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3.91/5 (sur 223 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Gary, Indiana
Biographie :

Kristen Ashley est née à Gary, dans l'Indiana (USA). Elle a faillit tuer sa mère ainsi qu'elle-même à la naissance, car elle avait le cordon ombilical enroulé autour du cou (elle en était déjà a porter des accessoires avant même sa première respiration !).

Kristent à grandit à Brownburg, Indiana, mais a vécu à Denver (Colorado) et sur la côte ouest de l'Angleterre. Elle a la chance d'avoir des amis et de la famille un peu partout sur le globe. Cette petite troupe est complètement toquée (pour ne pas dire autre chose) mais être cinglé est une bonne chose quand vous voulez écrire.

Kristen a été élevée dans une maison avec une grande famille multi-générationnelle.
Inutile de dire que grandir dans une maison pleine de musique, de vêtements et d'amour est une bonne façon de grandir.

Et elle continue à grandir, et à devenir encore meilleure.
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Source : http://www.lireoumourir.com/pages/pages-cachees/auteurs-a/kristen-ashley.html
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
« Je me disais que tout ça ne sentait pas bon du tout, et en même temps, une douce chaleur m’envahit, comme d’agréables fourmillements dans tout le corps.
Puis j’entendis le moteur d’une voiture. Je me penchai sur le côté et aperçus une magnifique Chevrolet du feu de Dieu se garer juste derrière le van noir, un modèle Camaro flambant neuf, couleur gris métallisé. Elle était suivie d’un autre van noir et brillant, plus récent, plus grand et certainement plus cher.
La portière s’ouvrit et Hawk émergea de la Camaro. Il portait lui aussi des lunettes de soleil modèle aviateur, encore plus géniales que la Camaro, et pourtant, cette voiture envoyait du lourd. Un groupe de types musclés jaillirent du van noir ; le commando entier portait des pantalons cargo et des t-shirts moulants à manches longues.
Hawk braqua ses lunettes de soleil vers nous.
Oh non.
J’avais tort. Ça, ça ne sentait pas bon, mais alors pas bon du tout. Envolés, cette douce chaleur et ces agréables fourmillements.
C’est alors que j’entendis une portière claquer de l’autre côté de la rue. Je tournai la tête vers la droite, et remarquai un véhicule de police avec des gyrophares bleu et rouge sur le tableau de bord, mais pas sur le toit. Je vis aussi l’inspecteur Mitch Lawson s’avancer vers moi, avec ses lunettes de soleil cerclées de cuivre, super classe.
Hyper, méga, extra oh non !
Le baro-beaux-mecs s’affola au milieu de tous ces mecs canons qui fondaient de toute part sur moi, ma voiture et Tack.
Bon sang, qu’est-ce que j’avais bien fait de me boucler les cheveux !
Tack se tourna vers eux, mais ne bougea pas.
Et maintenant, qu’étais-je censée faire ?
J’optai pour jouer la fille cool. Seul problème : je n’étais pas une fille cool.
Hawk arriva le premier. Il ne me quitta pas des yeux et s’arrêta à quelques pas de moi.
– Chérie, annonça-t-il en guise de bonjour.
Sa voix était proche d’un grognement. Manifestement, il n’était pas de très bonne humeur ce matin.
– Salut, répondis-je.
Lawson arriva à son tour ; il contourna Hawk pour m’avoir bien dans son champ de vision, balaya Tack du regard, les lèvres pincées, avant de poser à son tour les yeux sur moi.
– Bonjour Gwendolyn, dit-il, ignorant Hawk et Tack.
– Euh, bonjour, répondis-je.
– Bien dormi ? demanda-t-il.
– Pas franchement, répondis-je avec sincérité.
– Je connais un bon remède pour ça, commenta Tack.
Deux paires de lunettes se braquèrent sur lui, et je les imitai. Tack avait croisé les bras sur sa poitrine et il arborait un grand sourire.
Merde.
Manifestement, à ce stade, Hawk avait eu sa dose.
J’en étais sûre parce qu’il désigna tour à tour Tack et Lawson en ordonnant :
– Toi… toi… discussion.
C’étais sans doute la seule personne au monde en mesure de s’adresser ainsi à ces deux hommes et d’en sortir vivant.
Il recula, Tack et Lawson lui emboîtèrent le pas. Je refermai ma portière et m’apprêtai à faire de même. Hawk se dirigeait vers ma pelouse avec Tack et Lawson, mais se retourna en entendant le claquement.
– Chérie, reste où tu es.
Je clignai des yeux derrière mes lunettes de soleil.
Puis je perdis mon calme.
– Je ne suis pas un chien ! hurlai-je, furieuse.
Il se trouvait à plusieurs mètres de moi. Pourtant, en un clin d’œil, je me retrouvai plaquée contre ma voiture.
– Tu restes ici, sinon je te trimbale moi-même jusqu’à ma bagnole et je te menotte au volant. A toi de voir. T’as deux secondes pour décider.
C’était bien ce que je pensais. Il n’était manifestement pas de très bonne humeur ce matin.
– Il y a un policier juste là. Je ne pense pas qu’il apprécie beaucoup que tu me menottes au volant de ta voiture, déclarai-je.
– Lawson me connaît, Tack aussi. Crois-moi, Bouton de rose, si je dois prendre les mesures qui s’imposent pour m’occuper de ma femme, personne ici ne lèvera le petit doigt pour t’aider.
J’avais du mal à le croire sur parole, mais le ton de sa voix me dissuada de pousser le bouchon un peu plus loin. L’atmosphère était déjà suffisamment tendue comme ça. Inutile d’y ajouter une guerre motards contre commando au milieu de ma pelouse, avec en prime, Lawson appelant les renforts policiers.
J’abandonnai donc, non sans insolence.
– Tu viens de perdre deux places sur le baro-beaux-mecs, l’informai-je d’un ton hautain.
– J’en mourrai pas, rétorqua-t-il avant de tourner les talons. »
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— Cherry est un meilleur coup que moi ? demandai-je.
Je n’avais pas pu résister : j’avais encore tout un stock de colère résiduelle, et Lee était la seule
personne sur qui je pouvais la déverser.
Il poussa un soupir et ses doigts se crispèrent sur ma main.
— Indy, ne me demande pas des trucs pareils.
Oh mon Dieu ! Quelle horreur ! Cherry Blackwell était un meilleur coup que moi !
Dans le cas contraire, Lee me l’aurait dit. Il était franc du collier et ne mentait absolument jamais.
Il omettait juste de divulguer certaines informations, à l’occasion.
— Très bien, rétorquai-je, ultra-énervée.
Je pivotai et poussai sur les épaules de Lee jusqu’à ce qu’il se retrouve sur le dos. J’étais en train
de faire descendre ma bouche de son torse vers ses hanches lorsqu’il m’obligea à me redresser.
— Qu’est-ce que tu fabriques ?
— Je vais te donner de quoi comparer. Tu peux nous noter, toutes les deux. Cherry contre Indy.
Comme les patineurs aux jeux Olympiques.
— Des jeux Olympiques porno ? s’enquit Lee avec une pointe d’amusement.
— Ouais, un truc dans le genre, répliquai-je.
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— Pour ce que ça vaut, je vais te faire partager mes intentions, annonça Lee. Toi et moi, on n’est pas là pour une séance d’entraînement. Et ça n’a rien à voir avec la famille ou les amis. C’est parce que je t’aime. Tu es marrante, belle et tu prends soin des gens. J’aime la manière dont tu me regardes, surtout quand tu crois que je ne m’en aperçois pas. J’aime le fait qu’on ait une histoire commune, que nos gosses se retrouveront avec une immense famille et partageront cette histoire. J’aime l’idée qu’il n’y ait jamais eu d’époque où leur papa et leur maman ne se connaissaient pas. Si ça avait été la cata au lit, j’aurais peut-être hésité un peu, mais toi et moi, c’est de la dynamite. J’ai l’intention de t’épouser. Je veux passer le restant de ma vie avec toi. Pas de bol si ça te fout la trouille, parce que maintenant qu’on est lancés, hors de question de revenir en arrière. Il n’y a pas de retour possible.
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Elle portait des vêtements de styliste, exhibait une french manucure et son budget annuel chez le coiffeur devait dépasser celui que j'avais dévolu à mon mobilier. A la voir, on aurait dit qu'elle s'apprêtait à monter dans un jet privé. Moi, j'avais l'air d'être en route pour le parc d'attractions de Denver.
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PROLOGUE
L’homme indomptable
– Oh, mon Dieu, gémis-je.
Je jouis et ne pensai plus à rien, tous mes muscles contractés, parcourus d’un plaisir que je n’avais encore jamais ressenti.
J’ouvris lentement les yeux : il était toujours au-dessus de moi, en moi, bon sang, il était vraiment beau. Magnifique. Et c’était si bon avec lui. Fantastique.
Ses superbes yeux gris argenté étaient rivés aux miens, son regard brûlant, intense et chatoyant me transperçait de part en part. Jamais encore il ne m’avait regardée ainsi. Pas une fois, alors que nous sortions ensemble depuis quatre mois.
Je comprends parfaitement ce regard brûlant et ce qu’il signifiait : cet homme extraordinaire, splendide et indomptable, cet homme m’appartenait.
A moi.
Je le ressentais dans tout mon être.
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— C’est l’un d’entre eux ? demanda Lee à Tex, sans m’accorder un regard.
— Ouais, répondit Tex.
— C’est lui qui t’a eu ? demanda Willie.
— Il m’a tiré dessus, et aussi sur Indy. L’autre m’a touché, par contre.
Brian et Willie n’écoutaient déjà plus. Ils avaient entendu « et aussi sur Indy », l’air s’était figé autour d’eux et ils avaient plissé les yeux en direction de Blondinet.
Presque pire que d’abattre un flic : tirer sur la fille d’un flic.
Blondinet venait de s’acheter un billet en première classe pour l’Île aux Emmerdes. 
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Mon téléphone se mit à sonner. Je le consultai : c’était Lee.
— Où es-tu ? Les gars m’ont dit que tu étais hystérique au sujet d’une baby shower, et que tu t’étais barrée avec Eddie sur les talons, me dit Lee en guise de bonjour.
— Ta mère est en train d’organiser une baby shower.
— Où es-tu ?
— Tu dois l’appeler, ordonnai-je à Lee.
— Où es-tu ?
— Lee !
— Je l’appellerai. Où es-tu, bordel ?
— Au Walgreen, avec Eddie. D’ailleurs, je suis bien contente que tu appelles, parce que Eddie refuse de m’aider. Tu utilises quoi, comme préservatifs ? Et s’il te plaît, ne me parle pas de machins colorés, parfumés ou de conneries de ce genre. Je veux ceux qui sont célèbres pour leur fiabilité sur la durée.
Silence.
— Lee ?
J’aurais pu jurer que Lee couvrait le microphone de son téléphone de la main.
— Lee ! criai-je.
— Que je te comprenne bien, dit-il (et j’étais sûre qu’il était en train de rire). Tu as traîné Eddie au Walgreen pour qu’il t’aide à m’acheter des préservatifs ?
— Je ne savais pas quoi faire ! Je ne suis pas le genre de fille à avoir des préservatifs sur elle. C’est le boulot du mec, ça. Et tu as dit qu’il faudrait qu’on prenne nos précautions autrement.
— Tu as mentionné cette histoire de fiabilité sur la durée devant Eddie ?
Oh mon Dieu.
— Oublie ça, marmonnai-je.
— Indy ?
— Quoi ? dis-je d’un ton tranchant.
J’étais un petit peu énervée.
— Je t’aime.
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Chapitre 3 :
Et là, ma vie devient vraiment intéressante.
"- Tu t'étais déjà retrouvée avec un couteau sous la gorge ?
- Euh, pas que je me souvienne...
Ses yeux noirs étincelèrent dangereusement.
- Tu oublierais un truc pareil ?
- Probablement pas, admis-je.
Eddie se rapprocha encore. À ce stade, son corps effleurait le mien.
- Pourquoi ne pas avoir appelé la police ?
- Ça e me paraissait pas si grave.
- Quand un type te colle un couteau sous la gorge, c'est grave. Et tu préviens la police.
En temps normal, j'aurais été d'accord avec lui.
- Bordel, Jet, pour une fois, parle-moi ! exigea-t-il, d'un ton qui sonnait comme un ordre.
...
- Ce ne sont pas tes affaires, joutai-je. rien de tout ça ne te concerne.
- J'en fais mes affaires, décréta Eddie. C'est un avertissement, Jet. À Partir de maintenant, tout ce qui te concerne me regarde."
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Je calmai Andrea avec un café au lait décaféiné à la noisette glacée, et je lui promis de l’appeler à la minute où je l’aurais fait avec Lee. À ce rythme, après le coït, je resterais au téléphone toute une semaine.
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Hank me fixa d’un air incrédule, comme si je venais de lui demander la permission de gouverner le monde et de décréter que le mardi était désormais la Journée internationale en l’honneur du champagne rosé.
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