(...) l'univers de James Cameron ne laisse pas indifférent : il est rempli de créatures mi-hommes mi-machines, de femmes puissantes et d'hommes complexes, de mélange de métal et d'eau, de vivant et de non-vivant, avec une vision à la fois apocalyptique et remplie d'espoir.
La scène où le robot apparaît sous sa forme squelettique est la grande scène du film, celle qui correspond au rêve du réalisateur : derrière chaque homme, James Cameron, voit un squelette robotique, comme s'il existait au fond de chacun un socle mécanique, dur, froid.
J'ai du mal à croire que cela ne fait que trois mois que je suis là. Je me souviens à peine de mon ancienne vie. Je ne sais plus qui je suis. (Jake Sully)
C'est ce que j'ai dit aux gens du studio : si vous prenez Pocahontas, Danse avec les loups, Les Aventures de Zak et Crysta dans la forêt tropicale de FernGully et que vous mélangez le tout dans un shaker, vous obtiendrez Avatar. (James Cameron, inteviewé dans Première)
Je voulais que le public fasse son expérience à travers le regard des Na'vis, parce qu'il y a le thème de la vision dans le film. Ce n'est pas juste voir, mais plutôt percevoir à travers les yeux des autres. (James Cameron)
Pendant quelques mois, soit de janvier à avril 2006, il travaille sur le script, notamment pour créer une culture pour les Na'vis, principalement leur langage qui est créé par Paul Frommer, docteur en linguistique.