Citations de Lauren Kate (326)
Toute chose est en marche vers sa destruction
Seul notre amour ignore le déclin...
"Luce connaissait le fardeau de la culpabilité, même quand il était incompréhensible. Elle ne souhaitait cette souffrance à personne, surtout pas à son amie."
Man ange, ma malédiction.
Quand Daniel l'embrassait, Luce savait au plus profond d'elle-même qu'il était son passé. Blottie dans ses bras, elle avait l'espoir qu'il demeure son présent. Mais dès que leurs lèvres se séparaient, elle ne pouvait plus avoir la certitude qu'il représentait son avenir.
"[...] Tour le charme d'une exclusion, Luce, c'est qu'on ne manque à personne."
- Tu le savais quand je t'ai suivie au sommet du Corcovado, à Rio, parce que tu voulais voir la statue de près. Tu le savais quand je t'ai portée pendant trois longs kilomètres vers le Jourdain, aux environs de Jérusalem, parce que tu étais malade. Je t'avais bien dit de ne pas te gaver de dattes. Tu le savais quand tu étais mon infirmière, dans cet hôpital italien, pendant la Première Guerre mondiale, et avant cela, quand je me suis réfugié dans ta cave, pendant les purges du tsar, à Saint-Pétersbourg. Quand j'ai escaladé la tourelle de ton château, en Ecosse, pendant la Réforme, et quand je t'ai fait danser lors du bal célébrant le couronnement du roi, à Versailles. Tu étais la seule femme vêtu de noir. Il y avait cette colonie d'artistes, à Quintana Roo, et la marche de protestation du Cap.On a tous les deux passé la nuit en cellule. L'inauguration du Globe Theatre à Londres. On avait les meil eures places. Et quand mon bateau s'est échoué, à Tahiti, tu étais là, tout comme tu étais la lorsque j'étais en prison à Melbourne, et pickpocket à Nîmes. au XVIIIe siècle, et moine au Tibet. Tu apparais partout. tout le temps et, tôt ou tard, tu sens tout ce que je viens de te dire. Mais tu ne t'autorises pas à accepter ce que tu penses être la vérité
Je t'aime, Luce. Au point que ça me fait mal.
Il ferma les yeux et inspira profondément.
-Luce est différente, maintenant. Elle ...
Il sentait presque son parfum: propre, léger, radieux.
- Une modification fondamentale s'est produite. Nous avons une véritable chance. Et je ... je n'ai jamais été aussi heureux... et aussi malade de terreur.
"Luce avait envie de lutter à ses côtés, de se battre, de rester en vie assez longtemps pour passer son existence avec lui. De se battre pour la seule cause qui valait la peine de tout risquer. Une cause noble et précieuse.
L'amour."
Luce tenta de gagner du terrain.
— Alors… Dans quel camp es-tu ?
Bill émit un sifflement.
— Personne ne t’a expliqué que la réalité était plus complexe ? La frontière entre le bien et le mal est devenue floue après des millénaires de libre arbitre.
"[...] le seul moyen de survivre à l'éternité est d'apprécier chaque seconde."
"Peut-être ne devait-elle rien lui expliquer, finalement. Plus elle se sentait tourmentée, plus Cam se montrait attentionné. Qui sait, il lui suffisait peut-être de passer un petit moment dans les bras d'un garçon plein de sollicitude, de laisser son affection toute simple la rééquilibrer ?
C'était si bon d'être dans les bras de quelqu'un..."
L'amour est la seule cause qui vaille que l'on se batte pour elle.
Elle était toutes les filles qu'elle avait été, une somme d'expériences, d'erreurs, de succès et, surtout, d'amour.
Mais comme pour tous les anges, son corps guérit vite, bien plus vite que son âme...
Daniel posa une main sur les siennes."-Je déteste quand tu fais ça".Luce eut un mouvement de recul. A ce contact furtif, elle rougit. Il voulait dire par là la petite manie qu'avaient certains de faire craquer leurs jointures, sans doute. Car sinon cela impliquait qu'il l'avait déjà vue faire, et c'était impossible: il ne la connaissait presque pas. Dans ce cas, pourquoi avait-elle le sentiment qu'ils avaient déjà eu cette querelle?"
"- Tu veux savoir un truc sur les anges ? On est absolument parfaits, comme oreillers."
Elle jeta un coup d'oeil à Daniel. Il ota ses lunettes et les glissa dans la poche de son blouson puis il se tourna vers Luce pour l'observer.
Elle vit ses yeux s'écarquiller, puis se plisser, exprimant ce qui ressemble à de l'étonnement. Mais non, c'était plus que cela. Face à ce regards appuyé, Luce retint son souffle. Elle le connaissait...elle l'avait déjà vu...
Comment aurait-elle pu oublier un tel visage ? Et cette sensation de vertige qu'elle avait en cet instant ?
Elle se rendit compte qu'il se toisaient encore quand il lui sourit. Une vague de chaleur la parcourut tout entière, au point qu'elle dut agripper le banc pour ne pas chanceler. Ses lèvres esquissèrent un sourire mais, soudain, Daniel leva une main.
Il lui fit un doigt d'honneur.
"Eureka valait tous les tourments, parce qu'elle n'avait pas de prix."
Affronter Atlas. Ander pouvait l'appeler ainsi, mais aux yeux d'Eureka, une seule chose comptait: le corps qu'il possédait, autrement dit Brooks. Tandis qu'ils nageaient tous vers une mer inconnue, elle fit un serment.
Même si le corps de Brooks était sous le contrôle de la magie noire, au fond de lui, il était toujours son plus vieil ami. Il avait besoin d'elle. Quel que soit ce que leur réservait l'avenir, elle trouverait un moyen de le sauver.