Le bouddhisme considère que le Bouddha historique n’est pas le seul bouddha dans l’univers. Il postule que d’autres éveillés se manifestèrent dans le passé et que d’autres enseigneront dans le futur pour venir en aide à tous les êtres. Tous suivent le même parcours ponctué, comme on le verra, de douze événements principaux appelés les “douze œuvres”. Tous ont actualisé l’éveil au prix de nombreux efforts s’échelonnant sur d’innombrables vies. La vision d’une pluralité de bouddhas au sein de cycles cosmiques s’étendant sur d’immenses périodes de temps évite aux apprentis* du bouddhisme de se focaliser sur la personnalité de son fondateur. S’ils lui vouent une grande dévotion, c’est en tant que guide suprême et manifestation de l’ultime réalisation spirituelle. Ils n’oublient pas que la compréhension et la pratique de son enseignement demeurent les facteurs essentiels.
Le monde celte était dominé par l'oralité, les bardes étaient chargés de la conservation et de la transmission des textes sacrés (épopées...) ou profanes (généalogies familiales...).
« Rappelle-toi, on n’a pas le droit de se faire justice, même contre l’injustice et la haine. »
L’une des raisons pour lesquelles Caillaux suscita tant de haine fut sans conteste le fait que l’on ait vu en lui le père de l’impôt sur le revenu.