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Critiques de Lauren Weisberger (582)
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Le Diable s'habille en Prada

Il y a très peu de livre que je n'arrive pas à terminer, celui-ci en fait partie ! Je suis en général "bon public" mais là, c'était juste pas possible ! Ce livre doit avoir la profondeur littéraire d'un Voici ! Aucun intérêt ...

J'avoue que parfois je peux rester devant la télé avec une comédie romantique bien gnangnan (mais pas trop quand même ! Faut pas abuser !), surtout quand on se fait une soirée avec mon ado de fille ... Et si je lis de temps en temps des livres étiquetés "légers", "de filles" ... Je leur demande de au moins, me donner le sourire !
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People or not people

Des femmes riches qui trouvent des boulots et des hommes sans problème. Bon de temps en temps, il y a des coups de cafard et des jalousies pour les rendre un peu humaines ....
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Stiletto Blues à Hollywood

Petite bluette sans prétention pour passer le temps.
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Le Diable s'habille en Prada

- J’adore ça ! ... ça m’irait ?

- Oh ben oui... Avec un peu de vaseline et un chausse-pied, on devrait y arriver !
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Stiletto Blues à Hollywood

J'ai découvert cette auteur par le biais du très célèbre Le Diable s'habille en Prada et j'avais hâte de découvrir d'autres titres de la même plume. Agréable à lire, Stiletto Blues à Hollywood n'en reste pas moins bien inférieur à son prestigieux collègue...



Nous découvrons donc la vie tranquille de Brooke, diététicienne, et de Julian, musicien qui se produit dans les petites salles locales en attendant la gloire. Jusqu'au jour où il signe pour un album chez Sony et là, c'est la débandade ! Photos volées, paparazzis, rumeurs, harcèlement... Tout y passe et la pauvre Brooke ne sait plus où donner de la tête pendant que sa star de mari surfe sans vergogne sur la vague...



J'ai beaucoup aimé le personnage de Brooke : une madame-tout-le-monde, avec ses galères du quotidien, qui se retrouve propulsée du jour au lendemain dans tous les médias, qui voit sa vie épiée et décortiquée par tous ces requins de journalistes, par le truchement de la nouvelle célébrité de son mari. Elle est parfois - souvent - dépassée par les événements, pique des crises de larmes, de colère, tient tête à son mari sur les sujets qui lui tiennent à coeur et essaye tant bien que mal de conserver son couple sur les rails. Julian m'a paru un peu trop lisse et superficiel. Il attrape facilement la grosse tête et se détourne rapidement de tout ce qui faisait son bonheur simple auparavant : son épouse, sa famille et ses amis. Les personnages secondaires sont adorables (Nola, le chien Walter) ou haïssables (les parents de Julian, j'avais juste envie de leur mettre des baffes !). J'ai beaucoup aimé voir l'envers du décor : la célébrité du point de vue de quelqu'un qui a l'habitude de rester dans l'ombre et qui tente d'assimiler toute cette déferlante d'attention que le succès entraîne : plateaux de télévision, tapis rouge, interviews, reporters indélicats, paparazzis un peu trop zélés...



Mais, là où le roman pêche un peu, c'est pas sa longueur et sa langueur... L'histoire avance rapidement au début puis stagne pour repartir de plus belle à la fin. Et cette fin est un peu trop précipitée à mon goût... Certes, c'est de la chick-lit donc on sent venir le happy end à dix kilomètres, mais la résolution est un peu facile... De plus, j'ai le sentiment que l'auteur a lancé trop de pistes en même temps et que toutes ne trouvent pas leur résolution et me laissent donc un peu sur ma faim...



Au final, un bon roman pendant lequel je ne me suis pas ennuyée mais auquel il manque un petit quelque chose et qui comporte trop de longueurs.
Lien : http://le-marque-page-de-pop..
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Le Diable s'habille en Prada

Ce livre m'intriguait. Je me suis donc lancé dans sa lecture. Généralement je n'apprécie pas vraiment ce genre de littérature. Mais là je dois avouer que je l'ai lu sans problème, et avec plaisir. L'héroïne de ce roman est très attachante. On voudrait savoir comment elle va se sortir de ce pas, si elle va réussir à atteindre son rêve. Je dois avouer que j'ai beaucoup aimé la manière dont elle se sort de ce job. Je trouve cela dommage que dans le film, ils en fasse l'impasse. C'était l'un des passage "succulent" de ce roman. C'est vraiment un bon roman pour se divertir.

Après, ce n'est pas un livre qui est marquant. Il ne vas pas assez dans la profondeur des choses. Cela reste assez superficiel. Ce n'est pas un livre à lire si on a envie de réfléchir et de découvrir autre chose. C'est plutôt un livre pour se détendre et oublier, et ne pas penser ^^ .

Bonne lecture !!
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People or not people

Beth est jeune, Beth est mignonne, Beth a un boulot chiant dans une banque, avec un patron insupportable... Bref, Beth est banale. Comme on ne fait pas un roman de chick-lit avec du banal, Beth quitte cet affreux job et trouve grâce à son tonton gay sa nouvelle voie dans une agence réputée de relations publiques et d'événements people.



L'histoire semble s'éloigner de ce que l'auteure nous avait servi dans son premier roman, mais au niveau des thèmes abordés, de la morale de l'affaire et de la manière de s'y prendre, je dirai seulement : que nenni!



En gros, après s'être attaquée à la mode, LW nous montre que cet autre univers dans lequel les filles rêvent de bosser, au contact de toutes ces stars et de tout cet argent, cache lui aussi un envers du décor gratiné.

Nous avons, en vrac : la question de l'argent (mais d'où sort celui de ce couple de collègues?), de la drogue / l'alcool (hé oui, ils sont partout dans les soirées!), et surtout celle de l'image, l'image, l'image.



Ce n'est donc pas parce qu'un boulot a l'air cool qu'il l'est réellement. Tiens, tiens, ça me rappelle quelque chose...



Ajoutez à ce cocktail un zeste de mec ambigu qui colle constamment l'héroïne sans jamais conclure, un mystérieux auteur qui s'acharne sur elle en page 6, avec au final un effacement pur et simple de la ligne déjà mince qu'un personnage devenu public malgré lui a tracé entre sa vie professionnelle et sa vie privée.



Le dénouement est prévisible, le (ou les?) "méchant(s)" manquent cruellement de charisme. On rêverait d'une folle psychotique qu'on adorerait détester autant que la Miranda de Runway!! Mais non, ici, malgré les fêtes et la poudre aux yeux, l'histoire et les personnages restent plats.



Un roman néanmoins distrayant si ce qu'on cherche est se vider la tête, pas mal écrit au demeurant, mais je trouve assez dommage qu'il ne nous offre rien qu'on ne puisse trouver dans les magazines people (on y revient) ou la téléréalité.
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Sexe, diamants et plus si affinités...

Trois amies. Emmy, Leigh et Adriana. Emmy est romantique et rêve du grand amour, mais son grand amour à elle vient de la larguer comme une chaussette même pas sale. Leigh a trouvé le grand amour depuis belle lurette et occupe le poste idéal au sein d'une maison d'édition, mais pourquoi est-elle alors si triste ? Adriana est frivole et dépense sans compter l'argent de papa-maman tout en passant d'une relation à une autre, si tant est qu'on puisse qualifier ses aventures d'une nuit de « relations ». Lors d'une soirée entre filles, elles décident de se donner un an pour changer de vie. Radicalement. Emmy va cesser de chercher l'homme idéal pour devenir un tantinet libertine. Adriana, elle, va tout faire pour trouver l'amour, le vrai. Quant à Leigh... elle ne prend aucune bonne résolution, puisque sa vie est idéale... quoique... tout compte fait... est-elle si idyllique ?



Voilà, en quelques mots, le petit bijou que nous offre Lauren Weisberger, auteure du célèbre Diable s'habille en Prada. On ne change pas une équipe qui gagne : sexe, argent, amitié, amour et humour. Vous allez me dire que cette recette ressemble à celle de Sex & the City. Peut-être, mais tout bien réfléchi, si, finalement, nous adorons ces histoires et ces filles, c'est justement parce que ces filles, ces femmes, Emmy, Leigh, Adriana, tout comme Carrie, Charlotte et compagnie, se ressemblent. Nous ressemblent. Vous ressemblent. Et c'est ce qui fait que, moi, j'adore ces livres, drôles sans tomber dans la caricature, romantiques sans tomber dans le gnangnan, touchants sans tomber dans le mélodrame.
Lien : http://www.le-celibat-ne-pas..
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Sexe, diamants et plus si affinités...

Voyage dans le monde branché et aisé de trois jeunes femmes à New-York. On retrouve bien dans le livre le cadre de cette ville attachante. Le soin de soi, la quête de l'âme soeur, l'amitié sont bien présentes de façon sans doute bien égocentrique. Voyages, rencontres, activités professionnelles riches sont le lot de ces trois femmes qui à la fin trouvent leur voie alors que la trentaine sonne.
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Le Diable s'habille en Prada

Un classique régressif et "péché mignon" que j'avais dévoré adolescente et que j'aime de moins en moins à chaque relecture... L'héroïne et ses errements sentimentaux sont assez insupportables et prévésibles.

Franchement, je ne continue à le relire que pour savourer les saillies de l'inénarrable Miranda et me plonger dans ce monde de la mode, pour le coup, plutôt pas mal caricaturé.

Mais Andrea reste à mon humble avis une belle tête à claque !
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Le Diable s'habille en Prada

Ce roman est un pur bonheur digne des plus grandes comédies. L'humour vachard est irrésistible. L'intrigue est plus profonde qu'on pourrait le croire et le livre a un vrai aspect sociologique. Sans doute plus destiné à un public féminin, ce livre est à recommander fortement dans les cas de blues. Un cocktail pétillant et vivifiant.
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Le Diable s'habille en Prada

- Le Diable s'habille en Prada ... Incontournable roman de la chick-lit auquel je n'ai pas résisté. Et je n'ai pas été déçue. Un roman sans prise de tête et qui pousse à la détente. On sourit devant les stéréotypes et les personnages caricaturaux. Mélangeant humour, amour, et mode , une vraie comédie romantique dans laquelle on rencontre Andrea et sa nouvelle patronne, qui lui réserve bien des surprises ! Un très bon moment ! J'ai ensuite tenté l'adaptation cinématographique, que j'ai apprécié mais pas autant que le roman.
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Le Diable s'habille en Prada

C’était l’été. Qui dit été dit lecture légère. Le Diable s’habille en Prada me paraissait être le compagnon idéal pour lézarder et affiner son bronzage.



Andrea Sachs – Andy pour les intimes –, fraîchement sortie de l’université, rêve d’écrire pour un célèbre magazine new-yorkais. Avant d’y accéder, elle décroche un job d’assistante à Runway, LA référence dans le domaine de la mode, un poste pour lequel « des milliers de filles se damneraient », et qu’elle devra exercer pendant 1 an. Seulement bémol, Andy n’y connaît rien à la mode. Pire, elle n’a jamais entendu parler de Miranda Priestley, figure emblématique qui règne en maître sur le monde impitoyable de la mode. On suit donc le parcours du combattant d’Andy, navigant entre les caprices d’une patronne tyrannique et sa vie privée qui ne tient plus qu’à un fil.



Le Diable s’habille en Prada contient tous les ingrédients pour une bonne chick-lit traditionnelle : une jolie jeune fille, à la poursuite d’un job de rêve, une meilleure amie un peu fantasque, un petit ami presque idéal, un « love interest » (le monsieur intrigant et sexy mais qui n’est pas le petit ami). De plus, l’écriture assez fluide aide à avancer dans les pages. Il manque pourtant ce petit piquant, caractéristique de la chick-lit, cette petite touche d’humour qui fait sourire au fil de la lecture ; ce piquant est, selon moi, parti dans le film. Car oui, il faut préciser que j’ai vu (et re-vu, et re-revu, et re-re-revu) le film éponyme, et donc, mon avis ici n’est sans doute pas objectif . L’adaptation cinématographique donne une autre perspective aux événements et aux personnages sans pour autant dénaturer l’ADN de l’histoire originelle.



Ici, on voit effectivement Andy perdre de vue tous ses principes, négliger ses amis et sa famille, et se transformer en un larbin pendu toute la journée à son téléphone pour exaucer les vœux d’une patronne dictatrice. Elle est entourée par des personnages secondaires plutôt transparents: Emily, la collègue qui est clairement le lèche-botte de Miranda ; Lily, la meilleure amie, immature, qui aime un peu trop picoler et dont la vie sentimentale est plutôt instable ; Alex, le petit copain presque parfait (mignon, gentil, attentionné, prof, et très amoureux, tellement amoureux qu’il fait preuve d’une patience monstrueuse devant la nouvelle Andy), Christian, écrivain de talent hyper sexy qui tente d’attirer Andrea du côté obscur de la force (elle n’est plus à ça près après tout)… Mon point scandale serait : MAIS OÚ EST NIGEL ?! Alors que ce personnage est quasi essentiel dans le film, très présent et charismatique, il est totalement absent dans le livre (non, je ne compte pas les 3 pauvres lignes qui lui sont consacrées, et qui le décrivent comme une espèce de grande perche portant une combinaison moulante et un boa, le faisant passer pour une folle. NON. Nigel est petit, chauve, il porte des costumes et il a un sens de l’humour et une classe qui n’appartiennent qu’à lui). Vous l’aurez compris, j’ai été corrompue par le film.



Je n’ai pas eu de plaisir particulier à lire cette chick-lit qui s’annonçait plutôt prometteuse, vus le film et l’engouement autour. Je ne peux cependant pas dire que je suis déçue, dans la mesure où les deux œuvres sont sensiblement différentes : alors que dans le film certains aspects de l’histoire des personnages sont survolés (notamment l’amitié qui lie Lily et Andy), d’autres sont plutôt mis en avant (l’histoire d’amour entre Alex et Andy) ; l’angle choisi dans le film m’a beaucoup plus enthousiasmé que le livre.



Néanmoins, suivre les aventures d’Andy n’était pas désagréable en soi, mais la lecture a été aussi longue et laborieuse que le temps qu’elle a passé à Runway...
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Le Diable s'habille en Prada

Ce Roman nous raconte l'histoire d'Andréa et de son année en tant que Assistante d'une célèbre réactrice en chef de magazine de mode. Alors bien sur, nous avons le contexte du magazine rempli d'homme gais et de femmes anorexiques. Nous sommes en plein dans le cliché de la personne riche à million qui se croit supérieur et que tout lui est dû. Et ce fameux boulot d'assistante : Des différents films et maintenant ce livre qui nous parle de ce boulot, je pourrais croire que nous avons là le nouvel esclavage moderne. En effet, comment une personne archi diplômée, entre dans une entreprise pour apprendre le métier de journaliste et se retrouve à aller chercher des café, chercher des vêtements au pressing et j'en passe de 7h le matin à 23h le soir.

Avec une petite histoire d'amour au milieu, déjà présente au départ donc qu'on a pas besoin de construire, mais qu'il faut quand même essayer de maintenir à flot.

Nous somme bien ici dans de la chick-lit, donc pas de surprise pour moi s'il n'y a rien de bien transcendant. J'ai passé un bon moment, c'est tout ce que je demandais.





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Sexe, diamants et plus si affinités...

Voilà un excellent roman d’été, que j’adore lire à la plage, au bord d’une piscine ou juste en vacances. Un bon roman sans prise de tête, avec des bons sentiments, de l’humour et de l’amour. C’est un roman de copines qui pourrait être très niais – et il y a une part de niaiserie dans cette histoire, mais pas totalement.



Les personnages des trois amies sont certes un peu stéréotypés, mais elles restent sympathiques, d’autant plus que Lauren Weisberger, passée maître dans ce genre de romans, a parfaitement su mettre en avant les petits défauts agaçants des trois filles, qui les rendent plus humaines et attachantes. J’aime d’ailleurs beaucoup Emmy, qui a toujours été en quête du grand amour, qui est passée de longue histoire en longue histoire en croyant le trouver à chaque fois. Je trouve que c’est le personnage peut-être le plus réussi, dans le sens où je la comprends totalement. Je comprends ce qu’elle ressent, je comprends pourquoi elle agit comme elle le fait, même quand elle agit comme une idiote (et surtout quand elle agit comme une idiote!). Parce qu’elle fait des erreurs comme beaucoup d’entre nous peuvent en faire. Et c’est à la fois irritant et touchant.



L’histoire en soi n’est pas bien compliquée. C’est en fin de compte l’histoire touchante de femmes qui prennent le pari courageux d’améliorer leur vie sentimentale et de changer ce qu’il faut pour réussir ce pari. Ce qui est agréable, c’est que malgré le fait qu’il s’agisse de trois jeunes filles vivant à New-York, ayant un style de vie assez « branché », on peut se retrouver dans certains aspects de la personnalité et de la vie d’Emmy et de Leigh. Emmy, dans son studio minuscule car c’est tout ce qu’elle a les moyens de se payer, et Leigh qui trime pour son travail, à faire des heures et des heures dans sa maison d’édition pour un salaire juste correct. Ces deux filles ont quelque chose qui m’a attirée dans l’histoire. Emmy et sa naïveté. Leigh et son côté « bon élève » qui peut agacer. Il y a des choses qui me parlent, qui sonnent vrai et qui me ressemblent, et j’imagine que je ne suis pas la seule.

Un défaut néanmoins dans ce trio d’amies: il est inutile de chercher un point commun avec Adriana, c’est impossible. Elle est sans doute un peu trop cliché. Trop parfaite, du moins en apparence. Et encore, même elle a ses petites inquiétudes, ses angoisses, comme le temps qui passe.



L’indéniable atout, c’est l’humour, surtout dans les dialogues entre amies.

Un bémol cependant. Certains passages sont assez longuets, voire inutiles. C’est vrai que le roman est assez long et aurait pu être plus court. Il y a quand même un peu de « blabla ». Mais l’ensemble reste agréable à lire.

De plus, ayant été écrit par l’auteure de Le Diable s’habille en Prada, il y a certaines similitudes avec ce roman, notamment pour ce côté bling bling et superficiel – parfois très agaçant – de cette classe aisée de New York, qui n’est franchement pas très intéressant de mon point de vue.



En bref, c’est un roman agréable à lire de temps à autre, avec une histoire simple, dans laquelle on peut toutes se retrouver à un moment donné.
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People or not people

Rien de tel qu'un bon roman chick lit pour me détendre ! Je vois dans les critiques que ce roman ne fait pas forcément l'unanimité ! Pourtant, j'ai mieux aimé ce roman que Le diable s'habille en Prada qui m'avait un peu déçue. Ce que je peux reprocher à cette lecture, ce sont ces passages parfois très longs ou au contraire parfois trop courts. C'est à dire que je me serai bien passé de plusieurs pages expliquant tous les détails en long et en large sur l'organisation d'une soirée au cours du travail de Beth... Et cependant, j'aurai aimé en lire davantage sur le personnage de Sammy...



Dans ce roman Lauren Weisberger nous fait rêver de la vie nocture New-Yorkaise ! La jeune Beth est à un tournant de sa vie, elle est embarquée dans le tourbillon de la jet set en acceptant de travailler dans une boite de communication. Adieu pyjamas et soirées films à l'eau de rose dans son canapé, et bonjour talons, robe de soirée et bars branchés. Son nouveau travail l'oblige, Beth doit sortir tous les soirs et s'amuser. Et s'il y a des photographes dans les parages c'est encore mieux ! Mais la jeune femme reste une incorrigible rêveuse et romantique, l'envers du décors n'est pas ce qu'elle s'imaginait de ces soirées.



Ce roman est une bouffée de bonne humeur, c'est une lecture très bien pour un moment détente. People or not people me donne envie d'une bonne soirée entre filles. Les critères d'un bon chick-lit sont bien là, je recommande aux adeptes du genre comme moi...
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Le Diable s'habille en Prada

Un incontournable !!



Une jeune journaliste diplômée aimerait travailler pour le New Yorker. Mais en attendant elle travaillera pour le Diable alias Miranda Priestly, la célèbre rédactrice en chef du magazine de mode Runway. 1 an à être son assistante et toutes les portes vont s'ouvrir pour Andréa. Mais la question est : tiendra t'elle 1 an ?



Plaisir de lecture. Une histoire drôle, touchante et un petit peu cruel.
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L'art et la manière de conclure en beauté

Exit les défilés de mode (ou presque...) et bonjour les courts de tennis. Lauren Weisberger nous entraîne ici dans le monde impitoyable du circuit féminin de tennis. Et on sent bien que l'auteure a bossé son sujet tant les informations tennistiques très précises et détaillées foisonnent tout au long du roman.





Pour l'histoire en elle-même, ça se lit bien, on passe plutôt un bon moment... mais sans plus. Charlie, qui est quand même le personnage principal, m'a plus agacée qu'autre chose par sa naïveté et son inconscience de ce qui se passe autour d'elle. J'ai aussi été un peu dérangé par les gros écarts de temps entre deux chapitres avec l'impression persistante qu'il manquait des choses. Et puis surtout, c'est le trait poussé parfois à la caricature qui m'a empêché de pleinement rentrer dans l'histoire (visiblement pour réussir dans le tennis féminin il faut être une garce et occuper la première page des magazines et tous les tennismans sont grands et beaux comme des dieux !!!).





Bref, un roman sympathique dans la pure tradition chick-lit, qui m'a certes diverti le temps de la lecture mais dont je ne garderais pas un souvenir grandiose pour autant.
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Le Diable s'habille en Prada

Mode.

Entrez dans le monde impitoyable.
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L'art et la manière de conclure en beauté

Pour ce nouveau roman, l'auteur nous emmène dans le monde du tennis. Monde que j'affectionne tout particulièrement cependant je n'ai absolument pas accroché ...
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