Citations de Lauren Kate (326)
L'amour est plus fort que la peur
Tu dois survivre car je ne veux pas vivre dans un monde où tu serais absente
La connaissance est intimement liée au pouvoir; or le pouvoir corrompt, et la corruption amène avec elle la honte et la ruine. L'ignorance n'apporte certes pas la félicité, mais peut-être est-il préférable de vivre dans l'ignorance que dans la honte.
- Je n'ai pas supporté la façon dont ce type te regardait, te touchait. Tu mérites la plus grande douceur. (Ses yeux verts s'écarquillèrent.) Je veux être celui qui te touche. Le seul.
Avant qu'elle ait pu reprendre son souffle, il revint sur ses pas.
-Une dernière chose, souffla-t-il en glissant un bras sur ses épaules.
Elle inclina la tête en arrière tandis qu'il se penchait en avant. Sa bouche se posa sur la sienne. Il avait les lèvres aussi douces qu'elle en avaient l'air.
Ce ne fut pas un baiser profond, juste une petite bise, mais Luce réagit très fort, sosu le choc, l'excitation, le risque d'ê^tre vu pendant ce baiser si long et innatendue...
Elle en eut tout simplement le souffle coupé.
-Qu'est-ce que...?
Sa tête partit sur le côté, puis il se plia en deux en se tenant la machoire. Derrière lui, Daniel se massait le poing.
-Bas les pattes!
-J'ai pas entendu, grommela cam en se redressant lentement.
Seigneur! ils étaient en train de se battre,, dans la bibliothèque! Pour elle...
Soudain, Cam se précipita vers Luce et l'enlaça.Elle poussa un cri. Daniel fut cependant plus rapide.Il écarta brutalement Cam et le projeta contre la table informatique.
Cam gémit lorsque Daniel l'attrappa par les cheveux pour lui clouer la tête sur la table.
Peut-être était-ce ça la magie : être capable de remarquer dans l'obscurité la lumière que la plupart des gens ne voient pas
Il faut que je parte, dit il enfin. Je ne devrais meme pas être ici, mais je n'arrive pas a rester loin de toi. Je m'inquiète pour toi a tout moment. Je t'aime, Luce. Au point que ça me fait mal.
Qui nous sommes change tout le temps, dit Eureka. Seul notre nom reste le même.
L'amour est une promenade sans fin sur une route tortueuse
Il portait une écharpe rouge vif autour du cou. Il ne faisait pourtant pas froid, loin de là, mais ce garçon arborait aussi un blouson de motard en cuir noir par-dessus son pull. Etait-ce parce que c'était la seule touche de couleur de la cour ? Quoi qu'il en soit, Luce ne parvenait pas à détacher son regard de ce garçon. En faite, tout le reste lui semblait tellement terne, en comparaison, que, pendant un long moment, elle oublia où elle se trouvait.
Dans le hall, Luce était en compagnie de deux garçons et une fille. Celle-ci n'avait rien de mystérieux : blonde, mignonne comme une pub pour Neutrogena, les ongles manucurés, vernis d'un rose pastel assorti à son classeur en plastique.
"Parfois, de belles choses entrent dans nos vies, surgies de nulle part. On ne les comprend pas toujours, mais il faut leur faire confiance."
- C'est sûr, j'avais l'impression de te connaître déjà, admit-elle d'une voix brisée par la peur. De t'avoir croisé au centre commercial, dans un camp de vacances ou autre, mais pas dans une autre vie!
La fille était trapue, impression accentuée par le nombre anormal de couches d'habits qu'elle portait. Des boucles brunes encadraient son visage rond. Chaque fois qu'elle reniflait, ses lunettes violet vif glissaient sur son nez. Elle semblait inoffensive, mais les apparences sont souvent trompeuses, d'autant plus qu'elle avait les mains dans le dos, ce qui, après la journée qu'elle venait de vivre, incita Luce à se méfier.
"Un peu bêtement, elle cherchait des signes dans les vagues, des indices taillés dans la roche volcanique. Elle cherchait partout, sauf en elle-même. Car c'était en elle que résidait la grande énigme de son passé."
A la droite de Luce se tenait un brun aux cheveux courts et aux yeux marron, le nez parsemé de taches de rousseurs. A sa façon d'éviter son regard et de triturer une petite peau de son pouce, elle eut l'impression que, comme elle, il n'en revenait toujours pas d'être là, et qu'il étit mal à l'aise. Le garçon qui se trouvait à sa gauche, en revanche, correspondait trop bien à l'image que Luce se faisait de ce pensionnat : élancé, les cheveux noirs et hirsutes, il avait de grands yeux verts très enfoncés. Ses lèvres charnues étaient d'un rose à faire se pâmer la plupart des filles. Il portait un sac de DJ en bandoulière. Sur sa nuque, un soleil tatoué dépassait e son T-shirt noirs. Il semblait presque luire sur sa peau claire.
Lorsqu'elle passa à son tour les mains dans ses cheveux, les manches de son pull noir remontèrent sur ses avant-bras. Luce aperçut alors sur un poignet un bracelet noir percé de clous argentés, et sur l'autre, un bracelet d'apparence plus... technique. En surprenant son regard, Arriane leva les yeux au ciel d'un air espiègle.
"Luce se sentait déjà seule. La solitude que l'on ressentait au milieu d'une foule était la pire de toutes."
- N'est-ce pas le principe du risque ? Tout jouer sur un mince espoir ?
"_Ceux d'entre vous qui ont déjà fait des recherches généalogiques, lança-t-elle par-dessus le brouhaha, savent quels trésors sont enfouis dans nos racines."