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Critiques de Lauren Weisberger (581)
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Le Diable s'habille en Prada

C'est un livre que j'ai lu il y a une dizaine d'années.

J'ai beaucoup aimé la description du monde impitoyable des revues de la mode : la patronne de LA revue de mode caricaturale, la jeune employée qui décroche ce job inespéré et qui subit les caprices de star de sa patronne, etc.

J'ai beaucoup ri.

Quand j'ai vu le film quelques années plus tard, j'ai été déçue. Le film n'avait pas le piquant du livre.
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L'art et la manière de conclure en beauté

Quand le Diable ne s'habille plus en Prada ... il s'habille en Nike et il hante les cours de tennis professionnels à travers le monde !



Charlotte Silver 24 ans, américaine ,est la 23° joueuse mondiale . Le jour où sa coatch qui officie aussi comme meilleure amie/soeur et mère de substitution, fait une grosse boulette à un grand chelem et cause la défaite de Charlie, cette dernière la vire .

Bye bye Marcy , bonjour Todd Feltner ! Mais ce dernier n'a pas une réputation d'humaniste dans le milieu ...

Il embauche styliste , sparring-partner, publicitaire et l'ambiance autour de Charlie se professionnalise , pour le meilleur ou pour le pire ?

Charlotte devient une It-girl, officialise sa relation avec un autre joueur de tennis aussi parfaitement beau que connard parfait ...



Cela ne vous rappelle rien ?

On enlève le milieu de la mode qu'on remplace par le tennis et on a presque du copié/collé du Diable s'habille en Prada , à quelques nuances prés ... Cela m'a gênée après coup, sur le moment c'est les relations entre les personnages qui m'ont agacée (ou Agassi , je ne sais plus !) . Un chouïa caricatural : la gentille fille dans un monde de brutes , je n'ai pas adhéré . Dans le monde de la compétition sportive , on se doute bien que si elle est arrivée à ce niveau , ce n'était pas grâce à une ultra- sensibilité artistique ...)

Sinon, service (documentation ) impeccable !

Le monde du tennis est ultra bien rendu , chambres d'hôtels qui changent tout le temps , courts , tournois , importance de l'image , relations éphémères , immense solitude, pression , régime . J'étais en totale immersion sur mon canapé . Cela bouge beaucoup dans ce milieu , de quoi vous donner le tournis ...

Comme les romans ayant le tennis comme sujet principal sont assez rares , cela fait de ce livre une" curiosité "'originale et sympa .

Il manque LE petit truc qui aurait fait un ace !
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Vengeance en Prada : Le retour du Diable

On se souvient du Diable s’habille en Prada, des aventures d’Andrea Sachs, jeune fille fraîchement sortie de l’université et embauchée comme assistante à la rédaction de Runway par la terrible Miranda Priestly. On avait apprécié la satire du monde de la mode, on avait assisté impuissants mais passionnés à la métamorphose d’une héroïne sympathique en requine aux Louboutin acérées, on avait applaudi la spectaculaire démission finale.



On entend parler de la sortie de la suite, Vengeance en Prada. La couverture est belle, le titre et surtout le sous-titre (Le retour du Diable) sont alléchants parce que finalement la vraie héroïne du Diable s’habille en Prada, ce n’était pas Andy et ses rêves remisés au placard, mais bien l’inoubliable rédactrice en chef de Runway, Miranda Priestly, son arrogance mythique et ses écharpes Hermès en soie blanche. Avec un enthousiasme qui frise l’hystérie, on attend fébrilement la sortie du livre, on se jette dessus, on le commence, on s’étonne, on s’ennuie, on s’énerve, dans le doute on continue, on va au bout et… on le jette à la poubelle.



L’histoire :



8 ans après les événements du Diable s’habille en Prada, Andrea a fondé un magazine haut de gamme spécialisé sur le sujet du mariage avec Emily, son ancienne collègue de Runway. Le roman commence par le mariage d’Andy avec Max. Le jour-J, Andy trouve une lettre de sa future belle-mère qui recommande à son fils d’annuler le mariage, persuadée qu’il peut trouver mieux (ce qui de mon point de vue de lectrice, semble être un conseil fort avisé qu’il ferait bien de suivre).



Note : si ne pas s’entendre avec sa belle-mère constituait un motif de divorce (ou un sujet viable pour un roman), il n’y aurait plus de mariages (et beaucoup trop de romans).



On commence la lecture avec quelques millions de flashbacks nébuleux et mortellement ennuyeux, nécessaires pour justifier l’injustifiable, i.e. qu’Andy est devenue la meilleure amie et associée de sa pire ennemie, Emily, et qu’elle a démissionné de Runway pour devenir chroniqueuse sur un blog de mariages puis lancer avec succès et une facilité déconcertante son propre magazine.



On aurait pu croire qu’Andy avait tiré une leçon de ses expériences passées. Grave erreur. À 33 ans Andy n’a pas grandi d’un neurone et reproduit avec application toutes les bêtises du premier tome, sans l’excuse, cette fois, de son inexpérience.



On lit, on lit, on commence à sauter quelques pages et à penser à autre chose et on attend désespérément que ça commence. Vient alors la deuxième partie. Andrea est tombée enceinte et Elias Clark, le groupe auquel appartient Runway et où travaille donc Miranda Priestly, décide de racheter The Plundge, le magazine d’Andy et d’Emily. Enfin, on a droit à quelques vagues et décevantes apparitions du “Diable” qu’on nous avait promis dans le titre, malheureusement quasi-inexistant de cette très très longue histoire.



Au passage, Vengeance en Prada, le retour du Diable est un titre inadapté pour ce récit où il n’est question ni de vengeance, ni de Diable et qui, quitte à mépriser toute logique, aurait tout aussi bien pu s’appeler Star Wars, la menace Fantôme ou Martine à la ferme. Ceci dit je comprends que le titre approprié, à savoir, Pleurnicheries absurdes d’une trentenaire sans cervelle ait été refusé par le département marketing.



Du reste, même après avoir terminé cette lecture, je n’ai toujours pas compris si c’est Miranda qui se venge d’Andy, Andy qui se venge de Miranda ou (hypothèse la plus probable), Lauren Weisberger qui se venge de ses lecteurs en leur imposant la lecture de ce livre long et décousu aux personnages antipathiques et aux comportements incohérents…



Je m’arrête ici et je ne raconterai pas la fin de l’histoire qui, il faut bien lui reconnaître cette qualité, est imprévisible, du moins pour tout lecteur rationnel puisqu’elle n’a absolument aucun sens.



En conclusion, trop de livres, pas assez de temps et de place sur vos étagères, lisez autre chose ou allez faire des meringues, mais n’achetez pas Vengeance en Prada, ne serait-ce que pour éviter que cette suite ratée et inutile entache le beau souvenir du premier tome, qui se serait suffit largement à lui-même.



That’s all.



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Le Diable s'habille en Prada

Juste pas possible de consacrer davantage de temps à un récit aussi superficiel et absurde, à l'intrigue tellement peu crédible et aussi inintéressante, à une héroïne seulement occupée de son ego et qui n'a jamais une réflexion profonde (j'insiste sur cet adjectif) sur le monde qui l'entoure.



Je suis une femme, jeune, pas trop repoussante et j'aime la mode mais là, merci, en plein dans le mille de la cible des clichés.



Je n'avais déjà pas particulièrement aimé l'adaptation cinématographique, m'ennuyant à mourir, trouvant toute "l'action" extrêmement prévisible, ne lui reconnaissant qu'un seul bon point dans le jeu de Meryl Streep, mais le bouquin, là je dis définitivement NON.



-- Abandon à mi-chemin, juste avant le point de non-retour.
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L'Enfer est pavé de bonnes intentions

Emily est de retour...

On l'avait rencontrée dans Le Diable s'habille en Prada (suivi de La vengeance en Prada) , on la retrouve , mariée, à son compte ( chargée de com' ) à L A.

Mais les temps sont durs et Emily se fait doubler par une jeunette, plus douée en réseaux sociaux , qu'elle. Heureusement elle pourra compter sur sa copine Myriam , parfaite mère au foyer de banlieue pour la rebouster . Ensemble , elle s'occuperont des problèmes de leur amie Karolina, ex top model, arrêtée pour conduite en état d'ivresse.

Bon, raconté comme ça, ça a l'air idiot, alors que c'est juste léger et rafraîchissant et terriblement délassant... Au passage , on apprend deux ou trois tours de passe-passe, du métier d' attachée de presse.

Ce roman ne concourt à aucun prix, n'a aucune prétention, juste celle de nous faire sourire.

J'étais très enthousiaste jusqu'au dernier tiers, la fin est moyennement satisfaisante . Un peu comme un soufflé qui retombe ... En ce qui concerne Karolina, j'ai aimé, mais j'attendais une autre issue pour Emily et Myriam. Une fin qui se dévore sans faim...

Je remarque que ça me fait toujours cet effet avec cette auteure, qui n'est pas ma préférée dans le monde de la chick-lit, ( toujours un détail qui me déçoit, qui "gratte", qui m'agace.... )

Vivement le nouveau Kinsella !
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Sexe, diamants et plus si affinités...

C est pour le défi pyramide (avec le dernier palier une pierre précieuse dans le titre) que j ai attaqué cette lecture.

J avais adoré le diable s habille en prada du même auteur et là j ai été un peu déçue. Je ne me suis pas autant amusée et j ai trouvé que la trame était vraiment usée dans le choix des personnages notamment. J ai même levé les yeux au ciel en découvrant le meilleur ami coiffeur et homo of course. (ENCORE!)

3 nanas aisées (L'une se passe d ailleurs de travailler) qui sont blasées de leur vie respective. Adriana est une bombe brésilienne qui couche à tout va, Emmy au contraire est une grande romantique et vient de se faire plaquer après 5 ans de relation, Leigh a le petit ami idéal et un superbe job mais s ennuie dans sa vie et dans son couple.

Après une soirée bien arrosée les copines font un pacte: elles doivent changer de vie et ont un an pour le faire. Adriana doit se caser, Emmy coucher avec le premier venu sur chaque continent et Leigh sortir de sa routine.

Pas désagréable à lire mais une impression de déjà vu.
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L'art et la manière de conclure en beauté

Ce n'est pas parce que je suis particulièrement fan de tennis que j'ai acheté cet ouvrage mais surtout parce que j'y ai vu l'inscription suivante : Par l'auteur du Diable s'habille en Prada. Ayant adoré celui-ci, j'étais quasiment certaine de ne pas me tromper et en effet en faisant cet achat et je peux maintenant affirmer, une fois le livre terminé, que je ne regrette pas mon choix.



Ici, le lecteur découvre une jeune joueuse de tennis, Charlotte Silver âgée de 24 ans. Bien que ce soit son père qui l'ait initié à ce sport dès son plus jeune âge, ce dernier n'avait pas envie qu'elle se lance dans une carrière professionnelle mais c'est pourtant ce qu'elle décida. Au début de l'ouvrage, Charlotte, que tout le monde appelle Charlie se retrouve en mauvaise posture car après une rupture du talon d'Achille sur un court, son entraîneuse et amie de toujours, Marcy, ne voit pas comment elle pourrait se remettre dans le bain. Pourtant, après une opération et des séances interminables de kiné, Charlie est bien décidée à poursuivre sa carrière et à reprendre sa raquette à la main. Cependant, elle ne pourra le faire qu'en faisant appel à l'un des meilleurs entraîneurs au monde, Todd Feltner. Bien que celui-ci n'ait jamais entraîné de femme à ce jour et soit réputé pour être un sale type, Charlie n'en démord pas : ce sera lui et personne d'autre qui l'aidera à accomplir des miracles en remportant des prix prestigieux. Épaulé par son manager et frère Jake, Charlie va tout faire pour remporté le tournoi de sa vie mais dans ce milieu de requins, il faut cependant faire attention à qui l'on côtoie et particulièrement à ses adversaires qui sont prêts (prêtes dans ce cas-là car nous parlons de tennis féminin) à tout pour vous déstabiliser, quitte à vous piquer votre petit copain...



Je n'entre pas trop dans les détails mais sachez que si dans cet ouvrage, on parle essentiellement de tennis, il y a aussi de nombreuses histoires d'amour, d'amitié, de relations père / fille tout cela agrémenté avec une bonne dose d'humour et de tolérance voire de philosophie par moments. Une écriture fluide et légère que j'apprécie chez l'auteure qui arrive à vous faire "lâcher-prise" le temps de cette lecture même si vous n'y entendez rien en ce qui concerne le monde du tennis professionnel. A découvrir sans plus attendre !
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Vengeance en Prada : Le retour du Diable

Je sais que ma critique va peut-être vous paraître un peu légère, tout comme cet ouvrage d'ailleurs mais qu'est ce que cela fait du bien de temps en temps. Un livre dans la lignée de "L'accro du shopping" et qui, pourtant, n'a rien à voir.



Ici, l'on retrouve notre héroïne, Andréa Sachs, dix ans après sa désastreuse aventure dans l'équipe de Runway sous le direction de l'abominable Miranda Priestly. Pourquoi "abominable"? Tout simplement parce que cette femme est un véritable tyran au travail, n'hésitant pas à pousser ses employés à bout jusqu'à ce qu'ils craquent (ce fut le cas d'Andy), si elle ne les a pas déjà lis à la porte. Après dix ans, Miranda hante encore parfois les nuits d'Andy et, bien qu'elle ne soit plus sous sa gouverne, cette dernière n'arrive pas à l'effacer complètement de sa mémoire et il y a de quoi ! Bien qu'elle soit désormais une femme épanouie dans sa vie professionnelle puisqu'elle est désormais son propre patron, ayant créé le magazine spécial mariages "The plunge", avec Emily, l'ancienne première assistante de Miranda, celle-ci étant passée, aux yeux d'Andy, su stade de meilleure ennemie à celui de meilleure amie, Andy voit de nouveau Runway apparaître dans sa vie. Je ne vous dirai pas de quelle manière car cela, vous avez dû l'entendre des dizaines de fois, ou, si ce n'est pas le cas, je vous laisse le soin de le découvrir. Andy, avec une carrière prometteuse sous les yeux, est également une femme comblée dans sa vie sentimentales puisqu'elle est désormais l'épouse de Maxwell Harrison (Max pour les intimes), un homme issu d'une famille richissime, et mère d'une adorable petite fille au prénommée Clémentine.

Si je m'arrêtais là, vous pourriez croire à un véritable conte de fées...Mais...puisqu'il y a toujours un mais dans la vie sinon la vie ne serait pas ce qu'elle est, de nombreux événement vont venir perturber la petite vie tranquille et confortable d'Andy. Cependant, cette dernière ayant acquis pas mal d'expérience, de détermination et de confiance en elle depuis qu'elle a quitté l'équipe de Runway, cette fois-ci, elle n'est pas prête de répéter ses erreurs passées une deuxième fois !



Un roman à la plume légère, qui nous transporte dans un autre monde (celui de la mode, de la jet-set et bien plus encore) et grâce auquel, j'ai beaucoup appris (oui, je vous assure ! Moi qui n'ai absolument pas confiance en moi, cela m'a permis d'espérer qu'en laissant couler de l'eau sous les ponts, peu-être que mon avenir me réserverait des surprises agréables et je puis vous assurer que, pour cela, je vais tenter de mettre toutes les chances de mon côté).

J'e ne sais pas si cette lecture vous a donné autant de plaisir qu'à moi (pour ceux et celles qui ont lu cet ouvrage) mais je ne peux que le recommander et espérer (ce qui est fort probable à mon avis) qu'il y aura un troisième tome ! A découvrir !
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Le Diable s'habille en Prada

Je ne m'attendais pas à un bon roman, vu que je m'attends rarement à des merveilles avec la chick lit. Mais enfin, bon, quand même... Alors oui, ça se lit. Ça ne demande pas d'efforts. Et puis, ben... voilà quoi.



Déjà, cette histoire d'une jeune fille qui bosse pour Vogue et se fait constamment malmener par sa patronne, ça aurait pu être un tant soit peu marrant. Ben non. Je suis persuadée que Lauren Weisberger a tenté d'être drôle, peut-être bien qu'elle pense même y être arrivée, peut-être aussi qu’elle a fait rire d'autres lecteurs. Dans mon cas, ce roman ne m'a même pas arraché un sourire (et je suis pourtant assez bon public). C'est comme ça, le sens de l'humour n'est pas donné à tout le monde et Lauren Weisberger, c'est vraiment bête, n'en a pas hérité. Mais pour cultiver le sens de l'humour, encore faut-il savoir prendre un peu de recul.



D'où sort cette fille pour s’imaginer que la maltraitance au travail est lié au monde de la mode et plus particulièrement à la directrice de Vogue ??? Anna Wintour est connue mondialement pour être une garce, ça n'en fait pas pour autant l'unique personne au monde à maltraiter son personnel, ni de Lauren Weisberger l'unique employée maltraitée par un(e) supérieur(e). D'où est-ce qu'elle débarque pour nous faire pleurer sur son sort (pendant 500 pages, qui plus est ? Si elle était allée travailler comme caissière de supermarché, je ne crois pas qu'elle aurait été beaucoup plus respectée, et elle aurait touché un salaire un tout petit peu moins intéressant que celui d'une assistante de Vogue, sans les fringues, sans les téléphones portables, sans les sacs et autres fanfreluches de luxe qu'elle récupérait par camions entiers.



Je suis aussi terriblement sceptique à propos de la sincérité de l'auteure. J'ai du mal à croire qu'elle ait été embauchée à Vogue en se présentant habillée comme un sac et sans être pistonnée, et je ne crois pas non plus au fait qu'elle ait été engagée pour écrire dans un journal après sa démission de chez Vogue sans avoir eu les relations nécessaires. Cela dit, je ne suis pas allée chercher plus loin... Je crois que j'ai mieux à faire que de me plonger dans la biographie - pourtant certainement passionnante - de Lauren Weisberger.



Au final, un roman que je juge inutile, parce que non divertissant, mais aussi égocentrique à l'excès.
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Le Diable s'habille en Prada

J’ai lu le livre avant de voir le film, rien à voir !!

Ce livre est révélateur de toute une société qu'il parodie. Lu sans prise de tête avec un regard acerbe et amusé sur le monde de la mode. Drôle et cynique.

Andréa nous fait vivre son calvaire dans le monde de la mode New-yorkaise avec un humour décapant.

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Le Diable s'habille en Prada

Un vert anis bien flashy doublé d'une violine exubérante,

Une texture imitation croco, un style brillant,

Un petit coffret luxe assorti au marque-page qui va bien,

Une illustration équivoque qui n'en dit pas long,

Un titre accrocheur et archi-connu...



Bref, j'avoue que c'est le joli coffret pocket qui m'a séduite, comme une fringue que j'aurais achetée de façon compulsive ou comme un sac, ou une ceinture, que sais-je ? Et alors, y'a pas de mal à ça, non ? Un livre comme un objet de mode...



C'est exactement ça, un livre comme un objet de mode. L'intrigue est inexistante, il faut le dire, les personnages plats à mourir, il ne se passe rien durant quelques 450 pages, la fin est prévisible et précipitée ; les personnages sont creux et stéréotypés, sans intérêt, ambitieux, qui plus est et bien nombrilistes.



Néanmoins, accordons à Lauren Weisberger d'être parfaitement documentée sur l'envers du décor (ça sent le vécu, paraît-il) et sa plume, si elle n'a rien de littéraire, reste, pour le moins, très agréable et très drôle.



Bref, un livre pour se pavaner, à la plage... ou, tiens ! chez le médecin : il remplacera à merveille les vieux magazines de modes que, Mesdames, après ladite lecture, vous n'apprécierez plus jamais comme avant...



Et pour d'échanges littéraires, rendez-vous aussi sur Instagram :


Lien : http://www.instagram.com/les..
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Le Diable s'habille en Prada

Une petite détente, on se relaxe un peu avec une Andrea qui foule les pieds pour son premier Job dans le monde de la mode, et là bas, c'est Miranda qui fait la loi, tout se converge vers elle, et pour pouvoir séduire son nouveau monde et sa patronne, et surtout maintenir son travail, non seulement qu'Andrea doit beaucoup travailler mais elle apprend aussi vite à se mettre à la mode, à s'habiller en Prada comme le diable, et ça, ça va bouleverser sa vie...

Ca va vite, sans prise de tète avec des personnages stéréotypes, on apprécie forcement pas quand on a soif des mots qui vous assassinent mais n'empêche qu'on sourit à chaque page...
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Sexe, diamants et plus si affinités...

ce livre est sympa, mais sans plus.

les 3 trentenaires sont sympathiques, attachantes, mais leurs histoires sont vu et revu, et donc prévisible. L'idée est intéressante, il y a les bons ingrédients pour faire un bon livre: 3 jeunes femmes approchant la trentaine, belles, n'ayant pas de problèmes financiers, vivant à New York.



Il y a Emmy, celle qui n'a eu que trois hommes dans sa vie, et qui vient de se faire larguer par le dernier crétin fini, au bout de 5 ans. Et puis Adriana, la bombe sexuelle brésilienne qui collectionne les hommes. Et enfin, Leigh à la vie de rêve... un travail valorisant, un super appartement, et le petit ami idéal dont elle n'est pas amoureuse. Elles se rendent compte qu'il est temps de changer tout ça, elles se donnent un an pour ça.



Entre argent, sexe et mensonges, rien de bien transcendant. Sex and the city revisité.



Ce genre de lectures a des avantages mais ce qui m'a manqué surtout, c'est le mordant de Lauren Weisberger.
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Le Diable s'habille en Prada

Le Diable s’habille en Prada est un roman qui nous plonge dans la vie d’Andrea, jeune diplômée, qui décroche le job que chaque New-Yorkaise souhaite avoir, à savoir travailler avec la célèbre Miranda Priestly et être son assistante. Ce qui pourrait être le bonheur pour la plupart des filles se révèle être l’enfer pour Andrea qui n’y connait strictement rien à la mode et qui passe au-dessus de tout ça. Avec cette histoire, Lauren Weisbergr a su toucher un public large puisque même les gens qui ne sont pas attirés par le milieu de la mode peuvent apprécier le livre.



L’histoire est composée de chapitres bien ficelés. Elle est caractérisée par une évolution constante du personnage principal, ce qui est intéressant et plaisant à voir. Les deux personnages principaux, Andrea et Miranda, sont diamétralement opposés, c’est donc amusant de les voir travailler ensemble. D’un côté, nous avons la jeune et frêle Andrea qui fait ses premiers pas dans le monde du travail. Et quel travail ! Tout le monde le lui dit, des milliers de jeunes femmes voudraient être à sa place. Cependant, travailler avec une femme de la trempe de Miranda Priestly n’est pas de tout repos. Andrea est une jeune femme débordée et paumée qui s’habille n’importe comment mais qui, au fil du temps, va s’affirmer et va prendre de l’assurance, devenant ainsi une assistante parfaite. Par son travail, elle va oublier un peu qui elle est, ses valeurs, mais cela va lui permettre d’en tirer certaines leçons essentielles. Andrea est un personnage auquel on peut facilement s’identifier, c’est ce qui fait qu’on s’attache à elle et qu’on « l’apprécie ». Fille perdue dans un monde de requins, premier pas dans le monde du travail, employée d’une patronne tyrannique… Ses problèmes sont les problèmes de nombreuses personnes, on peut donc facilement se mettre à sa place.



De l’autre côté, nous avons la célèbre Miranda Priestly, rédactrice en chef de Runway, personne impitoyable, froide, dure et sarcastique, elle se révèle être un véritable diable. Brillante dans son métier, elle a une classe et une assurance à toute épreuve et possède un certain réalisme du monde qui l’entoure. Dur de garder la tête haute en sa présence, elle a le don de « casser » les gens et met à l’amende toutes personnes autour d’elle. C’est elle qui décide, personne d’autre. Elle exerce un pouvoir impressionnant. Cependant, bizarrement, au cours du roman, on découvre de nouvelles facettes de ce personnage mais ils sont tellement minimes par rapport à son imposant caractère de diable qu’on est touché que pendant quelques minutes.



Enfin, on retrouve Emily ; la collègue d’Andrea, peste et très speed, cette femme sait ce qu’elle veut et fait tout pour l’avoir. Loin d’avoir été accueillante avec Andrea au début, elle va finalement être surprise par cette nouvelle venue.



Ce roman « comédie » populaire sera certainement apprécié de ceux qui chercheront un divertissement honnête. J’ai trouvé l’intrigue certes intéressante mais mal traitée ! Je ne regrette pas de l’avoir découvert mais je ne relirai pas une deuxième fois ça c’est sûr !

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Le Diable s'habille en Prada

Avant de commencer la critique de ce roman (qui sera sûrement très courte), je tenais à dire que j'ai abandonné ce livre alors même qu'il n'avait pas atteint les 100 premières pages. Vous allez sans doute être offusqué que je n'ai pas tenu un peu plus longtemps, ne serait-ce que par respect pour l'auteure. Et bien je vous répondrais que vu le nombre faramineux de livres qui attendent que je les lise, ça ne servait à rien que je m'obstine à lire un livre dont je sais pertinemment ne pas aimer l'histoire.



Le chick-lit n'est pas mon genre littéraire de prédilection, mais pendant les vacances, je m'étais dis qu'un peu de détente avec un livre sympathique et marrant me ferait du bien. Malheureusement, mes attentes concernant ce livre étaient bien plus élevées que ce que j'ai découvert durant ces premiers chapitres.



Les personnages sont tous impossibles à vivre ; ils sont antipathiques, exécrables, égoïstes... ils cumulent tous les défauts. Comment s'attacher à des personnages qui semblent neuneu, avec de puériles sujets de conversations ? Je n'avais qu'une idée en tête : les secouer pour qu'ils se réveillent ou les gifler à tour de rôle.



De plus, l'histoire principale n'a rien de passionnante. Très vite, nous découvrons ce dont il est question dans ce livre, c'est-à-dire de mode, d'"esclavage", et d'égoïsme. Rien ne m'a poussé à continuer ma lecture ; l'action est au point mort, les personnages repoussant... je m'ennuyais tellement que j'en avais des mal de tête (c'est pour dire... !). Quant à C.F - Lire qui qualifiait le roman de "Drôle" (cf le dos du roman), je n'ai pas repéré une seule pointe d'humour. J'ai seulement eu de la peine et de la pitié pour cette pauvre idiote d'Andréa.



L'adaptation cinématographique semble receler bien plus de peps et d'action que le livre, mais ce n'est pas pour autant que j'aimerais la regarder. Le diable s'habille en Prada m'a fâché avec la chick-lit et avec son auteure, Lauren Weisberger. Dorénavant, je ferais plus attention avant de débuter un livre féminin tel que celui-ci.
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Le Diable s'habille en Prada

J'ai un avis très mitigé sur ce bouquin. Il est considéré comme un classique de la chick-lit, le titre était très tentant et même si la couverture ne m'a pas particulièrement plu je voulais depuis longtemps me plonger dans ce livre qui promettait d'être drôle et rafraîchissant.



Le pitch de départ : Andrea, tout juste sortie de l'université, rêve de travailler pour un magazine américain, mais pour cela elle va devoir travailler pendant un an avec LA femme la plus influente des État-Unis (voir du monde, à en juger certains passages), j'ai nommé Miranda Priestly, rédactrice en chef de Runways, le magazine de mode par excellence.



L'intrigue est inexistante. Si on me demandait de raconter l'histoire, c'est simple, je n'y parviendrai pas pour la bonne et simple raison qu'il n'y a pas d'histoire. Ça traîne en long en large et en travers durant 441 pages, et c'est profondément ennuyant. Pourquoi écrire un pavé alors qu'il n'y a rien à raconter sur un sujet pareil ? Nous suivons Andrea - ou Andy pour les intimes - au quotidien durant une année de sa vie. Une année qui est supposée changer le cours de son existence (ou pas). J'avoue avoir apprécié l'évolution du personnage d'Andrea, cela permet de voir à quel point nous pouvons être égoïste et influençable, même si ce point positif demeure minime dans cette ambiance si monotone.



L'univers de la mode est vraiment trop stéréotypé. De l'assistante en chef qui regarde notre pauvre héroïne de haut aux hommes influents gays en passant par les employées qui sont horrifiées à l'idée de prendre un repas de plus de 200 calories, c'est du déjà vu et du réchauffage de ce qu'on a l'habitude de cotoyé. Bref, aucun point original. Je tiens à préciser à madame Weisberger que toutes les femmes qui travaillent dans le milieu de la mode ne sont pas forcément exécrables et anorexiques, et que les hommes ne sont pas tous gays.



Sans parler de la fin qui est totalement médiocre, mais à l'image de tout le roman car elle est prévisible à 100%.



Quant aux personnages... Comme l'indique le titre, je m'attendais à ce que le personnage de Miranda soit tyrannique, diabolique, cruel, bref tout ce que vous voulez, alors qu'en réalité c'est une bonne femme immature et capricieuse qui se prend pour le nombril du monde. Elle, rédactrice en chef d'un magazine ? Chef oui, rédactrice non ! On ne la voit pas une seule fois exercé son métier, sauf si celui est d'être blessante, méchante et mauvaise envers ses assistantes qui lui obéissent au doigt et à l'œil.



Comme vous devez vous en doutez, le personnage d'Andrea, notre narratrice, parfaitement niais qui frôle parfois même l'idiotie. C'est « la jeune femme en couple, pleine de rêve d'avenir, qui croise the beau mec hyper sexy à une soirée et qui ne contrôle plus ses hormones pour finalement culpabiliser et revenir à la réalité ». J'aurai bien aimé pouvoir la gifler, pour la bonne et simple raison qu'elle manque de cran, voir même de personnalité. Un peu de caractère bon sang ! Elle se laisse marcher sur les pieds, elle n'ose jamais rien dire, elle se transforme au fur et à mesure en toutou branché à son téléphone prête à exaucer tous les souhaits de sa patronne, qui au passage sont des exigences futiles qui donnent naissance à des tâches irréalisables et ingrates. A fil de son évolution, on se rend compte que ce personnage délaisse sa famille, sa meilleure amie et son petit ami. Andrea devient accro à son travail et j'ai trouvé cela désolant. J'insiste ce sur point, j'ai trouvé son comportement innaceptable sur certains points : comment peut-on préférer la compagnie d'une vieille garce à celle des gens qu'on aiment ?



Les personnages secondaires les plus présents dans ce roman sont également le comble de la banalité.

Emily, collègue d'Andrea, sympa mais pas trop et qui est d'autant plus "toutou".

Alex, petit ami d'Andrea, le mec parfait : attentionné, gentil, adorable, mignon comme tout, prof et éperduement amoureux d'Andrea depuis 4 ans, alors qu'elle se montre particulièrement distante, voir agacée lorsqu'elle est avec lui et cela durant toute l'année de son travail chez Runway.

Lily, meilleure amie d'Andrea, avec un petit penchant pour la bouteille. Elle entraîne parfois Andrea dans des plans totalement immatures, elle est irresponsable et elle en paiera les conséquences.

Christian, écrivain sexy, qui se révèle être un chaud lapin. Évidemment, des personnages comme lui, on a en vu beaucoup mais c'est le seul qui ai réussit à me faire sourire (mais pas rire). Certaines de ses réparties sont très amusantes, et je regrette que sa relation avec Andrea ne soit pas allé plus loin.

Quant à la famille d'Andrea, je n'ai pas particulièrement accroché non plus, mais je ne reproche rien à l'auteur de ce côté là puisque nous ne les croisons pas souvent.



Le style d'écriture est correct, l'écriture est fluide et se lit facilement, même si parfois j'ai eu l'impression que l'auteure cherchait absolument à nous faire rire, du coup certaines répliques manquaient cruellement de naturel et de crédibilité.



En conclusion, je pense que j'aurai plus aimé ce roman si : premièrement, il était moins long. Deuxièmement, le synopsis était plus original. Troisièmement, les personnages étaient plus recherchés et approfondis.

Je ne m'attendais pas à du grand art, mais quand même... « Le Diable s'habille en Prada » est une grosse déception pour moi.

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Sexe, diamants et plus si affinités...

Je ne sais pas pourquoi je m’entête toujours à lire les romans d’auteur qui, sans que je déteste leurs romans, me donnent l’impression de perdre mon temps. On ne réinventera pas la recette : Emmy, Leigh et Adriana sont belles, aisées, vont bientôt avoir 30 ans et cherchent l’homme de leur vie qui sera beau, gentil, aisé, indépendant, mais présent, bien mis, mais pas trop, etc. Évidemment, les filles habitent New York. J’ai trouvé que ce roman était encore plus loin de mon univers que les précédents. Désolée, mais je ne connais personne qui fait le pacte de coucher avec un homme sur chaque continent ou de trouver l’amour et avoir une bague au doigt dans un an. Et comme tout le roman tourne autour de ça, c’est difficile de s’attacher aux personnages. J’ai préféré la ligne narrative de Leigh, qui travaille dans l’édition, mais encore là, c’était tellement léger que ça ne peut pas être un critère. Note à moi-même : il y a tellement de bons livres à lire, rester loin de ceux de Lauren Weisberger.
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Le Diable s'habille en Prada

Pourquoi ce livre est-il tant plébiscité ?



Comment peut-on accrocher à une histoire certes plus étoffée que la chick litt habituelle, mais en tout point semblable au critère : "jeune femme sans cervelle se laisse manipuler pour haïr son patron et tomber dans les bras d'un super beau gosse, mais finit par revenir à la raison" ?







J'ai beau me creuser la tête, je ne trouve pas. Peut-être que le film est mieux, peut-être qu'on comprend mieux une fois qu'on a vu le film. Mais en attendant, à force de croiser des stéréotypes en tout genre à chaque coin de page, je me suis ennuyée et n'ai pas du tout aimé ce livre.

Il a été une pilule à avaler, bien difficilement.



Ceci dit il se lit facilement, si vous savez gérer les héroïnes têtes à claques et superficielles.
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Le Diable s'habille en Prada

Andrea devient assistante de la rédactrice en chef d'un grand magazine de mode, Miranda Priestly. Elle croit avoir décroché le boulot qui lui permettra de devenir une grande journaliste, mais, au fil du temps, elle se rend compte que son travail consiste surtout à satisfaire tous les désirs de la tyrannique Miranda.



Grand classique de la chick-lit, "Le Diable s'habille en Prada" n'en possède pas moins une morale intéressante. Selon moi, ce livre vaut surtout pour l'image qu'il donne de l'univers de la mode: creux, cruel et superficiel. Comment certaines personnes peuvent réaliser les moindres caprices d'une garce dont le seul talent est de savoir mettre en scène des mannequins probablement anorexiques (puisque Andrea est regardée de travers quand son repas dépasse 300 calories) vêtues de vêtements hors de prix? Cela reste pour moi un mystère!



Espérons juste que ça ne se déroule pas de cette façon dans la vraie vie. Toutefois, étant donnée l'expérience de l'auteur dans le milieu new-yorkais de la mode (Lauren Weisberger a été l'assistante personnelle d'Anna Wintour, rédactrice en chef du Vogue américain), on peut raisonnablement penser que la plupart des anecdotes de son roman sont inspirées de sa propre vie.



Le film tire du "Diable s'habille en Prada" est également très bon, même si l'on peut regretter le fait que Miranda n'y soit pas aussi méchante que dans le roman. J'ai l'impression qu'elle devient un peu "gentillette" vers la fin, ce qui ne correspons pas du tout au personnage du roman, odieux du début à la fin.
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Le Diable s'habille en Prada

J'ai dévoré ce roman ! Quel délice !

Bien sûr, ce n'est pas de la grande littérature, mais j'ai adoré plonger dans cet univers de la mode et des magazines, que je ne connaissais pas. Miranda est un stéréotype de la patronne infecte et j'ai adoré la détester. L'héroïne, Andrea, est assez pénible sur certains aspect, mais c'est souvent le cas avec la chick-lit. Ça ne me dérange pas, on sait d'avance ce que l'on va lire quand on prend un livre comme celui-là et, personnellement, j'attends juste de ces livres qu'ils me détendent, sans aucune prise de tête. Mission largement accomplie ici !



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