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Critiques de Lauren Weisberger (582)
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Le Diable s'habille en Prada

Fan de chick lit depuis déjà longtemps, je n'avais jamais eu la chance de découvrir ce "classique" si souvent cité quand il est question de ce genre littéraire. Ayant appréciée le film, je me suis décidée à me lancer dans la lecture du roman. Malheureusement, ce fut une déception.



Ce roman se lit facilement mais l'on sent dès le début qu'il est "bancal", comme s'il manquait une pierre à l'édifice. En effet, on peut reconnaître la qualité d'écriture dont fait preuve l'auteure mais malheureusement, celle-ci est dénuée de toute trace d'humour. Or, l'humour est un élément nécessaire à tout bon roman de chick lit, tout le monde le sait. de plus, les personnages m'ont semblé trop beaux, trop gentils, trop faux. le monde de la mode est censé être impitoyable or, la vision que l'auteure en donne dans ce roman ressemble à une vision édulcorée. On pourrait s'attendre à ce que les collègues d'Andrea, à la pointe de la mode, se moque d'elle où lui rendent la vie dure mais au contraire, seuls quelques faits rapportés au cours du récit nous informent que quelques personnes ont pu dire quelconque critique insignifiante à son sujet. Je n'ai également pas apprécié cette impression de superficialité dont fait preuve le roman. J'ai même eu la nette impression que parfois, le roman était là pour nous inciter à devenir comme Andrea : perdre du poids et rentrer dans la "normalité" du monde de la mode. Enfin, Andrea, le personnage principal rappelons-le, a eu le don de m'énerver quelques fois par ces réactions assez puériles et immatures à mon sens.



En définitive, ce roman n'a pas été une réussite pour moi. Pourtant, après avoir lu d'autres romans de cette auteure, on pouvait s'attendre à mieux. Pour ceux et celles qui hésitent à le lire, je vous recommande le film du même nom, plus drôle et plus réaliste.

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People or not people

Je n'aime pas trop écrire des critiques négatives, mais vu que j'ai lu ce livre pour le challenge ABC 2012/2013...je me dois d’écrire qq chose.

J'ai adoré la version cinématographique du « diable s'habille en Prada », (mais non lu) et je me suis dit tiens, je vais essayer ses romans, et je me suis attaqué à « sexe, diamants et plus si affinités... » que j'avais beaucoup aimé.

Ça faisait un petit moment que « people or not people » traînait dans ma biblio, le challenge ABC arrivant à point nommé pour mettre ce roman dans ma liste.

Le livre est tres bien ecrit meme si je n'ai pas bcp apprécier les voyages dans le temps à certains moment, c'est à dire quand Beth se remémore la fin de ses péripéties et nous les raconte 3 semaines plus tard.

Le monde des Star, drogue, sexe, alcool...Et mensonge c'est pas fait pour moi, ni pour Beth, qui pour son nouveau boulot « génial » à abandonné ses convictions, sa famille et surtout ses amis.

J'ai du lire ce livre en 3 fois....et j'ai sauté beaucoup de passage inintéressant et barbant, pour arriver à une fin assez décevante.



Je lirai surement Stiletto Blues à Hollywood , car il me fait de l'œil, même si le tournure de l'histoire ne me plait pas forcement.
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Le Diable s'habille en Prada

Je ne pouvais pas commencer la liste des "Chick-lit" sans commencer par ce livre qui en est devenu un des symboles...^^

Pas besoin de vous le présenter plus en détail : Vous avez déjà certainement lu ce livre ou vu son film (bien que pour ce dernier j'ai déploré une grosse liberté dans le scénario qui modifie certains éléments du roman).

Mais revenons au livre dont on parle ici !^^

Le style est simple, l'écriture est fluide et l'histoire est bien construite.

L'humour est omniprésent, même s'il est bien souvent au dépend d' une héroïne qu'on arrive facilement à plaindre...

On tourne les pages, on avance dans l'histoire tout en découvrant que Miranda peut encore être pire que ce qu'on pensait quelques minutes auparavant !

On fini par attendre avec impatience le moment où Andréa se rebellera et claquera la porte...



J'ai passé un bon moment avec ce livre qui n'est certes pas un grand roman mais qui se laisse lire facilement et avec plaisir !^^

J'avoue avoir eu un regard différent sur les grands magazines de mode... Et j'ai apprécié de pouvoir sourire avec une lecture qui parle cependant du harcèlement moral au travail. La preuve que, quand c'est bien fait, on peut rire de tout ;)
Lien : http://boite-a-evasion.blogs..
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Le Diable s'habille en Prada

Quand on découvre le roman après avoir vu le film, Miranda surprend car Meryl Streep et le scénario l'ont humanisée, la rendant moins cruelle, moins machiavélique, la montrant même défaite, en souffrance. Cette fiction, destinée certainement d’abord à amuser et à faire sourire, pose aussi le problème bien actuel du harcèlement au travail et de ses conséquences tragiques sur les victimes dont les faits divers font état régulièrement.

Même si ce roman est un peu long, je n'ai pas vu passer le temps!
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People or not people

Ce livre est resté quatre ans sur mes étagères avant que je daigne me souvenir que je ne l'avais jamais touché.

C'est donc après avoir fait le tour de mes étagères, que je me suis dis : tiens pourquoi pas ?

Je ne sais pas si j'ai bien fait d'attendre parceque j'ai adoré ce bouquin. Le personnage de Beth est attachant et son entourage completement déjanté, nous exaspère en même temps qu'elle.

C'est un livre plein de rebondissment et d'humour que je relirai avec grand plaisir.
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Sexe, diamants et plus si affinités...

Buerk!!! Je n'ai vraiment pas aimé ce livre.A quoi, il sert à part raconter "la chasse à l'homme". Franchement, c'est nul, incipide, sans relief,... Le style roman sentimentale, c'est pas ma tasse de thé tellement, que j'ai sauté de véritables paragraphes entiers pour au final lire un final prévisible dés les premiéres lignes du roman...
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Le Diable s'habille en Prada

J’ai adoré! Je connaissais le film avant de lire le livre et ce dernier surpasse de très loin le premier! Miranda Priestly est des plus antipathiques et sadiques. C’est une patronne que l’on détesterait avoir. Elle est la Reine et tout le monde doit s’abaisser à réaliser ses moindres désirs même s’ils sont irréalisables!!!!

L’écriture du roman est simple et légère mais parfois elle peut paraître un peu lourde quand Lauren Weisberger liste les grandes marques (quarante à cinquante à la suite) ou ce qu’il y a dans les réserves de Runaway…

Le film différe beaucoup du livre en ce qui concerne certains personnage (le petit ami, la meilleure amie ainsi que la première assisitante Emilie qui fait moins pimbêche). La fin du livre n’est pas la même que celle du film et elle en résulte beaucoup plus jouissive!!!!

Anna Wintour qui a inspiré le personnage de Miranda Priestly a du apprécier ce livre!!!


Lien : http://mapetitebibliotheque...
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Le Diable s'habille en Prada

Andrea vient de finir ses études et elle ne peut pas squatter indéfiniment le canapé de sa meilleure amie... Elle part donc en quête d’un travail. Elle voudrait un jour écrire pour le New Yorker, mais pour le moment se sera chez Runway, le plus célèbre des magazines de mode, bien qu’Andrea n’y connaisse pas grand-chose, qu’elle fera ses premiers pas. Mais on lui a promis : un an en tant qu’assistante de Miranda Priestly (Quoi, vous ne savez pas qui est Miranda ?!) et vous pourrez atteindre n’importe quel poste dans n’importe quel journal ! Mais tout cela est trop beau pour être vrai, bien que « des tas de filles se damnerai pour être à sa place », travailler pour Miranda se révèle être l’enfer chaque jour (dimanche compris)...



L’impatience de Miranda va-t-elle avoir raison de la détermination d’Andrea qui n’hésite pas à sacrifier ses week-ends et ses amis pour elle ?



Ce roman était génial car rempli d’humour. Andrea mélange les événements passés et ce qu’elle vit au moment même pour un récit bien ficelé. Et, pour le coup, la fin est vraiment inattendue ;-)



Je lirai la suite « Vengeance en Prada : Le retour du Diable » bientôt !
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Le Diable s'habille en Prada

Lu après avoir vu le film ! Un roman qui se lit sans se prendre la tête, j'adore la description du milieu de la mode, son style cynique , acerbe ! Beaucoup d'humour, une parodie plutôt réussie ! Une fin bien pensée qui donne à réfléchir... Un moment de lecture plutôt agréable !
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Le Diable s'habille en Prada

Meilleur que le film que j'avais déjà beaucoup aimé. Le film survole ce que le livre traite en profondeur : la façon dont une personne peut traiter les autres au quotidien dans tout ce qu'il y a de plus malveillant.

Le pouvoir sous sa forme la plus horrible : comment une personne peut en devenir égoïste, égocentrique, narcissique. Comment elle peut oublier toute humanité dans son rapport aux autres. Le tout traité avec légèreté dans un contexte "fashion".

A la fin la question peut -être posée : sommes-nous prêts à tout supporter pour de l'ambition ? Pour un travail ?

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Le Diable s'habille en Prada

Enfin, je l’ai terminé.



J’ai « aimé » les 50-100 premières pages. Le reste, j’ai trouvé long, répétitif et voilà.

Je suis allée jusqu’au bout pour pouvoir au moins dire: je l’ai lu. Mais cela ne m’a vraiment pas emballé.

Je ne suis pas sure de retenter un livre de cette autrice, malheureusement je ne crois pas que ce soit vraiment mon style.
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Le Diable s'habille en Prada

Après ces études littéraires, Andrea Sachs est embauchée comme assistante junior de Miranda Priestly, rédactrice en chef du magazine de mode Runway. Pendant un an, elle devra réaliser toutes les demandes de Miranda, de la plus simple à la plus saugrenue, qui fait et défait les carrières de chacun dans la mode.



J’avais envie de lire un roman léger en cette période de confinement où tout tourne autour de ce virus. Je connaissais l’histoire puisque j’avais vu le film. Alors que les choses soit claires, le film est largement inspiré de ce roman et n’est pas fidèle au récit.



Que dire de ce roman chick-lit ? Il a joué son rôle de me détendre, de suivre le personnage d’Andrea qui n’y connaît rien à la mode et qui devient addict, à réaliser tous les désirs de sa patronne ; de haïr Miranda Priestly qui la prend pour une esclave qui n’a aucune humanité contrairement au film qui la montre plus humaine. C’est assez répétitif dans les faits et tâches que réalise Andrea. C’est la première fois que je préfère la version cinématographique au livre.



Une lecture qui a joué son rôle : me divertir.
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Sexe, diamants et plus si affinités...

Oh my God! Que c'était fastidieux, long, ennuyeux! Et surtout tellement vide... Suivre les aventures de trois héroïnes déjantées semblait être une lecture agréable à prévoir, entre histoires d'amour ou histoire d'un soir, un peu pompettes, les trois Emmy, Leigh et Adriana sont des amies un peu, comment dire... Superficielle ?...



Dans un Manhattan en plastoc qui sonne creux, on peine à s'intéresser au moindre de leur geste. Malgré le pacte qu'elles vont faire une nuit trop arrosée, l'intrigue n'est pas crédible et si on s'attendait à une comédie déjantée à l'américaine, ce qui est permis aux hommes sans jugement (le libertinage notamment) passe moins bien chez les femmes, quoique je ne sois pas contre, l'auteur a très mal utilisé ce sujet et étalant les stéréotypes! Entre romantisme à la noix et histoires d'amour qui semblent irréelles, on passera son chemin, dommage j'aime cette auteur.



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People or not people

« People or not people”… to read or not to read? A dire vrai, et avec le plus d’objectivité possible, le genre chick lit comprend suffisamment d’ouvrages pour pouvoir passer outre celui-ci. Non pas qu’il ne fasse pas honneur à ses conventions, bien au contraire, mais il n’est certainement pas le plus passionnant du genre. A défaut d’un pétillant Sophie Kinsella, on se retrouve avec un roman à la couverture sucrée, digne d’une vraie barbe à papa, dont le contenu mielleux ne brille ni pas son intelligence, ni par son originalité et encore moins par un style léger et jovial. Faut-il donc prendre ce livre pour le reposer aussitôt ? La réponse semble malheureusement s’incliner vers la proposition « oui ».



Lauren Weisberger est un auteur que l’on ne présente plus, célèbre tant pour avoir été à l’origine du mythique « Diable s’habille en Prada » que pour s’être inspiré de son expérience professionnelle personnelle pour dépeindre le milieu de la jungle médiatique à travers ses romans. « People or not people » ne fait pas exception à la règle et trouve, de ce fait, de nombreux points communs avec le premier ouvrage de Weisberger. On se retrouve déporter dans le New York flamboyant du XXIe siècle, suivant les péripéties rocambolesques et désastreuses d’une jeune femme – Bettina, dite Beth, Robinson. Tout comme son homologue Andrea Sachs, Beth est une jeune femme dynamique – célibataire depuis un certain temps – qui se retrouve brusquement demandeuse d’emploi, après une fastueuse période d’exploitation en tant que banquière puis de fainéantise dans un misérable appartement. A l’instar de toutes les jeunes femmes de son âge, elle entretient un cercle fermé d’amis et se saoule de toute son âme les samedis soirs avec sa « best friend forever ». Mais voilà, Beth devient désespérée et l’archétype de l’échec social lorsqu’elle décide de prendre congé de son métier ingrat tandis que sa best annonce jovialement son futur mariage et son exil à Los Angeles en faisant miroiter deux bagues surdimensionnées. Le moral au plus bas, Beth s’enfonce dans l’oisiveté et macère dans sa vie que l’on peut qualifier au plus juste de moisie. Mais ce coup de blues est sans compter sur l’exubérant mais adorable oncle Will, icône du domaine journalistique qui soutient corps et âme sa nièce favorite. Avec ses faux airs d’Elton John et son excentricité travaillée et jouissive, Will est l’un de ses personnages que l’on s’attache immédiatement. Grâce au pist… pardon, à l’appui de l’oncle Will, Beth touche aux hautes sphères de la célébrité en se faisant recruter dans une agence de RP. Voilà donc la nouvelle occupation de Beth : se charger d’organiser les fêtes les plus extravagantes qu’ils soient pour les plus célèbres noms de la planète, tout en testant auparavant lesdites fêtes. Mondanité, champagne, strass et paillettes forment désormais le quotidien rocambolesque et somptueux de notre jeune héroïne. A la différence d’une certaine patronne autoritaire et impétueuse, sa supérieure est adorable et conciliante et sa nouvelle équipe conviviale. On a presque l’impression de toucher à un rêve de princesse tandis que Beth se transforme de souillon empâtée en tailleur à icône féminine affirmée. Et alors que les problèmes financiers n’en sont plus et que sa garde-robe prend un virage à 180°, Beth se retrouve miraculeusement plongée dans une sordide histoire amoureuse, frôlant le risible autant qu’elle brille d’incongru. Depuis deux années qu’elle vivait avec pour seule compagnie une Yorkshire hypoallergénique à la truffe chatouilleuse, Beth devient du jour au lendemain le centre d’intérêt de pas moins deux hommes, dont l’un – Philip Weston – n’est autre que le célibataire et coureur de jupons le plus en vogue de l’actualité. Quant à l’autre, il faut bien avouer que dès le premier regard échangé on se doute de la tournure que vont prendre les évènements.



« People or not people » est un roman qui vend du rêve, mais le genre de rêve qui ne fait miroiter notre imagination que parce que justement il en est un, destiné donc à ne jamais prendre forme. L’exagération des scènes et l’incongru des situations empêchent d’ancrer cette histoire dans la réalité et l’on rit finalement plus de l’extravagance des personnages et de l’absurdité des circonstances que des touches d’humour peu convaincantes. Alors que l’on s’attend à un style léger et détendu, l’atmosphère est plutôt lourde et l’on peine à prendre compassion pour l’héroïne qui manque de piquant pour un faire un personnage charismatique. Au final ce livre n’est qu’une longue suite d’aventures, parfois désastreuses, parfois triomphales, mais exagérées dans tous les cas. Certes Lauren Weisberger maîtrise parfaitement son sujet, mais à trop vouloir se montrer professionnelle elle en oublie parfois que le lecteur ne fait pas parti de ce milieu et n’est donc pas toujours à l’aise face aux expressions propres au métier. On déplorera également que le temps d’adaptation à la nouvelle atmosphère professionnelle de Beth ne soit pas plus détaillé, ni son travail au sein de l’agence Kelly & Co.



Mais au final, le fait qui empêche définitivement de se prendre dans l’histoire est le manque crucial de crédibilité de l’histoire et surtout de suspens. Car avec des scénarios vus et revus par les scripts hollywoodiens et des personnages tous plus stéréotypés les uns que les autres, on comprend déjà la manière dont les choses vont se terminer à peine le quart du roman entamé. On reste néanmoins sur notre faim une fois les derniers mots achevés, en raison d’un manque d’informations complémentaires sur les personnages secondaires et surtout sur Philip Weston qui tient pratiquement la vedette aux côtés de Beth. Mis à part l’oncle Will et le délicieux Sammy, bien que trop parfait pour exister, les personnages manquent tous de saveur et à trop avoir voulu présenter des personnages, ceux-ci ne sont pas assez travaillés en profondeur. Bref, à défaut de répliques savoureuses et de finesse dans l’ensemble, les évènements s’enchaînent sans cohérence, avec un manque évidement de subtilité pour faire de l’ensemble une lecture détendue et agréable.



Rire, larmes ou frissons, rien ne trouve écho chez le lecteur qui s’enfonce au fil des pages dans un ennui lassant. L’histoire manque de divertissement recherché et surtout d’originalité. La tournure des évènements et l’ensemble des situations dépeignent un monde utopique et bien que l’on se surprenne parfois à envier Beth Robinson, le tout est digne d’un synopsis de soap opera. Une déception donc que « People or not people » qui ne parvient pas à suffisamment nous faire rire pour apprécier la lecture. De l’auteur du « Diable s’habille en Prada » on s’attend résolument à bien mieux.
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Vengeance en Prada : Le retour du Diable

Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Vengeance en Prada?



"J'ai adoré le premier tome, ainsi que le film alors je ne pouvais pas passer à côté de cette suite."



Dites-nous en un peu plus sur son histoire...





"Dix ans après sa démission inoubliable de Runway en plein cœur de la Fashion Week à Paris, Andréa a fait bien du chemin. Elle est sur le point de se marier et a créé son propre magazine. Mais surtout n'allez pas croire que Miranda ne peut pas recommencer à lui gâcher la vie."



Mais que s'est-il exactement passé entre vous?





"J'avais une petite appréhension en commençant ce livre. C'est une histoire que tout le monde s'est appropriée et il était donc difficile de laisser l'auteur reprendre ses droits sur la vie de ses personnages. Je dois dire également que je n'ai pas vraiment accroché aux autres livres de Lauren Weisberger. Mais après quelques pages seulement, j'étais de nouveau plongée sans retenue dans cet univers et toute cette effervescence! New-York, la mode, les people et Andréa bien sûr, que l'on apprécie toujours autant! Je me suis vraiment régalée pendant les trois quarts du livre et je l'ai d'ailleurs dévoré. En revanche, cela s'est gâté en arrivant sur la fin. D'abord, je l'ai vu venir gros comme une maison et (attention spoiler) manifestement l'auteur a un vrai souci avec la trahison. Je n'en dis pas plus mais je n'ai vraiment pas apprécié ce qui arrive à Andréa, écrire un second tome pour la faire retomber à la case départ alors que nous n'attendions que son triomphe, c'est vraiment du gâchis."



Et comment cela s'est-il fini?





"L'épilogue nous apporte bien sûr quelques bonnes nouvelles, cela reste de la chick-lit, ne l'oublions pas. Malgré tout, les derniers chapitres enlèvent beaucoup d'intérêt au sens de livre, même si cela n'enlève pas le plaisir de la lecture. A moins bien sûr que le but de tout cela ne soit d'écrire un troisième tome..."


Lien : http://booksaremywonderland...
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Le Diable s'habille en Prada

C'est drôle, c'est relaxant! Le Diable s'habille en Prada est décidément un roman que j'aime beaucoup de Lauren Weisberger. Je pense que si j'avais eu l'opportunité de le lire avant de voir le film je l'aurai doublement apprécié. Miranda est tout simplement impitoyable et de voir Andréa s'accrocher comme elle peut pour prouver qu'elle mérite sa place est tout simplement incroyable. Ce roman peut dénoncer une situation moderne où les employés essayent tant bien que mal de montrer leurs compétences à leurs patrons tyranniques ou qu'ils se focalisent seulement sur l'apparence.



Lauren Weisberger est un des auteurs qui monte et chaque roman nous fait rire.
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Le Diable s'habille en Prada

Lu ! lu ! et relu des dizaines de fois !

c'est léger, ça se lit tout seul. idéal pour une lecture "repos".

Pas besoin de se concentrer pour suivre le fil de l'histoire.

Dans ce roman, nous suivons les traces d'une jeune apprentie journaliste qui se retrouve Assistante de ZE référence en matière de mode !! Sujet qui ne constitue pas son principal centre d'intéret. Ce qui donne lieu à quelques clashs avant une ultime dispute à Paris sur fond de Fashion week !
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Le Diable s'habille en Prada

super girly et drôle. assez mordant aussi, bien mieux que le film !
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Le Diable s'habille en Prada

J'ai beaucoup apprécié ce roman, il est drôle, se lit facilement et on découvre de page en page un milieu peuplé de personnes superficielles ne jurant que par les vêtements de luxe et la taille 36
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Le Diable s'habille en Prada

Médiocre...........

Je voulais savoir ce qui justifiait un tel engouement et tant de médiatisation, au point d'en faire un Best-sellers??????.......

Je pensais passer un bon moment, quelle déception !!!!!!!!!!..........Je n'y ai rien trouvé d'humoristique, ni d'attachant.

J'ai trouvé ce roman plat, sans style, sans intérêt, sans intrigue........Un grand vide.......Il ne se passe rien........

Je n'ai pas du tout apprécié ce livre......Comme quoi les goûts et les couleurs................

Je n'ai pas terminé ce roman, j'ai quand même lu 130 pages, et je suis contente de l'avoir emprunté à la médiathèque, car si je l'avais acheté, je regretterais mon investissement et il encombrerait ma bibliothèque.

J'avais déjà trouvé " People or not people" très moyen........

Je pense que je ne renouvellerai pas l'expérience avec cette auteure.....

Note : 2/10.......pour le temps que l'auteure a perdu à l'écrire.





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