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3.6/5 (sur 342 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Exeter, Devon , le 30/03/1959
Biographie :

Kevin Brooks a étudié la psychologie et de philosophie à Birmingham, Aston University en 1980. Il a exercé une grande variété d'emplois : musicien, bricoleur préposé de la station d'essence crématoire, greffier de la fonction publique, vendeur de hot-dog au zoo de Londres, commis de bureau de poste, et commis de bureau des chemins de fer.

Kevin Brooks a tout d'abord publié "Martyn Pig" ("Comment j'ai tué mon père... sans le faire exprès") en 2002 qui a remporté le Prix Branford Boase 2003. Il a également écrit "Lucas" (2002) qui fut nominé pour le Guardian Fiction Prize et Booktrust Teenage Prize en 2003. Il a également remporté le Nord-Est Book Award en 2004 et le Deutscher Jugendliteraturpreis en 2006.

Enfent, Kevin Brooks appréciait déjà les romans policiers. Il aime le mystère et le suspense essaye de les inclure sous une forme ou une autre dasn chacunes de ses histoires.
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Citations et extraits (31) Voir plus Ajouter une citation
La peur sert à quelque chose. Elle ne sert pas seulement à regarder des films de zombies ou à faire du skate sur des crêtes. Elle existe pour une bonne raison.
Elle nous garde en vie.
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Ces phénomènes se produisaient dans d'autres circonstances aussi. ça m'arrivait même tout le temps.
Quoi qu'il me passe par la tête, mon cerveau se mettait à vibrer, et je sentais des trucs en moi se connecter, faire des recherches, surfer...
C'était incroyable. Ahurissant. Inimaginable. Terrifiant.
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Quatre heures de chaleur à crever suivies de quatre heures de froid polaire. Puis encore la chaleur, et le froid, et la chaleur, et le froid…
Et encore du bruit à en faire éclater les tympans.
Rien à manger.
Survivre et supporter. Faire retraite à l’intérieur de sa tête, essayer de couper le contact, et attendre que ça passe.
Rien ne dure éternellement.
Tu peux l’endurer.
Endure.
Endure.
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Les choses ne sont pas catégoriquement justes ou fausses. Rien n'est simplement noir ou blanc; tout est d'un gris morne, terne.
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Dieu sait ce qui est arrivé depuis. Combien de jours j’ai perdus ? Ou gagnés ? Pour ce que j’en sais, aujourd’hui pourrait très bien être un mercredi, ou un lundi, ou un jeudi. Mais, comme je le disais, qu’est-ce que ça peut faire ? Lundi, mardi, mercredi… Ce ne sont que des mots, sans aucun sens réel. Ici, dans le bunker, c’est ici dans le bunker. Un jour est un jour. L’heure c’est maintenant. Il n’y a pas à chercher plus loin.
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Je me pris à me demander de quoi j'avais l'air, vu d'en bas - une silhouette légèrement scintillante, assise en tailleur tout en haut d'une tour...
Une sorte de Bouddha à capuche.
Un iBouddha tout maigre qui brillait dans le noir.
Ou peut-être une iGargouille.
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Ouais bon, alors écoutez, disait-il. Vous savez, Machin, là ?
Le mec aux corbeaux, les fleurs, le peintre, enfin, quoi, Vango...
- Goff, dit Pretty Bob. Von Goff.
- C'est ça, lui. Bon, alors, c'qu'il a fait, y'avait cet autre peintre, le type qui peignait la jungle et les tigres et ces trucs-là et Goff l'aimait pas...
- Gangrène, dit Bob.
- Ouais, ouais, c'est ça. Goff s'est embrouillé avec Gangrène et Gangrène lui a ripé l'oreille d'un coup de fusil.
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La vérité sait se débrouiller pour briller, même si on se donne beaucoup de mal pour l'ignorer.
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-ce que je ne comprends pas c’est où nous nous trouvons.
- Comment celà? ai-je répondu en secouant la tête
- Dans le temps : où on se trouve? Tu vois… où est-ce qu’on existe? Quand est-ce qu’on existe? Dans le passé ? le présent? Le futur? On ne vit pas dans le passé, pas vrai? Et on ne vit pas non plus dans le futur. Il ne nous reste donc que le présent.
son sourire avait quelque chose d’un peu trop délirant à mon goût.
- Mais le présent, c’est quand? a-t-il poursuivi. Maintenant, c’est quand? combien de temps ça dure? Une seconde? Une demi-seconde? Un millionième de seconde, non? ça n’a pas de sens.
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La route était déserte. Le tonnerre semblait s’évanouir dans le lointain, mais il pleuvait toujours et aucune personne normalement constituée ne se serait promenée par ici à une heure pareille. Des rues émanait cette paresse harassée du dimanche matin : la matinée oisive qui suit les sorties du samedi soir. J’avoue sans honte avoir pris du plaisir dans cette ambiance morose et mélancolique. Je voulais que tout, autour de moi, sois morne. J’avais passé une nuit démente. j’avais perdu Raymond. j’avais tout fichu en l’air avec Nicole. J’étais gelé, trempé et j’avais toujours mal au crâne…
J’avais une monstrueuse envie de me plaindre. Et c’est ce que j’ai fait.
A travers la pluie d’été glaciale,je boudais, je frissonnais, je souffrais et je me vautrais dans la moindre pensée négative qui me traversait l’esprit. J’avais beau savoir que c’était égoïste, puéril. Comme ce type, dans les films, qui traverse une mauvaise passe sur fond de musique déprimante. J’aurais voulu moi aussi ma bande originale dégoulinante et un million de spectateurs qui me regardent derrière l’écran
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