C'est le récit d'une jeune femme qui vois sa vie basculer le jour ou sa mère rencontre Frank son futur beau père, un homme pervers et violent. Ce récit commence à l'âge de 4 ans puis plus les années passent plus Frank devient plus entreprenant dans la façon de toucher lisa à l'âge de 12 il commence à la toucher au parti intime puis à l'âge de 15 ans il la viol de façon brutal durant ce récit vous vous plongerais de le quotidiens de cette petite fille qui vie perpétuellement dans la peur des excès de violence et des viols perpétuelle que son beau père lui inflige sous l'œil de sa mère qui laisse faire sans brocher et avec toute la haine qu'elle peux ressentir pour sa propre fille. C'est un récit très poignant qui ma fait monter les larmes au yeux, lorsque l'on voit que personne ne remarque ce qu'ils se passent même la propre famille laisse faire; ces inadmissible et révoltant.
Pour la première fois, j’ai pris conscience que j’avais le devoir moral de le dénoncer. Trop de gens passaient sous silence la maltraitance dont ils faisaient l’objet en pensant que, parce qu’ils avaient « survécu », tout était terminé. Je savais par expérience qu’un bourreau d’enfants pouvait continuer de torturer d’autres enfants et je voulais être certaine que cela n’arriverait plus jamais.
Même si je n’avais que quatre ans, l’arrivée de ce nouveau papa dans ma vie a eu un tel impact que j’en ai été profondément et à jamais marquée. Les souvenirs de cette époque se jouent dans ma tête comme de petits films en couleurs, décousus par endroits, mais vivaces.
Je ne comprenais pas pourquoi maman lui laissait faire toutes ces choses, mais j’avais remarqué qu’elle était différente quand il était là : elle riait, souriait et faisait tout pour attirer son regard ou son attention. C’était comme si elle ne nous voyait plus.
L’urine des chiens est beaucoup plus forte que la nôtre. Tu as intérêt à bien te laver si tu ne veux pas que toutes les chiennes du quartier te courent après sur le chemin de l’école.
Mes réalisations artistiques avaient beau être laides et maladroites, mamie se répandait toujours en compliments, puis elle plongeait une main dans sa poche et en ressortait un de mes bonbons préférés en forme de cœur.
Être un père, ce n’est pas juste faire un petit câlin de temps en temps, a dit Keith. Il faut leur donner de l’amour chaque jour, pas vrai ? Tu n’as pas besoin d’un bout de papier pour lui prouver que tu l’aimes.
Habituée aux claques et aux coups de pied et de poing qui pleuvaient à la maison, ses petits pinçons ou ses coups dans les côtes ne me faisaient rien. Mais ses perpétuelles railleries me blessaient profondément.
Je voulais qu’il reste Dr Jekyll et qu’il enterre à jamais Mr Hyde.
Il dit qu’il est laveur de carreaux, mais moi, je parie qu’il n’a jamais rien fait de ses dix doigts. Il vit à ses crochets, voilà tout.