Citation de Jeannepe
Tita, à genoux, penchée sur le metate, se démenait en cadence pour écraser les amandes et le sésame.
Sous la blouse, sa poitrine bougeait librement car elle n’avait jamais porté de soutien-gorge. Des gouttes de sueur, depuis son cou, suivaient le sillon de sa peau entre ses seins ronds et durs.
Ne pouvant résister davantage aux odeurs qui émanaient de la cuisine, Pedro s’approcha. Il s’arrêta à la porte, pétrifié devant la sensualité qui se dégageait de Tita.
Celle-ci leva la tête sans cesser de broyer et ses yeux rencontrèrent ceux de Pedro. Leurs deux regards embrasés ne firent plus qu’un ; un spectateur aurait perçu un seul mouvement rythmique et sensuel, une seule respiration haletante et un même désir.
Sous la blouse, sa poitrine bougeait librement car elle n’avait jamais porté de soutien-gorge. Des gouttes de sueur, depuis son cou, suivaient le sillon de sa peau entre ses seins ronds et durs.
Ne pouvant résister davantage aux odeurs qui émanaient de la cuisine, Pedro s’approcha. Il s’arrêta à la porte, pétrifié devant la sensualité qui se dégageait de Tita.
Celle-ci leva la tête sans cesser de broyer et ses yeux rencontrèrent ceux de Pedro. Leurs deux regards embrasés ne firent plus qu’un ; un spectateur aurait perçu un seul mouvement rythmique et sensuel, une seule respiration haletante et un même désir.