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3.76/5 (sur 145 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Kim Fielding est une auteure américaine de romances M/M.

C’est un professeur le jour et un auteur la nuit. Les redevances de ses romans sont reversées à Médecins Sans Frontières.

Le lectorat francophone a pu découvrir sa plume grâce à son ouvrage "Brute" (2012), qui remporta, en 2013, le prix Rainbow pour la meilleure fantasy gay.

On la retrouve aussi chez Reines-Beaux avec son roman d’urban-fantasy "Une bonne ossature" ("Good Bones", 2012). "Bienvenue à Rattlesnake" ("Rattlesnake", 2015), plus contemporain, vient s’ajouter à ce début de livre traduit d’un auteur qui a le vent en poupe.

Kim Fielding vit avec sa famille en Californie.

son site : http://www.kfieldingwrites.com
page Facebook : https://www.facebook.com/KFieldingWrites
Twitter : https://twitter.com/KFieldingWrites
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Source : mxm-bookmark.com
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https://www.laprocure.com/product/1016150/mcdaniel-tiffany-l-ete-ou-tout-a-fondu L'été où tout a fonduTiffany McDaniel Éditions Gallmeister Ohio, 1984. le procureur Autopsy Bliss publie une annonce dans le journal local de Breathed invitant le diable à lui rendre visite. Sal, un jeune garçon noir aux étranges yeux verts, y répond. Il héberge le jeune garçon, pensant que ce dernier a fugué d'une ferme voisine. le temps d'un été, Sal partage la vie de ses fils, Fielding et Grant, de sa femme et de la chienne Granny. Premier roman. ©Electre https://www.laprocure.com/product/515306/mcdaniel-tiffany-bettyBettyTiffany McDaniel Éditions Gallmeister Betty Carpenter est la fille d'une mère blanche et d'un père cherokee. Après des années d'errance, sa famille s'installe dans l'Ohio. Avec ses frères et soeurs, la petite fille grandit bercée par les histoires de son père. Quand de terribles secrets de famille refont surface, Betty affronte l'adversité grâce à l'écriture. Prix du roman Fnac 2020, prix America 2020. ©Electre

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Citations et extraits (68) Voir plus Ajouter une citation
Il s'effondra sur le sol et agrippa les barreaux, comme s'ils pouvaient le sauver d'une noyade.
Powell ne réagit pas – pas même alors que Des n’était qu’à quelques centimètres de le toucher – et Des en fut terriblement reconnaissant. Une fois que le souffle haletant de Des se fut stabilisé, Powell s’accroupit pour croiser son regard.
— Vous êtes de retour ? demanda-t-il avec amabilité.
— O-oui.
Les jambes de Des étaient toujours faibles et la tête lui tournait, mais il parvint à se remettre sur ses pieds et Powell se releva à son tour. Seuls les barreaux les séparaient.
— Je peux…
Des prit une inspiration pour se calmer.
— Je peux quitter cet endroit ?
— Juste pour un moment. Vous devrez y revenir.
— Oui. Mais pas avant un moment quand même.
— C’est ça.
À cette confirmation, Des faillit s’effondrer de nouveau. Ses mains agrippaient si fort les barreaux que ses jointures en devenaient blanches.
— Oui, répondit-il d’un ton rauque. Oui, je vous en prie. S’il vous plaît.
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— Il m’a dit que tant que je me souvenais que je peux me contrôler, je pouvais décider de mon sort. Pas de tout, évidemment. Comment est-ce qu’il l’a formulé ?
Il fouilla ses souvenirs et se remémora le son d’un juke-box, le goût d’un café médiocre et d’un excellent sandwich.
— Je suis le capitaine de mon navire. Je vais affronter autant des tempêtes que des moments de calme mortel. Des pirates. Des monstres marins.
Kurt rit en se rappelant.
— Pour le coup, littéralement. Je ne peux pas empêcher ces choses de se produire. Mais je peux décider de comment je veux y faire face, et quoi faire quand je dois me retrouver face à des mers hostiles. J’aime beaucoup cette image.
Des hocha lentement la tête.
— Le libre arbitre, en somme ?
— Si tu veux le formuler comme ça, bien sûr. Il y a un autre aspect dans tout ça, aussi. Si je suis responsable des décisions stupides que je peux prendre, y compris les plus néfastes, je suis aussi responsable des bonnes choses qui peuvent m’arriver.
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Je suis prisonnier, mais c’est le Dr Fitzgerald qui devrait être enfermé. C’est un voleur. Il m’a volé tous ces mois. M’a volé des petits bouts de moi. Parfois, je pars à leur recherche, et je découvre qu’ils me manquent.
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Brute n'avait pas le moindre regret lorsqu’il tourna le dos à son village natal pour la dernière fois. En fait, il se sentait merveilleusement libre. C’était comme si pendant toutes ces années il avait porté un poids sur ses épaules, sans jamais en avoir conscience. Il s’était acquitté de sa dette envers Cecil avant d’acheter d’occasion un manteau encore en bon état. Il possédait une grande poche dans laquelle Brute pourrait coincer le moignon de son bras gauche. Il était toujours énorme et laid, et les gens continueraient à le regarder, mais de cette façon, il se sentait presque entier.
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Townsend donna une tape sur l’épaule de Harry.

— C’est ça, garçon.

— Frankenstein est réel ?

— Ce mec s’appelle Swan, mais ouais. Il est réel.

— Et vous voulez que je fasse quoi ?

— Pas grand-chose, vraiment. Obtenir plus d’informations. Car pour le moment, nous n’avons que des pistes et des rumeurs, et nous devons savoir si Swan est vraiment en train de mijoter quelque chose. On s’en fiche s’il ne fait que déterrer des cadavres. Ça, c’est le problème de la police de Portland, et on ne va pas aller se fritter pour des soucis de juridiction. Mais si ces morts ne sont plus si morts une fois que Swan en a fini avec eux, ça devient notre problème.

Ça prenait du sens, mais ça n’était qu’une partie de l’explication.

— Donc je vais là-bas et je lui demande s’il a un labo de scientifique fou ou un truc du genre ?

— Un peu plus subtil que ça. Swan ne va pas vouloir crier sur les toits ce qu’il fait. Mais on a cru comprendre qu’il aimait bien les jolis garçons, donc peut-être te laissera-t-il approcher suffisamment près pour qu’on sache.

La bouche de Harry lui semblait remplie de cendres.

— Vous voulez que je le séduise ?

— Quelque chose du genre.

Il secoua la tête.

— Je ne suis pas un gigolo.

— Je n’ai pas dit le contraire, garçon. Mais un agent du Bureau doit être en mesure de jouer n’importe quel rôle selon la mission qui lui est confiée. Et pour celle-ci, il faut être un joli garçon.
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— Oh, allez, Powell. Laisse-moi te poser une question : un être est-il intrinsèquement bon s’il est humain, et intrinsèquement mauvais si ce n’est pas le cas ?
— Bien sûr que non. Vous le savez même mieux que moi. Beaucoup d’employés ici sont non-humains. Je confierais ma vie à Edge aussi aisément que je le ferais avec n’importe lequel des homo sapiens travaillant ici.
Townsend hocha la tête, apparemment satisfait de sa réponse.
— Oui, nous sommes d’accord sur le fait que faire partie de la race humaine n’est en rien un gage de bonne conduite. Alors, dis-moi donc, comment pouvons-nous distinguer un homme mauvais d’un homme bon ?
Vraisemblablement, cela menait quelque part, bien que Kurt ne sache pas où. Il se frotta la tête, passant ses doigts dans ses boucles coupées court pendant qu’il réfléchissait. Il avait, en vérité, une opinion sur le sujet, mais la verbaliser n’était pas évident.
— Je suppose, articula-t-il lentement, que je ne crois pas vraiment au fait que les gens soient entièrement bons ou mauvais. Je pense que certaines personnes choisissent de bien agir, d’autres de mal agir, et pour beaucoup, c’est un mélange des deux. Chacun d’entre nous a la capacité de choisir une voie ou l’autre.
— Et quelqu’un en ayant choisi une peut-il revenir sur l’autre ?
— Est-ce que ça a un rapport avec ce truc sur la rédemption dont vous me parliez il y a quelques semaines ?
— Tout a toujours à voir avec la rédemption.
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Désormais, les cris au milieu de la nuit étaient devenus familiers, alors Aric n’hésitait plus à réagir. Dès que le premier cri se répercuta sur les murs de pierre, il sortit de son lit d’un bond, se jetant spontanément sur les barres de fer. Il glissa la tige du verrou en position ouverte dans un mouvement fluide et se précipita vers la silhouette tremblante au sol, avant de ramasser doucement l’homme en larmes dans ses bras, comme un parent l’aurait fait avec son enfant.
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Il refusait de penser à ce fichu rêve. Ce n’était rien. Juste des explosions de neurones qui n’avaient aucune signification. Les bêtises de Freud sur les mécanismes de défense et le symbolisme des trains et des symboles phalliques étaient le produit d’une imagination victorienne débordante, complètement non confirmée par une preuve empirique. William était juste fatigué, et stressé, et un peu déconcerté par le déménagement, mais c’était tout.
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Même si Simon était gay, quelle différence cela faisait pour lui ? La question traversa son esprit alors qu’il était couché dans son lit cette nuit-là. Finalement, il renonça à regarder un film. Peu importe le nombre de fois qu’il la posait, ses spéculations se tournaient inévitablement vers des sujets connexes. Simon était-il célibataire ? Était-il hors de sa portée ? Quelle était exactement cette portée ? Est-ce qu’il aimerait passer du temps avec Simon ? Est-ce que ce serait réciproque ? À quoi ressemblait-il nu ? Voulait-il savoir à quoi, lui, il ressemblait nu ?

Seigneur.

Il renonça à s’endormir et tenta de lire, mais son esprit ne restait pas sur la page devant lui.

Il finit par se branler de nouveau. Cela faisait des années qu’il ne s’était pas fait jouir plus d’une fois par jour, pourtant il était là, la main dans le slip. Mais cette fois, il n’imagina pas que la main appartenait à quelqu’un d’autre. Cette fois, il regarda un porno, parce que, sinon, il imaginerait toujours Simon, et ce serait vraiment effrayant. S’il porta son choix sur une vidéo dans laquelle un des gars avait une barbe noire et une carrure imposante ? Coïncidence.
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Il écouta les autres s'exclamer devant le spectacle, et il les regarda prendre des photos qui ne captureraient jamais la splendeur de la réalité.
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Quand aurait été dite cette phrase « Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens ! »

lors de la prise de Jérusalem par les Croisés (1099)
à Béziers, lors de la croisade contre l’hérésie albigeoise (1209)
lors de la prise de Constantinople (1453)

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