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4.1/5 (sur 1418 notes)

Nationalité : Australie
Biographie :

Kylie Scott est une autrice de romance.

Elle a écrit plusieurs séries de livres devenus des best-sellers du New York Times et USA Today, notamment la série "Stage Dive" (2013-2015), très plébiscitée par les lecteurs. Ses livres ont été traduits en onze langues différentes.

Mariée et mère de deux enfants, elle vit dans le Queensland, en Australie.

son site : http://kylie-scott.com/

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Citations et extraits (181) Voir plus Ajouter une citation
— Il faut qu’on parle, déclara-t-il.
Existait-il mots plus redoutés dans le langage humain ?
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Je commençai à recevoir les textos de Mal juste avant l’heure du déjeuner.

Mal : Suis réveillé.
Anne : Salut.

Mal : Vais courir avec Jimmy.
Anne : Cool !

Mal : Fini de courir. Je mange.
Anne : O.K.

Mal : Produits de ménage ?
Anne : Pour nettoyer quoi ?
Mal : Pizza explosée dans micro-ondes.
Anne : Spray sous l’évier.

Mal : Tu rentres quand ?
Anne : 17 h 30.
Mal : J’m’ennuie.
Anne : Désolée.
Mal : Tu fais quoi ?
Anne : Je bosse. Je dois y aller. A +.

Mal : T’as des goûts de chiottes en musique.
Anne : Merci.
Mal : Sérieux, ça craint. Faut qu’on en parle. À part Stage Dive, y a tout à jeter.
Anne : Hé. Tu fais quoi là ?
Mal : Des nouvelles playlists avec du bon son. T’inquiète.
Anne : O.K. Merci.

Mal : J’m’ennuie.

Mal : Ben va passer pour jouer à Halo.
Anne : Super ! Mais t’es pas obligé de me dire tout ce que tu fais.
Mal : Davie dit que c’est important de communiquer.
Mal : Tu vas les avoir quand, tes règles ? Davie veut savoir si tu préfères cupcakes ou glace.
Anne : Je refuse de parler de ça. À tout jamais.

Mal : J’m’ennuie. Ben est à la bourre.

Mal : Et si on prenait un chien ?
Anne : C’est interdit dans l’immeuble.

Mal : Sympa ton soutif vert en dentelle.
Anne : Sors de ma chambre, Mal.
Mal : Culotte assortie ?
Anne : SORS. TOUT DE SUITE.
Mal : ☺

Mal : Envoie-moi des sextos.

Mal : Allez, c’est marrant.

Mal : STP ?

Mal : Un nombre important de caractéristiques de co-dépendance malsaine chez les deux sujets peut être le signe d’une relation toxique.
Anne : ? ? ?
Mal : Quiz dans un magazine. On a besoin d’un psy. Surtout toi.
Anne : …
Mal : Je prends RDV pour une thérapie de couple. Mardi 16 h 15, ça te va ?
Anne : Hors de question qu’on aille voir un psy.
Mal : Qu’est-ce qui se passe ? Tu ne m’aimes plus ?
Anne : J’éteins mon téléphone.
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Je serrai fort un des coussins du canapé contre ma poitrine.

Mal se pencha et m’ébouriffa les cheveux.

— David est le chouchou de ces dames. Il est beau, joue de la guitare, et écrit les paroles. Les minettes s’évanouissent sur son passage. Ajoute à ça le fait d’être une jeunette et tu as le scoop de la semaine.

— J’ai vingt et un ans !

— Et lui vingt-six. Ça leur suffit.

Mal soupira.

— Regarde les choses en face, petite mariée. Tu as été unie à l’un des fils préférés du rock par un imitateur d’Elvis à Vegas. Ça fait toujours son petit effet. En plus, étant donné tout ce qui se passe avec le groupe dernièrement… Jimmy qui déconne et David qui perd son mojo de parolier. Enfin, tu vois le tableau. Mais, la semaine prochaine, quelqu’un d’autre fera quelque chose de dingue et ils t’oublieront.

— J’espère…

— Je le sais. Les gens font tout le temps des conneries. C’est ça qui est bien.

Il se renfonça dans le canapé, les mains derrière la tête.

— Allez, fais risette à Oncle Mal. Je sais que tu en meurs d’envie.

Je souris sans conviction.

— C’est vraiment un sourire pourri et j’ai honte pour toi. Tu ne tromperas personne avec ça. Recommence.

Je réessayai de sourire jusqu’à ce que mes joues me fassent mal.

— Merde ! Maintenant on dirait que tu souffres.

Notre hilarité fut interrompue par des coups à la porte. Il haussa les sourcils dans ma direction.

— Je me demandais combien de temps il allait tenir.

— Quoi ?

Je le suivis jusqu’à la porte d’entrée, tapie derrière une cloison au cas où ce serait encore la presse.

Il ouvrit la porte et David lui fonça dessus, visiblement fou de rage.
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Je tendis la chemise à Jimmy. Il marqua un temps d’arrêt et pencha la tête.
— Tu es virée.
— Pardon ?
— Lena, regarde-moi ça.
J’obtempérai.
— Hum. Eh bien, c’est très coloré et gai. Personne ne va prêter attention à ton visage, c’est certain.
— Ouais. Donc, t’es virée.
— Je trouve que le contraste entre le rose et le rouge des sapins crée un certain effet. Et les cerfs qui gambadent sont plutôt cool… mais attends, est-ce que celui-ci est en train de sautiller ou est-ce qu’il monte le plus petit ?
Des doigts furieux agrippèrent les boutons de sa chemise blanche irrécupérable. Il les arracha, les envoyant valser aux quatre coins de la salle de bains.
— Oh, bon sang. Au dos, ils se font même un plan à trois. Cette chemise est vraiment magique. Mais je pense que si quelqu’un peut assumer, c’est bien toi.  
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- Tu as touché à mes affaires ? Tu as pris quelque chose ?
- Oui, ton canapé est caché sous ma robe. Et tu ne me croirais pas si j e te disais où j'ai casé la télé.
Il plissa dangereusement les yeux.
- Entre nous, poupée, le moment n'est pas très bien choisi pour faire de l'humour.
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L’expression de son visage m’inquiétait car j’étais incapable de la déchiffrer. Son regard était comme d’habitude circonspect mais il y avait autre chose, quelque chose de plus. intensité avec laquelle je doutais pouvoir rivaliser si tôt le matin.
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Il était vraiment attentionné. Je ne savais pas ce que j’avais fait pour mériter autant de gentillesse. Si j’avais dragué ce pauvre garçon en lui faisant miroiter une nuit torride avant de finalement la passer la tête dans les toilettes, en principe, il aurait dû être un peu mécontent. Peut-être espérait-il que, ce matin, j’honorerais ma promesse. Cela semblait la seule explication plausible pour expliquer sa présence.
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Mal Ericson.
Putain qu’il est beau! Mes hormones depuis longtemps en sommeil se lancèrent dans une danse de joie. Il se passait clairement quelque chose dans ma culotte. Quelque chose qui ne s’était pas produit depuis un bail.
– Là! Regard de psycopathe, murmura-t-il.
– Merde.
Je fermai les yeux très fort. La fois où Lizzy m’avait surprise avec mon petit ami il y a sept ans avait été un des moments les plus gênants de ma vie, d’autant qu’elle s’était empressée d’aller raconter la scène à ma mère, qui n’était pas en état à l’époque d’être choquée par quoi que ce soit. Mais là, c’était encore pire.
– Tu es toute rouge, serais-tu entrain d’avoir des pensées coquines, Anne?
– Pas du tout.
– Menteuse, se moqua-t-il. Je parie que tu es entrain de m’imaginer à poil.
En plein dans le mille.
– Eh bien, c’est une atteinte à mon intimité, s’indigna-t-il. ( il s’approcha de plus près, réchauffant mon oreille dans son souffle.) Je ne sais pas ce que tu imagines, mais c’est encore plus gros que ça.
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Ben : Tu viens de m’envoyer une photo de ton déjeuner ?
Lizzy : Non. C’est une œuvre artistique à base de frites et de ketchup qui exprime mon immense tristesse que tu ne répondes pas à mes messages. Tu ne vois pas le visage au milieu ?
Ben : C’est quoi le truc vert ?
Lizzy : Des larmes en cornichons. Je les ai piquées dans le cheeseburger d’une copine.
Ben : C’est mignon.
Lizzy : Tu es ému ?
Ben : Absolument.
Lizzy : Alors tu acceptes de me parler ?
Lizzy : Haha. Tu manges de la pizza ?
Ben : Triste ou contente, selon toi ?
Lizzy : Elle a un regard lubrique. Comment oses-tu m’envoyer des pepperonis aussi tendancieux ? Je ne suis pas ce genre de fille.
Ben : Ah. Faut que j’aille bosser. À plus, ma belle.


http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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Je le regardai, stupéfaite. Il haussa les épaules. Comme si ça n'avait aucune importance.
- Et ensuite?
- On est allés prendre un verre dans un autre bar.
- Je suis étonnée que tu sois resté avec moi.
Abasourdie était plus proche de la vérité.
- Pourquoi ça? Tu m'as traité comme un être humain. On a parlé de tout et de rien. Tu n'avais pas d'idées derrière la tête. Tu ne t'es pas comportées comme si j'appartenais à une autre espèce. Lorsque que tu me regardais, j'avais l'impression...
- L'impression que quoi?
Il s'éclaircit la gorge.
- Je ne sais pas. Ca n'a pas d'importance.
- Si.
Il poussa un petit grognement.
- S'il te plait?
- Putain, grommela-t-il en se tortillant dans le siège conducteur, visiblement mal à l'aise. J'avais l'impression que c'était réel. Comme... une évidence. Je ne sais pas comment l'expliquer autrement.
Je demeurai un instant assise dans un silence de mort.
- C'est une bonne façon de l'expliquer.
Soudain, il me lança un petit sourire narquois.
- Et, en plus, c'était la première fois qu'on me faisait ce genre de propositions malhonnêtes.
- OK, OK, arrête tout de suite.
Je cachais mon visage dans mes mains et il éclata de rire.
- Détends-toi. C'était très mignon.
- Mignon?
-Ce n'est pas une tare.
Il s'engagea dans une station-service et s'arrêta devant une pompe à essence.
- Regarde-moi.
Je m'exécutai. Un sourire éclairait son beau visage.
- Tu as dit que tu pensais que j'étais un gars vraiment adorable. Et tu m'as proposé de monter dans ta chambre, faire l'amour et passer un peu de temps tous les deux. Enfin si ça m'intéressait.
- Je sais vraiment m'y prendre avec les hommes, dis-je en riant.
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