Citations de Lauren Kate (324)
— Il m’a choisie, Shelby, au prix d’une place très importante au Paradis. C’est quand même fort, non ? (Shelby opina du chef.) Il ne pouvait pas me trouver juste mignonne. Il devait y avoir autre chose.
— Et… tu ne sais pas quoi ?
— Je lui ai posé la question, mais il ne m’a jamais vraiment répondu… Quand j’ai abordé le sujet, j’ai eu presque l’impression qu’il ne se souvenait pas. C’est étrange, c’est loin comme si on faisait semblant tous les deux de se fondre sur les millénaires d’un conte de fées, sans la moindre preuve tangible.
— Qu’est-ce qu’il te cache, encore ? s’enquit Shelby d’un air pensif.
— J’aimerais bien le découvrir.
Il était plus proche qu'avant l'apparition du serpent. Plus proche qu'elle s'y attendait. Il tendit la main et passa doucement les doigts dans les cheveux de Luce. La jeune fille se crispa.
- Tu as peur ? demanda Daniel.
La tête penchée de coté, les cheveux blonds ébouriffées par la brise, il la tenait par la taille d’une main assurée mais fluide et légère comme la soie. Luce avait glisse les bras autour de son cou.
Faire confiance, c'est faire preuve d'imprudence.
C'est trop difficile, Luce. Voilà pourquoi les anges choisissent un côté ou l'autre,pourquoi les gens s'inscrivent dans des clubs, des partis. C'est trop dur de se battre en solitaire.
Il n'y a rien de plus sombre qu'une grande lumière corrompue.
Son corps tout entier était devenu une peine de cœur.
Elle avait agi avec prudence pour un tas de choses... sauf quand elle avait donné son cœur.
Ils avaient partagé quelque chose de rare et de beau, et il avait appris que les sentiments des femmes étaient très profonds quand elles aimaient, comme si leurs cœurs possédaient des compartiments supplémentaires pour y entreposer l'amour et l'y garder à jamais.
Mais il n'était pas là en villégiature. Il n'était pas là pour tomber amoureux de la ravissante fille du négociant en cuivre. Non, il devait empêcher une jeune fille irresponsable de se perdre dans les moments les plus sombres de son passé au risque d'en mourir. Il venait l'aider à briser la malédiction une fois pour toutes.
Mon ange, ma malédiction.
Ce qui m'a tout d'abord attirée : la magnifique présentation de ce bouquin ! Il est sublime. Une histoire qui change des vampires mais avec toujours une sorte de triangle amoureux : Cam le méchant, Daniel le gentil et Luce la pauvre fille au milieu. Je trouve par contre que les personnages ne sont pas assez approfondis, que les dialogues pourraient être améliorés. Sinon, un très bon passe temps !
« Il fixa l'océan.
- Je... J'en ai tellement marre, de tout ça, avoua-t-il épuisé.
- De quoi?
Il l'observa d'un air triste, comme s'il avait perdu un bien précieux. C'était le Daniel qu'elle connaissait, même si elle ignorait où et quand elle l'avait rencontré. C'était le Daniel qu'elle... aimait.
- Montre-moi, murmura-t-elle.
Il secoua la tête, mais ses lèvres étaient à quelques centimètres des siennes. Et son regard était si attirant... On aurait dit qu'il voulait que ce soit elle qui lui donne l'exemple.
Impressionnée, elle se hissa sur la pointe des pieds et se pencha vers lui. Quand elle posa une main sur sa joue, il tiqua, mais resta immobile. Tout doucement, comme si elle redoutait de l'effrayer, presque pétrifiée, elle posa sa bouche sur la sienne, les yeux fermés. »
l'idée de partager une vie normale avec un ange était une folie. Elle le sentait chaque fois qu'elle volât avec Daniel et pourtant elle ne l'en aimait que davantage.
-Pourquoi dois-je survivre?
Ses yeux la picotaient et la brulaient.Elle ne pouvait plus dissimuler son épuisement .Ander s'en aperçut.Il la guida vers le lit ,la coucha et disposa les couvertures sur elle.
Puis,s'agenouillant à son chevet, il chuchota dans sa bonne oreille:
-Tu dois survivre parce que je ne veut pas vivre dans un monde ou tu serais absente.
Sa simple proximité lui procurait la plus étrange des sensations, comme la chaleur des braises au moment où elles tombent en cendres dans le foyer d'une cheminée.
Il leva les yeux et frémit en sentant tomber les ténèbres. Il saisit alors sa dernière chance de l'enlacer, de la serrer aussi fort qu'il pouvait, ce dont il mourait d'envie depuis des semaines.
Daniel la souleva de terre et la tint lovée contre lui. Ses lèvres avaient un goût de miel. Elle lui passa les bras autour du cou. Daniel caressa la cambrure de ses reins. Luce respirait à peine, submergée d'amour.
Arriane ferma les yeux et gémit doucement sous les ongles de Tess qui lui gratouillait la tête. Il n'y avait rien de meilleur au monde que les mains d'une amante.
Luce ferma les yeux et souhaita que tous les couples de la fête, tous les couples de la Terre, puissent échanger un baiser aussi doux que celui qu'elle échangeait avec Daniel.
- Joyeuse Saint-Valentin, Lucinda.
- Joyeuse Saint-Valentin, Daniel. Et qu'il y en ait beaucoup, beaucoup d'autres.
Il lui dédia un regard plein de chaleur et d'espoir. Il acquiesça :
- Oui, je vous le promets.