Je pleurais parce que le réconfort de la mort m'était refusé, parce qu'on m'avais ramené de force dans mon corps épuisé et parce que j'y étais piégée de nouveau.
Je pleurais de soulagement, n me raccrochant de toutes mes forces à Japhrimel le démon. Il était solide, et chaud, et réel, et je ne voulais pas qu'il m'abandonne.