai beaucoup aimé. Je trouve que ce sujet est assez peu abordé, et ici il l'ait sans drame, sans tension, c'est naturel.

L'histoire est plutôt simple, mais sympa.

Attention tout de même ce manga n'est pas à mettre entre de trop jeunes mains, mais il reste assez soft (comparé à d'autres oeuvres de Kazuma Kodaka).
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Ikumen after, tome 1

Aujourd'hui, laissez-moi vous parler d'un manga qui m'a vraiment émue.



Bon, tout d'abord, soyez prévenus (remarquez, l'image est sans doute claire là-dessus!), il s'agit d'un yaoi (pour les non-initiés: romance homosexuelle). MAIS c'est le type de yaoi qui pourrait parler même à des gens qui n'aiment pas ce style, car ici, pas de scènes "trash", une histoire toute douce, émouvante, qui avance une réelle problématique d'une manière joyeuse, lumineuse, touchante.



Quand deux papas solos se rencontrent et deviennent amis, réunis par leur propre solitude, dépassés par les tâches quotidiennes qui les font lutter pour rendre leurs bout'chous heureux, les nourrir, prendre soin d'eux. Les deux garçons, Mitoki et Hiromi, sont immédiatement devenus amis (avec un peu d'humour, Mitoki croit au départ que son nouvel ami tout mignon est une fille... lol), et ils permettent à ces deux pères solitaires et débordés de faire connaissance. Touchante amitié qui démarre par le biais des deux bambins...



Kentarô est gay, et tout de suite attiré par monsieur Asakura. Son ex femme est partie, et lui a laissé la garde totale de l'enfant, il l'assume tout seul, en bossant dur pour la survie de sa petite famille. Malgré leur pauvreté, Kentarô et Mitoki sont joyeux, heureux, désinvoltes. Evidemment, derrière ce miroir, c'est pas tous les jours facile pour le papa solo...

Monsieur Asakura a perdu son épouse trois mois auparavant dans un accident de voiture. Il est dépassé, malheureux, ne parvient plus à sourire, et il voit avec désarroi son fils, Hiromi, avoir cessé de sourire lui aussi, et être devenu incontinent. Nerveux, confus, perdu, il ne sait plus comment gérer sa situation, et comment rendre le sourire à son fils.



Deux hommes totalement différents, avec deux modes de vie à l'opposé (monsieur Asakura vit dans un bel appart, il a pas mal d'argent), qui pourtant se rencontrent face à une même problématique, et deviennent très proches, se soutenant, s'épaulant, trouvant ensemble la force d'avancer et de reprendre confiance en la vie. Mais évidemment, petit à petit, leur relation se couvre de sous-entendus, de flou, alors que Kentarô tombe amoureux de son nouvel ami et n'ose pas lui avouer de peur de se faire rejeter... Et si monsieur Asakura, perdu dans le flot de sa vie, n'attendait qu'un geste de lui?



Un big up pour le personnage d'Haru, le maitre d'école, qui est dans ses "temps perdu" un "slutty gay" et plein de surprises. Il est l'ami de Kentarô, et son rôle de confident est vraiment drôle, et inattendu de la part de celui qui veille sur les enfants de l'école... Ce qui ne l'empêche pas d'être génial avec les enfants, d'ailleurs, aussi! ^^



J'oubliais, les dessins sont vraiment sympa, jolis, agréables, les personnages sont beaux et bien faits... Un manga comme je les aime, quoi ;-)



Il y a deux tomes. Il n'y aura apparemment pas de suite, hélas :'( Un petit manga court, tout doux, tout mignon, plein d'amour, d'humour, d'émotions, à découvrir, vraiment. A part des baisers échangés, pas de scènes érotiques (si, on voit sur l'écran de l'ordi de Kentarô un porno mais la scène est cachée par les bulles, c'est vraiment pas le sujet de ce manga que de montrer du cru ^^).



Allez, filez lire ça! Et enjoy! Dans le monde dans lequel nous vivons, un peu de douceur et d'amour, ça fait chaud au coeur, même si ce n'est pas, ici, un amour très "commun".



Gros coups de coeur pour ce manga.



Aurélie, pour le blog d'Amabooksaddict
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Ikumen after, tome 1

En japonais, le mot iku-men est une association du kanji « élever » et de l’anglais « men ». Il désigne les pères célibataires élevant seul leur enfants. C’est un phénomène qui, s’il existe depuis pas mal de temps déjà, est de plus en plus remarqué et reconnu dans la société nippone. En plus d’aborder cette singularité déjà importante, le manga de Kazuma Kodaka touche aussi les sujets sensibles de l’homosexualité (encore très mal vue au pays du soleil levant), du transgenre (qui est très fréquent mais aussi très moqué) et de l’homoparentalité.



Tous ces thèmes réunis m’ont rendue très curieuse car je suis attentive à ces questions et je pense que nos sociétés ne souffriraient pas d’un peu plus de tolérance envers la communauté LGBT. Et j’ai été agréablement surprise par ma lecture!



La fiction yaoi sert souvent de prétexte à une très grande légèreté dans le traitement du récit et à l’accumulation d’énormités scénaristiques qui me plait peu en général. Mais dans ce premier tome, point de tout cela. Certes, les caractères des personnages sont un peu typés et leurs dialogues parfois peu naturels mais ce n’est pas rare dans les mangas. L’histoire n’en est pas moins touchante et drôle. Ici, la trame n’est pas qu’un prétexte à l’érotisme, on voit un travail sur les relations, les passés des personnages et la mise en place d’intrigues futures. Mais, bien sûr, seuls les prochains tomes pourront prouver la véritable profondeur de ce manga.



Les thèmes sont abordés avec réflexion, franchise et bienveillance sans stéréotypes ou moquerie. La tension amoureuse, bien que classique, est bien dosée et efficace. On sent aussi que les choses vont vite évoluer et que les prochains tomes ne seront pas à mettre dans de trop jeunes mains.



Une lecture courte, positive, pleine d’humour et de passion qui me permet de faire une pause colorée et bienvenue dans la lecture d’un gros pavé.



Un grand merci aux éditions Taifu Comics et Livraddict pour ce partenariat!
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Ikumen after, tome 1

Une lecture décevante.

Il y a plusieurs clichés de BL que je n'aime pas du tout. Tout d'abord, Asakura, qui au départ est dessiné "normalement", devient de plus en plus féminisé au fil des interactions avec Kentarô. Déjà que je n'ai jamais compris l'idée de faire une histoire d'amour entre deux hommes si c'est pour que l'un des deux ressemble à une femme, mais en plus, l'évolution de son chara-design m'a vraiment dérangé.

Ensuite, il n'a pas l'air si triste que ça pour un type qui a perdu sa moitié il y a 3 mois. Mauvais choix de timeline, selon moi. C'est toujours trop rapide, que ce soit pour la naissance de nouveaux sentiments, ou pour la guérison des anciens.

Enfin, l'autoflagellation du père "incompétent" tout le long du tome m'a saoulé. Il fait parti des poncifs de manga qui m'horripilent au plus haut point. Je le vois tellement souvent, aussi bien dans les dramas, que je me demande si ça ne fait pas juste partie de la mentalité japonaise de s'accuser de tous les maux du monde. En tout cas, je déteste les personnages serpillières.

Pour le reste, c'est naïf et mielleux, mais bon... j'ai lu pire.



Sansplus/20.
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Ikumen after +a

Je remercie les éditions Taifu comics pour cette lecture. J’ai appris au moment de lire ce manga, que c’était en fait, un hors-série d’un manga de type yaoi, en deux tome. J’ai eu alors peur, de ne pas pouvoir comprendre l’histoire, mais en fait, je n’ai eu aucun souci là-dessus.



Nous suivons le personnage de Kentarô qui a laissé depuis trois semaines, Asakura vivre avec lui et son enfant, suite à un incendie. Kentarô devrait être l’homme le plus heureux du monde. Celui qu’il aime vit avec lui.



Pourtant, il se retrouve face à un souci majeur : il n’arrive vraiment pas à exprimer correctement ses émotions pour Asakura. C’est ainsi qu’il va décider de demander des conseils.



Dû au manque d’expression d’Asakura, Kentarô va commencer à se faire des films et croire des choses complètements insensés.



C’est une histoire douce et basique. Je ne connais pas l’histoire de ces deux personnages, mais il m’était agréable de les suivre dans ce petit hors-série.



Ils essayent tant bien que mal, de s’aimer, de se l’exprimer, tout en éduquant chacun leurs enfants. Pas facile d’aimer un autre homme, dans une société qui risque de te regarder de travers.



En bref, c’est un petit yaoi vraiment sympathique. Je pense que j’essayerais un de ces quatre de me procurer la saga originale, afin de découvrir leur histoire. Mais j’ai beaucoup aimé ces deux personnages et la douceur que dégageait ce manga !
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