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3.61/5 (sur 134 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Philadelphie, Pennsylvanie , le 28/03/1977
Biographie :

Lauren Willig est une auteure américaine de romances historiques. Ses livres se déroulent le plus souvent sous l'ère napoléonienne et évoque les espions britanniques. Ils sont regroupés dans une collection qui porte le nom d’œillet rose.

Elle a découvert les romances a l'age de 6 ans et son héroïne préférée est Aliénor D’Aquitaine.

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Bibliographie de Lauren Willig   (16)Voir plus

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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
The Scarlet Pimpernel, The Purple Gentian, The Pink Carnation... The very music of their names invoked a forgotten era, an era of men in knee breeches and frock coats who dueled with witty barbs shaper than the points of their swords. An era when men could be heroes.
The Scarlet Pimpernel, rescuing countless men from the guillotine; The Purple Gentian, driving the French Ministry of Police mad with his escapades, and foiling at least two attemps to assassinate King George III; and The Pink Carnation... I don't think there was a single newpaper in London between 1803 and 1814 didn't carry at least one mention of The Pink Carnation, the most elusive spy of them all.
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Abominable ? Non, simplement honnête. L’abomination, ce n’est pas ça. L’abomination, c’est rejoindre sa couchette pour y trouver des rats en train de ronger une main d’homme. L’abomination, c’est de vivre en permanence dans la boue jusqu’à la taille, couvert de plaies qui ne cicatrisent jamais. L’abomination, c’est de partager une cigarette avec un homme qui, deux minutes plus tard, n’a plus de visage. Vous voulez d’autres exemples ?
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-Ce sont les faibles, pas les forts, qui ont recours à la méchanceté, comme les animaux acculés. C'est un réflexe défensif.
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L'imagination était une qualité appréciable en plein jour, mais la nuit c'était un inconvénient. Ashford était le genre de maison où les fantômes ressemblaient davantage à une réalité qu'à une superstition -dames blanches, cavaliers fantômes, carrioles roulant à un train d'enfer sans personne pour les conduire. Les amis de ses parents organisaient des concours à qui raconterait l'histoire la plus terrifiante. Mais c'était une chose dans le salon bien éclairé de la petite maison de Guilford Street, et tout à fait une autre ici, où l'on entendait, montant des bois proches, le cri plaintif d'un animal inconnu.

Première partie. Ashford
Chapitre 4. Ashford, 1996
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Il ne fallait surtout pas que ses cousins comprennent que ses fiançailles avaient été rompues, qu'elle se retrouvait de nouveau seule à trente-quatre ans -une vieille fille dont personne ne voulait. On se serait cru dans un roman de Jane Austen. Les moeurs n'avaient-elles donc pas évolué ?

Première partie. Ashford
Chapitre I. New York , 1999
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La plupart d'entre nous préfèrent les mensonges à la vérité, car la vérité est trop affreuse. Nous disons vouloir la vérité. c'est faux. Nous voulons un joli mensonge que nous pourrons parer de beaux atours et baptiser vérité.

Première partie. Ashford
Chapitre 12
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Dans le miroir, elle vit Vera Merton, ses cheveux coupés en un carré soigné, son visage aux lèvres écarlates aussi lisse que les précieuses pièces en porcelaine sur le manteau de la cheminée. Une image glaçante. Celle du mensonge.
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Elle sentait monter en elle un désir d'une force sidérante, d'autant plus stupéfiant qu'il était inattendu. Comme dans les actualités filmées, les mêmes images du passé n'en finissaient pas de défiler dans sa tête. Un jardin, dans une maison dont elle se souvenait à peine; son père, qui la faisait voler dans les airs; le soleil qui se réverbérait sur la monture de ses lunettes; ses propres cris de joie. Combien de fois avait-elle imaginé cette scène ?
Combien de fois avait-elle rêvé que son père revenait ?
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The Tatler, proclamait le titre, en lettres ornementées dans un cadre Art déco. En-dessous, on voyait une photo de Béa, la cousine de grand-maman, vêtue d'une élégante tenue de voyage, sur le pont d'un navire, des fleurs plein les bras; à côté d'elle se tenait un homme qui présentait une forte ressemblance avec grand-papa Frederick, tel q'il apparaissait sur les vieux clichés dans l'appartement de sa grand-mère.
Sous l'image, la légende disait : LADY BEATRICE DESBOROUGH ET L'HONORABLE FREDERICK DESBOROUGH.
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Sa mère détestait tante Anna. Clemmie n'avait jamais décelé chez celle-ci la moindre propension à la malveillance -certes, elle était un peu frivole et passablement m'as-tu vu, mais méchante ? -, cependant, sa mère demeurait convaincue qu'Anna ne vivait que pour la blesser là où cela faisait le plus mal, cherchant sans cesse le défaut de sa cuirasse. Clemmie, quant à elle, était encline à penser que tante Anna ne vivait que pour tante Anna, ce qui était entièrement différent.

Première partie. Ashford
Chapitre I. New York , 1999
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